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jusqu'à la maison de Pumblechook, il avait ruminé et adopté un projet subtil et profond.

Publié le 15/12/2013

Extrait du document

jusqu'à la maison de Pumblechook, il avait ruminé et adopté un projet subtil et profond. Mes raisons s'appuient sur ce qui se passa dans le salon de Pumblechook, où nous trouvâmes ma soeur en grande conversation avec le grainetier détesté. « Eh bien ! s'écria ma soeur ; que vous est-il arrivé ? Je m'étonne vraiment que vous daigniez revenir dans une aussi pauvre société que la nôtre. Oui, je m'en étonne vraiment ! - Miss Havisham, dit Joe en me regardant, comme s'il cherchait à faire un effort de mémoire, nous a bien recommandé de présenter ses... Était-ce ses compliments ou ses respects, mon petit Pip ? - Ses compliments, dis-je. - C'est ce que je croyais, répondit Joe : ses compliments à Mrs Gargery. - Grand bien me fasse ! observa ma soeur, quoique cependant elle fût visiblement satisfaite. - Elle voudrait, continua Joe en me regardant de nouveau, et en faisant un effort de mémoire, que l'état de sa santé lui eût... permis... n'est-ce pas, mon petit Pip ? - D'avoir le plaisir... ajoutai-je. - ... De recevoir des dames, ajouta Joe avec un grand soupir. - C'est bien, dit ma soeur, en jetant un regard adouci à M. Pumblechook. Elle aurait pu envoyer ses excuses un peu plus tôt, mais il vaut mieux tard que jamais. Et qu'a-t-elle donné à ce jeune gredin-là ? - Rien ! dit Joe, rien !... » Mrs Joe allait éclater, mais Joe continua : « Ce qu'elle donne, elle le donne à ses parents, c'est-à-dire elle le remet entre les mains de sa soeur mistress J. Gargery... Telles sont ses paroles : J. Gargery. Elle ne pouvait pas savoir, ajouta Joe avec un air de réflexion, si J. veut dire Joe ou Jorge. » Ma soeur se tourna du côté de Pumblechook, qui polissait avec le creux de la main, les bras de son fauteuil, et lui faisait des signes de tête, en regardant alternativement le feu et elle, comme un homme qui savait tout et avait tout prévu. « Et combien avez-vous reçu ? demanda ma soeur en riant. - Que penserait l'honorable compagnie, de dix livres ? demanda Joe. - On dirait, repartit vivement ma soeur, que c'est assez bien... ce n'est pas trop... mais enfin, c'est assez... - Eh bien ! il y a plus que cela », dit Joe. Cet épouvantable imposteur de Pumblechook s'empressa de dire, sans cesser toutefois de polir le bras de son fauteuil : « Plus que cela, ma nièce... - Vous plaisantez ? fit ma soeur. - Non pas, ma nièce, dit Pumblechook ; mais attendez un peu. Continuez, Joseph, continuez. - Que dirait-on de vingt livres ? continua Joe. - Mais on dirait que c'est très beau, continua ma soeur. - Eh ! bien, dit Joe, c'est plus de vingt livres. » Cet hypocrite de Pumblechook continuait ses signes de tête, et dit en riant : « Plus que cela, ma nièce... Très bien ! Continuez, Joseph, continuez. - Eh bien ! pour en finir, dit Joe en tendant le sac à ma soeur, c'est vingt-cinq livres que miss Havisham a données. - Vingt-cinq livres, ma nièce, répéta cette vile canaille de Pumblechook, en prenant les mains de ma soeur. Et ce n'est pas plus que vous ne méritez. Ne vous l'avais-je pas dit, lorsque vous m'avez demandé mon opinion ? et je souhaite que cet argent vous profite. » Si le misérable s'en était tenu là, son rôle eût été assez abject ; mais non, il parla de sa protection d'un ton qui surpassa toutes ces hypocrisies antérieures. « Voyez-vous, Joseph, et vous, ma nièce, dit-il en me tiraillant par le bras, je suis de ces gens qui vont jusqu'au bout et surmontent tous les obstacles quand une fois ils ont commencé quelque chose. Ce garçon doit être engagé comme apprenti, voilà mon système ; engagez-le donc sans plus tarder. - Nous savons, mon oncle Pumblechook, dit ma soeur en serrant le sac dans ses mains, que nous vous devons beaucoup. - Ne vous occupez pas de moi, ma nièce, repartit le diabolique marchand de graines, un plaisir est un plaisir ; mais ce garçon doit être engagé par tous les moyens possibles, et je m'en charge. » Il y avait un tribunal à la maison de ville, tout près de là, et nous nous rendîmes auprès des juges pour m'engager, par contrat, à être l'apprenti de Joe. Mais ce qui ne me sembla pas drôle du tout, c'est que Pumblechook me poussait devant lui, comme si j'avais fouillé dans une poche, ou incendié un meuble. Tout le monde croyait que j'avais commis quelque mauvaise action et que j'avais été pris en flagrant délit, car j'entendais des gens autour de moi qui disaient : « Qu'a-t-il fait ? » Et d'autres : « Il est encore tout jeune ; mais il a l'air d'un mauvais drôle, n'est-ce pas ? » Un personnage, à l'aspect bienveillant, alla même jusqu'à me donner un petit livre, orné d'une vignette sur bois, représentant un jeune mauvais sujet, portant un attirail de chaînes, aussi complet que celui de l'étalage d'un marchand de saucisses et intitulé : « Pour lire dans ma cellule. » C'était un endroit singulier, que la grande salle où nous entrâmes. Les bancs me parurent encore plus grands que ceux de l'église. Il y avait beaucoup de spectateurs pressés sur ces bancs, et des juges formidables, dont l'un avait la tête poudrée. Les uns se couchaient dans leur fauteuil, croisaient leurs bras, prenaient une prise de tabac, et s'endormaient. Les autres écrivaient ou lisaient le journal. Il y avait aussi plusieurs sombres portraits appendus aux murs et qui parurent à mes yeux peu connaisseurs un composé de sucre d'orge et de taffetas gommé. C'est là que, dans un coin, mon identité fut dûment reconnue et attestée, le contrat passé, et que je fus engagé. M. Pumblechook me soutint pendant tous ces petits préliminaires, comme si l'on m'eût conduit à l'échafaud. En sortant, et après nous être débarrassés des enfants, que l'espoir de me voir torturer publiquement avait excités au plus haut point, et qui furent très désappointés en voyant que mes amis m'entouraient, nous rentrâmes chez Pumblechook. Les vingt-cinq livres avaient mis ma soeur dans une telle joie, qu'elle voulut absolument dîner au Cochon bleu, pour fêter cette bonne aubaine, et Pumblechook partit avec sa voiture pour ramener au plus vite les Hubbles et M. Wopsle. Je passai une bien triste journée, car il semblait admis d'un commun accord que j'étais de trop dans cette fête, et, ce qu'il y a de pire, c'est qu'ils me demandaient tous, de temps en temps, quand ils n'avaient rien de mieux à faire, pourquoi je ne m'amusais pas. Et que pouvais-je répondre, si ce n'est que je m'amusais beaucoup, quand, hélas ! je m'ennuyais à mourir ? Quoi qu'il en soit, ils étaient tous grands, sensés, raisonnables et pouvaient faire ce qu'ils voulaient et ils en profitaient. Le vil Pumblechook, à qui revenait l'honneur de tout cela, occupait le haut de la table, et quand il entama son speech sur mon engagement, il eut soin d'insinuer hypocritement que je serais passible d'emprisonnement si je jouais aux cartes, si je buvais des liqueurs fortes, ou si je rentrais tard, ou bien encore si je fréquentais de mauvaises compagnies ; ce qu'il considérait, d'après mes précédents, comme inévitable. Il me mit debout sur une chaise, à côté de lui, pour illustrer ses suppositions et rendre ses remarques plus palpables. Les seuls autres souvenirs qui me restent de cette grande fête de famille, c'est qu'on ne voulut pas me laisser dormir, et que toutes les fois que je fermais les yeux, on me réveillait pour me dire de m'amuser ; puis, que très tard dans la soirée, M. Wopsle nous récita l'ode de Collins et il jeta à terre son sabre taché de sang avec un tel fracas, que le garçon accourut nous dire : « Que les gens du dessous nous présentaient leurs compliments, et nous faisaient dire que nous n'étions pas Aux armes des Bateleurs » ; puis que tous les convives étaient de belle humeur, et qu'en rentrant au logis ils chantaient : Viens belle dame. M. Wopsle faisait la basse avec sa voix terriblement sonore, se vantait de connaître les affaires particulières de chacun, et affirmait qu'il était l'homme qui, malgré ses gros yeux dont on ne voyait que le blanc, et sa faiblesse, l'emportait encore sur tout le reste de la société. Enfin, je me souviens qu'en rentrant dans ma petite chambre, je me trouvai très misérable, et que j'avais la conviction profonde que je ne prendrais jamais goût au métier de Joe. Je l'avais aimé d'abord ce métier ; mais d'abord, ce n'était plus maintenant ! XIV C'est une chose bien misérable que d'avoir honte de sa famille, et sans doute cette noire ingratitude est-elle punie comme elle le mérite ; mais ce que je puis certifier, c'est que rien n'est plus misérable. La maison n'avait jamais eu de grands charmes pour moi, à cause du caractère de ma soeur, mais Joe l'avait sanctifiée à mes yeux, et j'avais cru qu'on pouvait y être heureux. J'avais considéré notre parloir comme un des plus élégants salons ; j'avais vu dans la porte d'entrée le portail d'un temple, dont on attendait l'ouverture solennelle pour faire un sacrifice de volailles rôties ; la cuisine m'avait semblé un lieu fort convenable, si ce n'est magnifique, et j'avais regardé la forge comme le seul chemin brillant qui devait me conduire à la virilité et à l'indépendance. En moins d'une année, tout cela avait changé. Tout me paraissait maintenant commun et vulgaire, et pour un empire je n'aurais pas voulu que miss Havisham et Estelle vissent rien qui en dépendît. Était-ce la faute du malheureux état de mon esprit ? Était-ce la faute de miss Havisham ? Était-ce la faute de ma soeur ? À quoi bon chercher à m'en rendre compte ? Le changement s'était opéré en moi, c'en était fait ; bon ou mauvais, avec ou sans excuse, c'était un fait ! Dans le temps, il m'avait semblé qu'une fois dans la forge, en qualité d'apprenti de Joe, avec mes manches de chemise retroussées, je serais distingué et heureux. J'avais alors enfin atteint ce but tant désiré, et tout ce que je sentais, c'est que j'étais noirci par la poussière de charbon, et que j'avais la mémoire chargée d'un poids tellement pesant qu'auprès de lui, l'enclume n'était qu'une plume. Il m'est arrivé plus tard dans ma vie (comme dans la plupart des existences) des moments où j'ai cru sentir un épais rideau tomber sur tout ce qui faisait l'intérêt et le charme de la mienne, pour ne me laisser que la vue de mes ennuis et de mes tracas : mais jamais ce rideau n'est tombé si lourd ni si épais que lorsque j'entrevis mon existence toute tracée devant moi dans la nouvelle voie où j'entrais comme apprenti de Joe. Je me souviens qu'à une époque plus reculée j'avais coutume d'aller le dimanche soir m'asseoir dans le cimetière quand la nuit était close. Là, je comparais ma propre perspective à celle des marais que j'avais sous les yeux et je trouvais de l'analogie entre elles en pensant combien elles étaient plates et basses toutes les deux et combien était sombre le brouillard qui s'étendait sur le chemin qui menait à la mer. J'étais du reste aussi découragé le premier jour de mon apprentissage que je le fus par la suite ; mais je suis heureux de penser que jamais je n'ai murmuré une plainte à l'oreille de Joe pendant tout le temps que dura mon engagement. C'est même à peu près la seule chose dont je puisse m'enorgueillir et dont je sois aise de me souvenir. Car, quoiqu'on puisse m'attribuer le mérite d'avoir persévéré, ce n'est pas à moi qu'il appartient, mais bien à Joe. Ce n'est pas parce que j'étais fidèle à ma parole, mais bien parce que Joe l'était, que je ne me suis pas sauvé de chez lui pour me faire soldat ou matelot. Ce n'est pas parce que j'avais un grand amour de la vertu et du travail, mais parce que Joe avait ces deux amours que je travaillais avec une bonne volonté et un zèle très suffisants. Il est impossible de savoir jusqu'à quel point peut s'étendre dans le monde l'heureuse influence d'un coeur honnête et bienfaisant, mais il est très facile de reconnaître combien on a été soi-même influencé par son contact, et je sais parfaitement que toute la joie que j'ai goûtée pendant mon apprentissage venait du simple contentement de Joe et non pas de mes aspirations inquiètes et mécontentes. Qui peut dire ce que je voulais ? Puis-je le dire moi-même, puisque je ne l'ai jamais bien su ? Ce que je redoutais, c'était d'apercevoir, à une heure fatale, en levant les yeux, Estelle me regarder par la fenêtre de la forge au moment où j'étais le plus noir et où je paraissais le plus commun. J'étais poursuivi par la crainte qu'un jour ou l'autre elle me découvrît, les mains et le visage noircis, en train de faire ma besogne la plus grossière, et qu'elle me mépriserait. Souvent, le soir, quand je tirais le soufflet de la forge pour Joe et que nous entonnions la chanson du Vieux Clem, le souvenir de la manière dont je la chantais avec miss Havisham me montait l'imagination, et je croyais voir dans le feu la belle figure d'Estelle, ses jolis cheveux flottants au gré du vent, et ses yeux me regarder avec dédain. Souvent, dans de tels instants, je me détournais et je portais mes regards sur les vitres de la croisée, que la nuit détachait en noir sur la muraille, il me semblait voir Estelle retirer vivement sa tête, et je croyais qu'elle avait fini par me découvrir, et qu'elle était là. Quand notre journée était terminée et que nous allions souper, la cuisine et le repas me semblaient prendre un air plus vulgaire encore que de coutume, et mon mauvais coeur me rendait plus honteux que jamais de la pauvreté du logis.

« et surmontent touslesobstacles quandunefoisilsont commencé quelquechose.Cegarçon doitêtre engagé comme apprenti, voilàmonsystème ; engagez-le doncsansplustarder. – Nous savons, mononcle Pumblechook, ditma sœur enserrant lesac dans sesmains, quenous vousdevons beaucoup. – Ne vous occupez pasdemoi, manièce, repartit lediabolique marchanddegraines, unplaisir estunplaisir ; mais ce garçon doitêtre engagé partous lesmoyens possibles, etjem’en charge. » Il yavait untribunal àla maison deville, toutprès delà,etnous nousrendîmes auprèsdesjuges pourm’engager, par contrat, àêtre l’apprenti deJoe.

Mais cequi neme sembla pasdrôle dutout, c’estquePumblechook mepoussait devant lui,comme sij’avais fouillé dansunepoche, ouincendié unmeuble.

Toutlemonde croyaitquej’avais commis quelque mauvaise actionetque j’avais étépris enflagrant délit,carj’entendais desgens autour demoi quidisaient : « Qu’a-t-il fait ? »Etd’autres : « Ilest encore toutjeune ; maisila l’air d’un mauvais drôle,n’est-ce pas ? »Un personnage, àl’aspect bienveillant, allamême jusqu’à medonner unpetit livre, ornéd’une vignette surbois, représentant unjeune mauvais sujet,portant unattirail dechaînes, aussicomplet quecelui del’étalage d’unmarchand de saucisses etintitulé : « Pourliredans macellule. » C’était unendroit singulier, quelagrande salleoùnous entrâmes.

Lesbancs meparurent encoreplusgrands que ceux del’église.

Ilyavait beaucoup despectateurs presséssurces bancs, etdes juges formidables, dontl’unavait la tête poudrée.

Lesuns secouchaient dansleurfauteuil, croisaient leursbras, prenaient uneprise detabac, et s’endormaient.

Lesautres écrivaient oulisaient lejournal.

Ilyavait aussi plusieurs sombresportraits appendus aux murs etqui parurent àmes yeux peuconnaisseurs uncomposé desucre d’orge etde taffetas gommé.

C’estlàque, dans un coin, monidentité futdûment reconnue etattestée, lecontrat passé,etque jefus engagé.

M. Pumblechook me soutint pendant touscespetits préliminaires, commesil’on m’eût conduit àl’échafaud. En sortant, etaprès nousêtredébarrassés desenfants, quel’espoir deme voir torturer publiquement avaitexcités au plus haut point, etqui furent trèsdésappointés envoyant quemes amis m’entouraient, nousrentrâmes chez Pumblechook.

Lesvingt-cinq livresavaient mismasœur dansunetelle joie,qu’elle voulutabsolument dînerau Cochon bleu, pour fêter cette bonne aubaine, etPumblechook partitavecsavoiture pourramener auplus vitelesHubbles et M. Wopsle. Jepassai unebien triste journée, carilsemblait admisd’uncommun accordquej’étais detrop dans cette fête,et, ce qu’il ya de pire, c’est qu’ils medemandaient tous,detemps entemps, quandilsn’avaient riendemieux àfaire, pourquoi jene m’amusais pas. Et que pouvais-je répondre,sice n’est quejem’amusais beaucoup,quand,hélas !jem’ennuyais àmourir ? Quoi qu’ilensoit, ilsétaient tousgrands, sensés,raisonnables etpouvaient fairecequ’ils voulaient etils en profitaient.

LevilPumblechook, àqui revenait l’honneur detout cela, occupait lehaut delatable, etquand ilentama son speech surmon engagement, ileut soin d’insinuer hypocritement quejeserais passible d’emprisonnement sije jouais auxcartes, sije buvais desliqueurs fortes,ousije rentrais tard,oubien encore sije fréquentais demauvaises compagnies ; cequ’il considérait, d’aprèsmesprécédents, commeinévitable.

Ilme mit debout surune chaise, àcôté de lui, pour illustrer sessuppositions etrendre sesremarques pluspalpables. Les seuls autres souvenirs quime restent decette grande fêtedefamille, c’estqu’on nevoulut pasmelaisser dormir, etque toutes lesfois que jefermais lesyeux, onme réveillait pourmedire dem’amuser ; puis,quetrès tard dans lasoirée, M. Wopsle nousrécita l’odedeCollins etiljeta àterre sonsabre taché desang avecuntel fracas, quele garçon accourut nousdire : « Que lesgens dudessous nousprésentaient leurscompliments, etnous faisaient direque nous n’étions pas Aux armes desBateleurs » ; puis quetous lesconvives étaientdebelle humeur, etqu’en rentrant au logis ilschantaient : Viens belledame.

M. Wopsle faisaitlabasse avecsavoix terriblement sonore,sevantait de connaître lesaffaires particulières dechacun, etaffirmait qu’ilétait l’homme qui,malgré sesgros yeux dont onne voyait queleblanc, etsa faiblesse, l’emportait encoresurtout lereste delasociété. Enfin, jeme souviens qu’enrentrant dansmapetite chambre, jeme trouvai trèsmisérable, etque j’avais la conviction profondequejene prendrais jamaisgoûtaumétier deJoe.

Jel’avais aiméd’abord cemétier ; maisd’abord, ce n’était plusmaintenant !. »

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