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Les « Douze Rêves du Soleil » de Jean—Michel Jarre

Publié le 16/10/2013

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Un duo avec la chanteuse d'ori­gine égyptienne Natacha At­las (C'est la vie) est une belle surprise. Mais quand le visage de la diva Oum Khalsoum ap­paraît sur Mykérinos et que Amal Maher, un jeune soliste de quatorze ans ans, inter­prète Chams al Assit (« Soleil du crépuscule «), une salve d'applaudissements crépite. Dans le ciel, des feux d'arti­fices multicolores déchirent la nuit et sur scène des dizaines de figurants courent des tor­ches à la main : la féerie est au rendez-vous.

Vers 1 h 30, Jean-Michel Jarre s'éclipse pour laisser la place aux orchestres traditionnels égyptiens. La nuit a été belle

à Gizeh. 

« Un spectacle alliant démesure et ferveur S 'inspirant de la mythologie égyptienne, Jean-Michel Jarre a découpé son spectacle en douze actes correspondant aux douze portes sous les­ quelles Rê passait en barque chaque nuit.

Il l'a également conçu pour débuter après la dernière prière des fidèles au coucher du soleil et pour s'achever au moment du pre­ mier appel, au lever du soleil le lendemain .

C'est donc vers 22 h 30 que Jarre et ses musi­ ciens prennent place sur la gi­ gantesque scène érigée au pied des pyramides .

Des mé­ lodies emplissent l'espace, subtil patchwork d'anciennes œuvres du compositeur, de thèmes spécialement écrits pour la circonstance et d'ex­ traits de « Métamorphoses », le nouvel album, encore iné- LES MUSICIENS Jean-Michel Jarre (synthétiseurs) ; Francis Rimbert (synthétiseurs) ; Joachim Garraud (synthétiseurs) ; Christopher Papendieck (basse); Gary Wallis (batterie); Natacha Atlas (chorus vocal) ; Mustapha Nagui (direction des orchestres), /'Orchestre symphonique du Caire ; la Maison de /'Opéra du Caire.

dit, du musicien français.

Un duo avec la chanteuse d'ori­ gine égyptienne Natacha At­ las (C'est la vie) est une belle surprise .

Mais quand le visage de la diva Oum Khalsoum ap­ para ît sur Mykérinos et que Amal Maher, un jeune soliste de quatorze ans ans, inter­ prète Chams al Assit (« Soleil du crépuscule »), une salve d'applaudissements crépite.

Dans le ciel, des feux d'arti ­ fices multicolores déchirent la nuit et sur scène des dizaines de figurants courent des tor­ ches à la main : la féerie est au rendez-vous.

Vers 1 h 30, Jean-Michel Jarre s'éclipse pour laisser la place aux orchestres traditionnels égyptiens .

La nuit a été belle à Gizeh.

Dans le monde en­ tier aussi, puisque plusieurs centaines de chaînes de télé­ vision ont acheté les droits de retransmission du spectacle (en France, M6 l'a retransmis en différé), filmé par le Bri­ tannique Mike Mansfield .

Une levée de boucliers tous azimuts P ourtant, rien n'était ga­ gné d'avance.

Pendant des mois, ces festivités ont soulevé de nombreuses polé ­ miques, relayées par la presse égyptienne.

La critique la plus virulente concerne l'as­ pect religieux : le passage à. »

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