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LA TOUR Maurice Quentin de : D'Alembert

Publié le 16/12/2011

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Né à Saint-Quentin, 1704 - Mort à Saint-Quentin, 1788

 Séduit par le succès et la technique de la Vénitienne Rosalba Carriera, Maurice Quentin de La Tour devient le pastelliste le plus brillant et le plus couru du XVIIIe siècle.

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« LA TOUR Maurice Quentin de D'Alembert Né à Saint-Quentin , 1704 Mort à Saint-Quentin, 1788 Séduit par le succès et la technique de la Vénitienne Rosalba Carriera, Maurice Quentin de La Tour devient le pastelliste le plus brillant et le plus couru du XVIIIe siècle.

S'il a laissé une galerie de portraits de hauts per­ sonnages de cour (Mme de Pompadour), La Tour a également peint des philosophes, des bourgeois, des artistes, toute une intelligent­ sia où fermentent déjà les idées de change­ ment qui mèneront à la Révolution française .

Fils naturel du chevalier Destouches et de Mme de Tencin, attiré par les mathématiques, la physique , la mécanique ("Traité de dyna­ mique des fluides" , 1743) , et curieux de phi­ losophie , d'Al embert (1717-1783) entre à l'Académie des sciences à vingt-trois ans.

Lorsqu'en 1751 paraît le premier volume de !'"Encyclopédie" de Diderot , d'Alembert, qui est son principal soutien , y publie un "Dis­ cours préliminaire" qui lui ouvre les portes de l'Académie française .

Il en deviendra secré­ taire perpétuel en 1772.

Il a trente-six ans lorsque La Tour campe son portrait dans une attitude qui ne manque pas de défi, mais où le sourire expressif est à la fois profondément humain et subtilement moqueur .

Vers 1753 Pastel Paris, Musée du Louvre. »

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