pointillisme

« Un dimanche après-midi à l’île de la Grande Jatte : Ce tableau représente un paysage d’après-midi typique de l’époque.

Il donne une impression de tranquillité et de chaleur comme après une sieste ou au réveil.

Les gens ont l’air heureux, les chien et les enfants joue, ce tableau est presque trop tranquille.

Il y a deux grandes zones, une d’ombre et une de lumière.

Au premier plan, il y a peu de luminosité car les gens sont situés sous des arbres.

Au deuxième plan, les personnages sont au soleil et leurs ombres contrastent avec la luminosité.

Au troisième plan, il y a une forte luminosité.

Le soleil se reflète sur l’eau, ce qui renforce l’effet de lumière.

Le ciel est très clair et ensoleillé.

La lumière est très réaliste et vient de la gauche du tableau. Sur ce tableau de Georges Seurat, on peut voir de nombreux personnages, des hommes, femmes et enfants de différentes classes sociales qui se détendent au bord de l’eau ou sur l’herbe et sous des arbres. La Grande Jatte est une île de la Seine dans la banlieue qui est à la fois résidentielle et proche de la capitale, d’où la présence de classes sociales très différentes.

Sur ce tableau il y a des chiens et un singe qui pourrait représenter aussi les différentes classes sociales. L'île de la Grande Jatte était un lieu de loisir et de promenade pour les parisiens du XIX° siècle.

Nous avons appris qu’en 1880, Asnières était une banlieue aisée.

Sur l'autre rive, Levallois-Perret était une banlieue ouvrière.

L'île de la Grande Jatte est un lieu de rencontre entre ces deux mondes.

Les peintres pointillistes, veulent donner un genre social à leurs œuvres.

C’est ce qu’il va faire dans sa toile « Un dimanche après-midi à l’Île de la Grande Jatte ».

Il parle déjà de ce genre dans le titre de son œuvre.

Déjà, il choisit un dimanche car c’est un jour de repos, de détente, de loisir et de promenade et où l’on ne travaille pas.

Puis, l’Île de la Grande Jatte était à l’époque un lieu où se retrouvait tout les bourgeois et ouvriers parisiens. Seurat veut que son tableau dégage une impression de maîtrise totale et de suspension du temps pour un moment de beauté, de paix et de silence. En 1878 Monet peint plusieurs tableaux en rapport avec une île comme l’a fait Seurat.

Dont la peinture « été à La grande Jatte ». »