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Obregón, Álvaro

Publié le 23/02/2013

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Obregón, Álvaro (1880-1928), homme d'État mexicain, président de la République (1920-1924), il fut l'un des chefs de la révolution mexicaine. En 1912, pendant la révolution mexicaine (1910-1924), il mit sur pied une troupe d'environ 400 hommes afin de soutenir le président révolutionnaire Francisco Madero qui devait faire face à un soulèvement dirigé par Pascual Orozco. À la tête de ses troupes, Obregón écrasa la révolte. Après la mort de Madero en 1912, Obregón apporta son soutien à Venustiano Carranza pour qu'il devienne le nouveau dirigeant du pays. Pendant les deux années qui suivirent, Obregón aida à vaincre les diverses troupes rebelles dirigées par Victoriano Huerta, le rival de Carranza, et par les révolutionnaires populaires Pancho Villa et Emiliano Zapata. Au cours d'une bataille victorieuse contre Villa (1914), Obregón perdit son bras droit. Lorsque Carranza fut élu président en 1915, il le nomma ministre de la Guerre. En 1920, il mena une campagne victorieuse contre Carranza et fut peu après élu président. Il mit en œuvre de nombreuses réformes sociales concernant l'agriculture, l'éducation et le travail, même si le système des péons demeura très répandu. Son programme révolutionnaire rencontra une résistance acharnée de la part de l'Église catholique. En 1923, il obtint la reconnaissance officielle de son gouvernement par les États-Unis. Entre 1924 et 1928, il quitta la scène politique. Il fut réélu président en 1928 mais fut assassiné avant son investiture par un catholique.

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« peut, au titre de ses droits propres, obtenir un prêt .

Toutefois, le total du prêt accordé aux deux concu­ bins ne peut excéder 600 000 F par logement .

Ce plafond s'applique d'ailleurs qu'il s'agisse de l'achat d'un logement existant, de la construction d'une résidence neuve ou du financement de tra­ vaux sur un logement déjà acquis.

A noter: les concubins se trouvent dans une situa­ tion équivalente à celle de conjoints.

Les époux qui disposent chacun d'un PEL peuvent réunir leurs droits à prêt.

Là encore, le mon- Article 33 de la circulaire d~ Il juillet 1986: tant maximum du prêt est de 600 000 F, même si les deux PEL réunis don­ nent droit à un prêt de 800 000 F.

• Cession de droits : La cession d'un PEL ne peut avoir lieu qu'au profit de certaines personnes, membres de la famille : conjoint, parents, enfants, oncles, tantes, frères, sœurs, neveux et nièces.

La cession de droits au profit d'un concubin est in­ terdite, puisque par défini ­ tion ce concubin n'est pas un membre de la famille.

• Prêts complémen­ taires : Un PEL est rare­ ment suffisant pour acqué- LA LOI ET VOUS rir un logement, et il est souvent nécessaire de re­ courir à des prêts complé­ mentaires : prêts bancaires classiques, 1 % patronal, éventuellement PAP ou prêt conventionné.

• En cas de décès : Les concubins doivent se pré­ occuper du sort des biens acquis en cas de décès, par exemple, de l'un d'entre eux.

Les concubins n'étant pas héritiers l'un de l'autre, il faut donc prévoir au mo­ ment de l'achat un acte de donation rédigé par le no­ taire.

Cette donation est, en tout état de cause, sanctionnée sur le plan fiscal.

semble des indivisaires excède 400 0000 F (actuellement 600 000 F) par financement.

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