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Carreras José

Publié le 01/04/2019

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Carreras José

 

Artiste lyrique espagnol

 

* 5.12.1946, Barcelone

 

Ténor, il débute sa carrière en 1970 au teatro Liceo de Barcelone dans le rôle d'Ismaele (\"Nabucco\", Verdi). Lauréat du concours Verdi à Bussetto, l'année suivante, il est bientôt sollicité dans le monde entier. Familier du répertoire italien, il interprète également des oeuvres de musique légère. Il forme, avec Placido Domingo et Luciano Pavarotti, le trio des ténors les plus célèbres du moment, se produisant parfois ensemble pour de somptueux cachets, comme lors de la cérémonie d'ouverture de la Coupe du Monde de football en 1994 aux États-Unis ou à Vienne, en 1999, pour le concert de Noël. Atteint d'une leucémie, Carreras soutient, par des concerts de bienfaisance, les recherches sur cette maladie.

« Carreras, José - musique. 1 PRÉSENTATION Carreras, José (1946- ), ténor espagnol. 2 DES DÉBUTS RAPIDES José Carreras José Carreras, ténor espagnol.Archivo Fotografico Oronoz Né à Barcelone, c’est dans cette ville que José Carreras étudie avec Jaime Francisco Puig et Juan Roax et débute en 1970, au Liceo ; il y interprète Flavio dans la Norma de Bellini, où le rôle-titre est tenu par Montserrat Caballé ; le soutien actif de la diva contribue, autant que le premier prix au concours Verdi de Parme en 1971 et un physique de jeune premier romantique, au lancement très rapide de sa carrière internationale.

La cantatrice le fait ainsi débuter à Londres en 1971, en concert, dans Maria Stuarda de Donizetti.

Il débute au New York City Opera dès 1972 ; en 1974, il est au Metropolitan Opera, à la Scala de Milan et au Covent Garden de Londres, puis en 1976 au Festival de Salzbourg et l’année suivante au festival d’Aix-en- Provence. 3 L’ATTRAIT DES RÔLES DRAMATIQUES Ses premiers rôles, comme Alfredo de la Traviata (Verdi), Nemorino de l’Élixir d’amour ou le rôle-titre de Roberto Devereux (Donizetti), ou encore Rodolfo de la Bohème (Puccini), sont d’essence lyrique.

Il y fait valoir la séduction de son timbre très chaleureux, une diction mordante et un généreux engagement dans l’expression, en dépit d’un aigu parfois un peu difficile.

Poussé par tempérament vers des incarnations plus dramatiques, il aborde rapidement Radames ( Aïda de Verdi), Don José (Carmen de Bizet), Calaf ( Turandot de Puccini), Canio ( Pagliacci de Leoncavallo) ou le rôle-titre d’Andrea Chénier de Giordano. 4 MALADIE ET SECONDE CARRIÈRE Concert des trois ténors. »

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