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--Tu vois ?

Publié le 12/04/2014

Extrait du document

--Tu vois ? dit Dubois, le souffle court en forçant le Cognard à rentrer dans sa boîte. Les Cognards essayent de frapper les joueurs pour les faire tomber de leur balai. C'est pourquoi chaque équipe comporte également deux batteurs. Dans la nôtre, ce sont les jumeaux Weasley qui occupent ce poste. Leur rôle consiste à protéger les joueurs de leur équipe des attaques des Cognards et de les renvoyer dans le camp d'en face. Ça va, tu as tout compris ? --Trois poursuiveurs essayent de marquer des buts avec le Souafle. Le gardien protège les buts, les batteurs tiennent les Cognards à distance, récita Harry --Très bien. --Euh... Est-ce que les Cognards ont déjà tué quelqu'un ? demanda Harry en essayant d'adopter un ton dégagé. --Jamais à Poudlard. On a déjà eu des mâchoires fracturée, mais rien de plus. Passons au dernier membre de l'équipe. Il s'agit de l'attrapeur. C'est-à-dire toi. Et tu n'auras pas à te soucier du Souafle ni des Cognards. --Sauf s'ils me fracassent le crâne... --Ne t'inquiète pas, tu peux faire confiance aux Weasley pour s'occuper des Cognards. Euxmêmes sont des espèces de Cognards humains. Dubois prit dans la boîte la quatrième et dernière balle. Comparée aux trois autres, elle paraissait minuscule. De la taille d'une grosse noix, elle était d'un or étincelant et pourvue de petites ailes d'argent qui battaient sans cesse. --Ceci, dit Dubois, c'est le Vif d'or, la plus importante des quatre balles. Elle est très difficile à attraper à cause de sa rapidité et de sa petite taille. C'est l'attrapeur qui est chargé de la saisir. Il doit se faufiler parmi les autres joueurs pour essayer de l'attraper avant l'équipe adverse. Car l'attrapeur qui parvient à s'emparer du Vif d'or fait gagner cent cinquante points à son équipe, ce qui lui assure pratiquement la victoire. Un match de Quidditch ne se termine que lorsque le Vif d'or a été attrapé. C'est pour ça que les matches peuvent durer indéfiniment. Je crois que le record est de trois mois. Il fallait sans cesse fournir des remplaçants pour que les joueurs puissent dormir un peu. Voilà. Tu as des questions à poser ? Harry fit non de la tête. Il avait très bien compris ce qu'il avait à faire, le problème, c'était d'y arriver. --On va commencer l'entraînement sans le Vif d'or, dit Dubois en rangeant soigneusement la petite balle dans la boite. Il fait trop sombre, on pourrait le perdre. On utilisera ça à la place. Il sortit de sa poche un sac de balles de golf ordinaires et quelques minutes plus tard, Harry et lui volaient sur leurs balais, Dubois jetant de toutes ses forces les balles de golf dans tous les sens pour que Harry les attrape. Harry n'en rata pas une seule et Dubois en fut enchanté. Au bout d'une demi-heure, la nuit étant tombée, ils durent mettre fin à la séance d'entraînement. --Cette année, la coupe de Quidditch sera gravée au nom des Gryffondor, assura Dubois d'un ton joyeux tandis qu'ils retournaient vers le château. Je ne serais pas étonné que tu deviennes encore meilleur que Charlie Weasley. Et pourtant, il aurait pu jouer dans l'équipe d'Angleterre s'il n'était pas parti à la chasse aux dragons. Harry était si occupé par ses cours et ses séances d'entraînement qu'il ne voyait plus le temps passer. Il ne s'était pas rendu compte qu'il était à Poudlard depuis déjà deux mois. Il se sentait beaucoup mieux au château qu'à Privet Drive, c'était là désormais que se trouvait son vrai foyer. Quant aux cours, ils lui paraissaient de plus en plus intéressants, maintenait qu'ils avaient assimilé les notions les plus élémentaires. Au matin de Halloween, les élèves se réveillèrent dans une délicieuse odeur de citrouille qui flottait dans les couloirs. Mieux encore, le professeur Flitwick leur annonça qu'il allait leur apprendre à faire voler des objets. Tout le monde en rêvait depuis qu'il l'avaient vu envoyer le crapaud de Neville à travers la classe dans un magnifique vol plané. Le professeur Flitwick demanda aux élèves de se répartir en équipes de deux. Harry avait Seamus Finnigan pour partenaire (ce fut un soulagement car Neville lui avait lancé un regard plein d'espoir). Ron, lui, dut faire équipe avec Hermione Granger. Il était difficile de dire qui en était le plus fâché, Hermione ou Ron. Elle ne leur avait plus parlé depuis le jour où le balai de Harry était arrivé. --N'oubliez surtout pas ce mouvement du poignet que nous avons appris, couina le professeur Flitwick, perché sur sa pile de livres, comme d'habitude. Le poignet bien souple, levez, tournez, rappelez-vous, levez, tournez. Et prononcez distinctement la formule magique, c'est très important. N'oubliez jamais le sorcier Baruffio qui avait un défaut de prononciation et dont la femme s'est retrouvée avec un bison sur les épaules au lieu d'un vison. C'était très difficile. Harry et Seamus levèrent, tournèrent, mais la plume qu'ils auraient dû envoyer dans les airs restait immobile sur la table. Seamus s'énerva tellement qu'il la toucha du bout de sa baguette magique et y mit le feu. Harry dut l'éteindre avec son chapeau. A la table voisine, Ron n'avait pas beaucoup plus de chance. --Wingardium Leviosa ! s'écriait-il en agitant ses longs bras comme un moulin à vent. --Tu ne prononces pas bien, lança Hermione. Il faut dire Win-gar-dium Leviosa en accentuant bien le « gar ». --Tu n'as qu'à le faire si tu es si intelligente, répliqua Ron. Hermione releva les manches de sa robe, donna un coup de baguette magique et articula nettement: Wingardium Leiviosa ! Leur plume s'éleva alors dans les airs, et s'immobilisa à plus d'un mètre au-dessus de leur tête. --Bravo, très bien ! s'écria le professeur Flitwick en applaudissant. Regardez tous, Miss Granger a réussi !

« —Cette année, la coupe de Quidditch sera gravée au nom des Gryf\ fondor, assura Dubois d'un ton joyeux tandis qu'ils retournaient vers le château.

Je ne serais p\ as étonné que tu deviennes encore meilleur que Charlie Weasley.

Et pourtant, il aurait pu jouer dan\ s l'équipe d'Angleterre s'il n'était pas parti à la chasse aux dragons.

Harry était si occupé par ses cours et ses séances d'entraîn\ ement qu'il ne voyait plus le temps passer.

Il ne s'était pas rendu compte qu'il était à Poudlard d\ epuis déjà deux mois.

Il se sentait beaucoup mieux au château qu'à Privet Drive, c'était là\ désormais que se trouvait son vrai foyer.

Quant aux cours, ils lui paraissaient de plus en plus inté\ ressants, maintenait qu'ils avaient assimilé les notions les plus élémentaires.

Au matin de Halloween, les élèves se réveillèrent dans une d\ élicieuse odeur de citrouille qui flottait dans les couloirs.

Mieux encore, le professeur Flitwick leur an\ nonça qu'il allait leur apprendre à faire voler des objets.

Tout le monde en rêvait depuis\ qu'il l'avaient vu envoyer le crapaud de Neville à travers la classe dans un magnifique vol plané\ .

Le professeur Flitwick demanda aux élèves de se répartir en équipes de deux.

Harry \ avait Seamus Finnigan pour partenaire (ce fut un soulagement car Neville lui avait lancé un reg\ ard plein d'espoir).

Ron, lui, dut faire équipe avec Hermione Granger.

Il était difficile de\ dire qui en était le plus fâché, Hermione ou Ron.

Elle ne leur avait plus parlé depuis le jour où l\ e balai de Harry était arrivé.

—N'oubliez surtout pas ce mouvement du poignet que nous avons appris,\ couina le professeur Flitwick, perché sur sa pile de livres, comme d'habitude.

Le poignet \ bien souple, levez, tournez, rappelez-vous, levez, tournez.

Et prononcez distinctement la fo\ rmule magique, c'est très important.

N'oubliez jamais le sorcier Baruffio qui avait un dé\ faut de prononciation et dont la femme s'est retrouvée avec un bison sur les épaules au lie\ u d'un vison.

C'était très difficile.

Harry et Seamus levèrent, tournèrent\ , mais la plume qu'ils auraient dû envoyer dans les airs restait immobile sur la table.

Seamus s'énerva \ tellement qu'il la toucha du bout de sa baguette magique et y mit le feu.

Harry dut l'éteindre \ avec son chapeau.

A la table voisine, Ron n'avait pas beaucoup plus de chance.

—Wingardium Leviosa ! s'écriait-il en agitant ses longs bras comme\ un moulin à vent.

—Tu ne prononces pas bien, lança Hermione.

Il faut dire Win-gar-dium Leviosa en accentuant bien le « gar ».

—Tu n'as qu'à le faire si tu es si intelligente, répliqua Ron.

\ Hermione releva les manches de sa robe, donna un coup de baguette magiqu\ e et articula nettement: Wingardium Leiviosa ! Leur plume s'éleva alors dans les airs, et s'immobilisa à plus d'u\ n mètre au-dessus de leur tête.

—Bravo, très bien ! s'écria le professeur Flitwick en applaudis\ sant.

Regardez tous, Miss Granger a réussi !. »

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