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les artistes marquants du surréalisme

Publié le 04/04/2019

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1890-1976 Man Ray

 

Le peintre et photographe américain fait partie, avec Marcel Duchamp Francis Picabia, des animateurs du groupe dada aux États-Unis. En 1921, il vient s'établir à Paris où il rejoint le mouve-ment surréaliste. Il est l'un des premiers à introduire l'art contemporain en photographie. Man Ray crée des photomontages, des photogrammes et des collages photographiques qu'il désigne du terme de \"rayo-grammes\". 1891-1976 Max Ernst

 

Dans une oeuvre peinte en 1922, \"Au rendez-vous des amis\", sur laquelle figurent de nombreux surréalistes parisiens, le peintre allemand affirme son appartenance à ce mouvement. Dans les peintures à l'huile qu'il crée à cette époque, Max Ernst reprend des thèmes classiques tirés de la mythologie. Dès le milieu des années 20, il invente de nouvelles techniques telles que le frottage. Pour le grattage, une autre de ses techniques, il étale la couleur en couche épaisse sur la toile pour pouvoir ensuite la racler.

« Dali, un maître du surréalisme Dali est considéré comme le représentant le plu s important du surréa­ lis me.

Dans son œuvr e intitulée Construction molle aux haricots bouillis.

Pr émonition de la guerre civile, l'Espagnol attire l'attention sur le conflit qui menace son pays.

S ix mo is avant que la (( guerre civile espagnole n' écla te, je mettais la dernièr e touche à Construction molle aux har icots bo uillis.

Pré­ mon ition de la guer re civile : un grand corps humain dont les bras et les jam bes sont trop petits s'étr angle lui-même dans un accès de folie >>.

C' est ainsi que Dalî décrit l'un de ses plus célèbres tableaux, hallucina tion bien dans le sty le du peintre espagno l.

Da lî, né le 11 mai 1904 à Figue­ ras en Cata logne, entame à 16 ans des études artistiques.

Il fréquente l' Acad émie des beaux-a rts de Madrid et se tourne d'abord vers le futurisme.

En 1928, il rencontr e Lorca et le cinéaste Bunu el, et prend connaissance de la peinture surréal iste et méta physique de Gi orgio De Chiri co.

La même anné e, Dalf se rend à Paris où il rejoint le groupe d'André Breton, qui a publié en 1924 le Manifeste du surréali sme.

Il peint alors ses pr emi ères œuvres surréa listes, comme Le Jeu lugubre (1929).

Avec des tableaux comme Le temps qui passe (1930) et Guillaume Tell ou la 140 peur de la castration (1930), Dalf réussit à fa ire parler de lui.

Son chef-d'œuvre surréaliste, La Persis­ tance de la mémoi re, peint en 1931, plus connu sous le titre Les Mont res molles, est à interpréter comme l'e xpression de la peur obses sionnel le de l'artiste face à l'im puissance, les mo ntres qui s'affaissent étant présentées comme le symbole du membre viril.

La femme de Dalf , Gala , tient par ailleur s une place importante dans son œuvre.

Il fait sa connais- sance en 1929, alor s qu'elle est l'ép ouse de l'écrivain Paul Éluard.

Gala quitte son mari et devient la co mpagne et la muse de Dalî .

Le rôle de Gala ne cons iste pas se ulem ent à pro téger Dalî du monde extérieur, mais également de lui-même , de ses démons in térieur s et de ses fantasme s morbides.

En 1935, Gala le pousse à publier son ouvrage La Conquête de l'irra tionnel (1936).

Pour la première fois, Dalf décrit sa. »

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