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Les théories racistes

Publié le 13/06/2011

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« D'inductions en inductions, j'ai dû me pénétrer de cette évidence, que la question ethnique domine tous les autres problèmes de l'Histoire, en tient la clef, et que l'inégalité des races dont le concours forme une nation suffit à expliquer tout l'enchaînement des destinées des peuples. [...] Les Nègres pélagiens de la Polynésie, les Samoyèdes et autres familles du monde boréal, la plus grande partie des Nègres africains n'ont jamais pu sortir de leur impuissance. [...] En Océanie, des types repoussants, hideux, servent de transition entre l'homme et la brute pure et simple [...]. Ces diversités ethniques ne proviennent pas des institutions. Elles dérivent d'une inégalité native, originelle, tranchée, entre les diverses races [...]. Il n'est personne, d'ailleurs, qui n'ait été frappé de quelque pressentiment d'une vérité si éclatante [...]. Un peuple ne mourrait jamais en demeurant éternellement composé des éléments nationaux. Si l'empire de Darius avait encore pu mettre en ligne, à la bataille d'Arbelles, des Perses, des Aryens véritables, si les Romains du Bas-Empire avaient eu un Sénat et une milice formés d'éléments ethniques semblables à ceux qui existaient au temps de Flavius, leur domination n'aurait pas pris fin [...]. Après avoir reconnu qu'il est des races fortes et des races faibles, je me suis attaché à observer de préférence les premières, à démêler leurs aptitudes et surtout à remonter la chaîne de leur généalogie. En suivant cette méthode, j'ai fini par me convaincre que tout ce qu'il y a de grand, de noble, de fécond sur la terre, en fait de créations humaines, la science, l'art, la civilisation, ramène l'observateur vers un point unique, n'a résulté que d'une seule pensée, n'appartient qu'a une seule des familles dont les différentes branches ont régné dans les contrées policées de l'univers... «

Arthur de GOBINEAU Essai sur l'inégalité des races.

« La conception "raciste" fait place à la valeur des diverses races primitives de l'humanité. En principe, elle ne voit dans l'État qu'un but qui est le maintien de l'existence des races humaines. Elle ne croit nullement à leur égalité, mais reconnaît au contraire et leur diversité et leur valeur plus ou moins élevée. Cette connaissance lui confère l'obligation, suivant la volonté éternelle qui gouverne ce monde, de favoriser la victoire du meilleur et du plus fort, d'exiger la subordination des mauvais et des faibles. Elle rend ainsi hommage au principe aristocratique de la nature et croit en la valeur de cette loi jusqu'au degré de l'échelle des êtres. « De temps à autre, les journaux illustrés mettent sous les yeux de nos bons bourgeois allemands le portrait d'un Nègre qui, en tel ou tel endroit, est devenu avocat, professeur ou pasteur, ou même ténor, tenant les premiers rôles ou quelque chose de ce genre. Pendant que nos bourgeois imbéciles admirent les effets miraculeux de ce dressage et sont pénétrés de respect pour les résultats qu'obtient la pédagogie moderne, le Juif rusé y découvre un nouvel argument à l'appui de la théorie qu'il veut enfoncer dans l'esprit des peuples et qui proclame l'égalité des hommes. Cette bourgeoisie en décadence n'a pas le plus léger soupçon du péché qu'on commet ainsi contre la raison : car c'est une folie criminelle que de dresser un être, qui est par son origine un demi-singe, jusqu'à ce qu'on le prenne pour un avocat, alors que des millions de représentants de la race la plus civilisée doivent végéter dans des situations indignes d'eux. On pèche contre la volonté du Créateur quand on laisse les hommes les mieux doués étouffer par centaines de milliers dans le marais du prolétariat actuel, tandis qu'on dresse des Hottentots et des Cafres à exercer des professions libérales. Car il ne s'agit là que d'un dressage, comme pour un caniche, et non d'une culture scientifique. Si l'on consacrait les mêmes soins aux races douées d'intelligence, n'importe lequel de leurs représentants serait mille fois plus capable d'obtenir des résultats pareils. [...] « Par exemple, plus nos hommes d'État ont brillé par leurs dons intellectuels, plus leur action pratique a été insignifiante. La préparation politique aussi bien que l'équipement technique au temps de la guerre mondiale ont été insuffisants, non pas que le cerveau de ceux qui nous gouvernaient fût trop peu cultivé, mais, bien au contraire, parce gué nos chefs étaient des hommes hypercultivés, bourrés jusqu'à la bonde de savoir et d'intelligence, mais dénués de sain instinct et privés de toute énergie et de toute audace. «

Adolf HITLER, Mein Kampf.

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