Les monastères du Ouadi Natroun

« dans le désert et de se rendre dans les églises qu'à l'heure des offices.

Ce sont donc des questions de sécurité qui ont donné aux monastères la for­ me enclose qu'ils présentent aujourd'hui.

Le réfectoire du monastère est particulièrement remar- quable, et son écho rempor ­ te toujour s un vif succè s au­ près des visiteurs.

Le jardin intérieur est égal ement un but de promenade bucolique à souhait, les moines aiment ir Amba BischoÏ brite quelque · 0 moines et une taines d'ermites.

triarche Shenouda ut de 1981 à 1985, rsqu'il fut exilé président Sadate.

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Enfin, il ne faut surtout pas quitt e r ces lieux sans avoir gravi les marches qui mènent sur les toits d'où l'on jouit d'une vue à couper le souffle sur le désert du Sinaï.

Deir Abou Makar L e plus ancien monastère du Ouadi Natroun - é difié entre 300 et 390 par saint Macaire - est aussi le plus se- cret, et son accès est très dif­ ficile.

C'est peu de dire qu'il convien t de montrer patte blanche pour avoi r le droit d'en franchir les murs.

Il faut en outre savoir que cette vi­ site ne pourra pas excéder deux heures ! Au débu t du XI• siècle, le monastère servit de refuge contre persécu­ tions musulmanes, et au Moyen Age il possédait une précieuse bibliothèque, sur laquelle les Europ ée ns firent main basse au XVII• siècle.

Abou Makar est dominé par. »