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Publié le 01/10/2014

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Error: Illegal entry in bfchar block in ToUnicode CMap Error: Illegal entry in bfchar block in ToUnicode CMap L es RePÈRes e sseNTIeLs 1re Français © rue des écoles, 2012 ËÓÑÑ Ö Le personnage de roman 4 Évolution du genre romanesque . . . . . . . . . . . Personnage : héros et anti-héros . . . . . . . . . . . Personnage et visions du monde . . . . . . . . . . . ½½ ½ Le texte théâtral 21 Histoire des formes théâtrales . . . . . . . . . . . . ¾½ Théâtre et mise en scène . . . . . . . . . . . . . . ¾ L'écriture poétique 33 Place et fonction du poète . . . . . . . . . . . . . ¿¿ Versification et formes poétiques . . . . . . . . . . ¿ Langue, monde : redécouverte . . . . . . . . . . . L'argumentation Formes de l'argumentation . . . . . . . . . . . . . Réflexion sur l'homme . . . . . . . . . . . . . . . © rue des écoles, 2012 51 ½ évolution du genre romanesque Évolution du genre romanesque Le roman a connu des formes et une reconnaissance variables entre le XVIIe siècle et notre époque. Quelles sont les sources du genre romanesque ? Quelles ont été les grandes étapes de son évolution ? 1. Aux sources du genre : de l'auditeur au lecteur Pour les lecteurs du XXIe siècle, le terme « roman » désigne un genre que l'on oppose généralement à la poésie : les mots « roman » et « prose » sont ainsi aujourd'hui inséparables. Or, cette indissociation ne correspond en rien à l'origine du mot : en effet, le terme « roman » a été utilisé pour la première fois au Moyen Âge, pour désigner des ouvrages littéraires le plus souvent versifiés : la raison en est que ces ouvrages étaient écrits en langue romane, et non en latin. À son origine, le roman est donc un récit littéraire, généralement écrit en vers, rédigé en « roman », c'est-à-dire en langue « vulgaire ». C'est cette forme du « roman » que les troubadours et trouvères utilisent pendant tout le Moyen Âge, afin de raconter les exploits des chevaliers. Il ne faut pas oublier qu'à cette époque, le récit écrit n'est qu'un support pour la mémoire, puisque la littérature est profondément orale : ses destinataires sont des auditeurs et non pas, comme aujourd'hui, des lecteurs. Cette littérature s'adresse d'ailleurs à un public restreint, celui des seigneurs et de leur cour. L'un des auteurs les plus célèbres de cette période, Chrétien de Troyes, a ainsi su, à travers ses romans (Le Conte du Graal, Le Chevalier à la charrette, Yvain ou Le Chevalier au lion, etc.) : 4 - créer un genre narratif, enchaînant des épisodes suivis mais aussi entrelaçant différentes « histoires » ; © rue des écoles, 2012 - mettre en relief les éléments culturels et religieux qui parcourent toute cette période du XIIIe siècle ; Remarque : ces trois aspects sont, précisément, les orientations qui guident encore aujourd'hui notre perception du « roman » : lorsque nous faisons acte de lecture, nous sommes attentifs : le personnage de roman - célébrer les exploits d'hommes valeureux et exceptionnels dans un temps légendaire ; - à la façon dont chaque auteur module les spécificités du genre romanesque ; - au « héros », motif central du roman ; - et enfin à la vision du monde qui transparaît à travers l'oeuvre. Au XVIe siècle, grâce à la diffusion de l'imprimerie (Gutenberg a imprimé un premier ouvrage, la Bible, en 1455), le roman bénéficie d'un public plus large, et qui se fait lecteur plus qu'auditeur. 2. XVIIe siècle : des directions variées, le roman pastoral et le roman d'analyse Le roman pastoral Avec la Renaissance, les divertissements de cour, les modes et les comportements se transforment à nouveau : les spectacles et les arts remplacent ainsi peu à peu les tournois et autres jeux où la violence primait. Apparaît alors un nouveau type de romans qui connaîtra un certain succès : le roman pastoral. Honoré d'Urfé, dans L'Astrée, reprend au XVIIe siècle ce genre pastoral. Il met en scène, dans un territoire grec préservé des guerres, des personnages en habits de bergers ou de nymphes dont toute la vie est tendue vers l'amour et l'harmonie. Les hommes, loin d'être pourvus de qualités guerrières, se distinguent par leur noblesse d'âme et leur sensibilité, et tous les personnages rivalisent d'éloquence comme de goût. Un peu plus tard, dans © rue des écoles, 2012 5 évolution du genre romanesque la seconde moitié du XVIIe siècle, Madeleine de Scudéry écrit des romans (par exemple Clélie) dans lesquels les lecteurs peuvent découvrir les parcours amoureux des personnages, récits très longs car fondés sur le détail des émotions et des progrès faits par les protagonistes sur la « Carte du Tendre ». Critique du roman pastoral et roman d'analyse Cependant, ce type de romans, malgré son succès, se trouve discrédité. En effet, les personnages semblent d'une perfection peu crédible, l'atmosphère est ressentie comme trop idyllique, et certains auteurs et lecteurs (en particulier les lecteurs qui n'appartiennent pas à la noblesse) s'en éloignent. Le Roman comique de Scarron se joue ainsi des romans pastoraux, comme le révèle son incipit : « Le soleil avait achevé plus de la moitié de sa course et son char, ayant attrapé le penchant du monde, roulait plus vite qu'il ne voulait. Si ses chevaux eussent voulu profiter de la pente du chemin, ils eussent achevé ce qui restait du jour en moins d'un demi-quart d'heure [...] Pour parler plus humainement et plus intelligiblement, il était entre cinq et six quand une charrette entra dans les halles du Mans. » Une autre direction se dessine encore, représentée par La Princesse de Clèves, de Mme de La Fayette, chef d'oeuvre du classicisme et du « roman d'analyse ». Ce roman présente plusieurs spécificités qui le rendent remarquable : - Le récit s'ancre, non plus dans une Antiquité lointaine ou une histoire de légende, mais dans l'histoire réelle. Mme de La Fayette situe en effet ses personnages dans le contexte du XVIe siècle, sous le règne d'Henri II, environ cent vingt ans avant le moment où elle écrit. 6 - Les personnages sont inspirés de personnalités réelles de la Cour d'alors, et l'auteur mêle donc réalité historique et fiction (ce qui offre aux lecteurs le plaisir du « décryptage »). © rue des écoles, 2012 Ainsi, le roman au XVIIe siècle est varié dans ses formes comme dans ses codes, et a un lectorat divers. Cependant se dégagent certains points communs : la narration d'épisodes centrés autour de personnages que le lecteur suit dans son parcours, et une prose au service de l'action et de la peinture des sentiments. le personnage de roman - La langue employée dans ce roman est extrêmement classique - pas d'oralité, de la mesure dans l'expression - pour mieux révéler les troubles et les secousses engendrés par la passion amoureuse. La psychologie des personnages est donc un élément essentiel de ce roman comme des romans d'analyse qui lui succèderont. 3. XVIIIe siècle : roman épistolaire Dans la seconde moitié du XVIIe siècle et tout au long du XVIIIe siècle, le roman par lettres se développe et connaît un grand succès. Ces ouvrages se présentent sous la forme de lettres croisées, envoyées et reçues par les différents personnages. Plusieurs particularités propres à cetre forme sont à relever : - Tout d'abord, la forme épistolaire permet à l'auteur de jouer sur les frontières entre réalité et fiction. Plusieurs de ces romans se présentent ainsi (grâce à une préface ou un avertissement) comme un échange réel de lettres, et l'auteur affirme alors n'être que le découvreur et l'éditeur de ces textes. Cela permet bien sûr de contourner la censure ou la condamnation (pour immoralité, ou irréligion), mais cela offre aussi la possibilité de faire entrer plus facilement le lecteur dans un univers dont il pense qu'il est « vrai ». - En outre, le fait que le récit soit formé de lettres engendre une conséquence importante : le changement de narrateur. En effet, le roman a autant de narrateurs qu'il y a de personnages écrivant les lettres. De ce fait, des points de vue divergents sur un même © rue des écoles, 2012 7 évolution du genre romanesque épisode se confrontent, et le lecteur a le plaisir de saisir les incompréhensions, de comparer les perceptions de chacun, comme s'il observait les faits selon une multiplicité d'angles. On retiendra (entre autres !) La Nouvelle Héloïse, de Rousseau (correspondance amoureuse entre deux amants) et Les Liaisons dangereuses, de Choderlos de Laclos (les aventures libertines de deux héros scandaleux). 4. XIXe siècle : le triomphe du roman À la suite des Lumières, mais aussi avec le développement industriel et l'essor de la bourgeoisie, le roman connaît au e XIX siècle un grand succès, et s'oriente majoritairement vers une représentation fidèle de la réalité sociale- sans se limiter à la classe dirigeante. o Le mouvement littéraire du réalisme s'attache ainsi à décrire scrupuleusement les faits et gestes de personnages issus du « peuple » ou du « grand monde ». Balzac révèle cette ambition totalisante à travers le titre qu'il choisit pour rassembler ses ouvrages : La Comédie humaine. Ce titre ne signifie en aucune manière une intention comique, il signifie la volonté de saisir les masques et les diverses conditions ou états des hommes. Flaubert (L'Éducation sentimentale), Maupassant (Une Vie, Pierre et Jean) cherchent également à montrer aux lecteurs les parcours de personnages parfois très humbles, en privilégiant une narration objective. Parallèlement, le lectorat féminin apprécie toujours les ouvrages relatant des histoires d'amour « romanesques » - ce que Flaubert met précisément en scène dans Madame Bovary, roman dans lequel le personnage éponyme se nourrit de rêves sans jamais pouvoir se satisfaire de la réalité. 8 o Un peu plus tard, le naturalisme poursuit cette ambition, avec un aspect scientifique plus marqué. Pour Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » © rue des écoles, 2012 5. Vers le contemporain Aux XXe et au XXIe siècles, le roman est toujours un genre particulièrement prisé par les auteurs comme par le public, mais la variété qui l'a toujours caractérisé s'accroît encore : le personnage de roman grâce auquel on peut étudier les comportements humains, et les révéler (voire les dénoncer). S'appuyant sur des notes précises, des romans comme Nana, Germinal, La Bête humaine, etc. évoquent un pan de la société et des conflits ou problèmes réels, à travers la fiction. - Certains romanciers creusent la veine du XIXe siècle et s'attachent à la description du réel - tout en apportant des innovations de style ou de construction. Parmi eux, de nombreux auteurs, marqués par la violence de la première moitié du XXe siècle, prennent position par rapport à l'insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : ainsi Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L'Espoir, Camus avec La Peste, etc. - Le roman d'analyse est toujours présent, ainsi que le roman historique, ou le roman d'aventures ; le roman policier (apparu au XIXe siècle) connaît un essor important, ainsi que le récit de science-fiction ; - Dans les années 1950, le « nouveau roman » refuse la psychologie et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l'extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le soin de « construire » un personnage et un univers ; - Enfin, les frontières entre fiction et réalité se brouillent, avec des genres comme l'auto-fiction, mêlant autobiographie et fiction. Conclusion Le roman, en offrant un univers fictionnel, permet au lec© rue des écoles, 2012 9 évolution du genre romanesque teur de s'évader du réel et de savourer les plaisirs de l'imagination. Mais, parce que le parcours de personnages individualisés forme le pivot de cet univers, le roman est en même temps un révélateur et une évasion de ce réel. Ses formes, extrêmement diverses, en font ainsi un outil privilégié pour interroger notre monde comme nousmêmes : notre « condition humaine » (titre d'un roman de Malraux). 10 © rue des écoles, 2012 Un roman est une oeuvre en prose, assez longue, retraçant le parcours d'un « héros » : comment se constitue l'identité du personnage, et que recouvre précisément le terme héros ? 1. Le personnage de roman : qui est-il ? o Le personnage principal du roman s'oppose au héros antique ou à celui du théâtre tragique : il n'a pas la grandeur et la noblesse des héros légendaires, il ne représente pas la lutte digne face à un destin implacable. De manière nettement moins glorieuse ou grandiose, il incarne des sentiments et un parcours qui pourraient être ceux des lecteurs. Bien sûr, le protagoniste peut, dans certains romans, vivre des aventures extraordinaires ou faire preuve d'une grandeur admirable. Mais, depuis le XVIIe siècle, les romanciers cherchent à faire vivre des personnages qui soient proches de leurs lecteurs et de leur quotidien. Le « héros » est alors dénommé comme tel en tant qu'il est le pivot du roman, et non plus selon la définition étymologique : il n'est plus un demi-dieu. Le roman met en scène un personnage face au monde, un être nuancé, aux réactions complexes et diverses. le personnage de roman Personnage : héros et anti-héros o Selon le genre du roman ou le mouvement littéraire auquel il appartient, le personnage sera différent, et s'adressera ainsi à des « parts » différentes chez son lecteur : - héros incarnant nos désirs d'exploration, notre ambition dans les romans d'aventures et d'action ; - personnage soumis aux affres de la passion, pris dans les contradictions ou les doutes de ses sentiments et de ses désillusions dans le roman d'analyse et le mouvement littéraire du romantisme ; - personnage cherchant à affronter le monde et avide d'ascension sociale dans le roman réaliste ; © rue des écoles, 2012 11 personnage : héros et anti-héros - personnage interrogeant le monde et l'individu dans les oeuvres du XXe siècle, etc. 2. Le personnage de roman : comment existet-il ? Le romancier crée, dans son oeuvre, un « être de papier » : cet être de fiction n'a, par définition, aucune existence réelle (ce qui l'oppose aux personnages de l'autobiographie). Toutefois, afin que le lecteur puisse s'identifier au personnage, le romancier doit donner l'illusion du réel. Il utilise pour ce faire de nombreux « outils », grâce auxquels le personnage prend chair dans l'épaisseur du livre. Caractérisation directe du personnage - Le héros est d'abord caractérisé par sa désignation : un prénom et un nom, le plus souvent signifiants. Certains patronymes donnent ainsi un « indice » sur le caractère ou la condition sociale du personnage (par exemple Félix de Vandenesse, dans Le Lys dans la vallée, de Balzac). - Son identité est complétée par un physique, des vêtements, l'appartenance à un certain milieu, l'environnement familial, etc. Zola ajoutera à ces éléments la notion d'hérédité. - Une caractérisation psychologique est également présente. Chez Balzac, le physique et le caractère sont souvent liés : Madame d'Espard, femme du monde cruelle et intéressée, est ainsi dotée d'un « profil d'aigle ». Caractérisation indirecte du personnage 12 Le héros peut également livrer sa personnalité à travers des éléments « indirects » : ses gestes, ses mimiques, ses actions, son comportement sont autant de pièces qui viennent compléter le puzzle. De plus, les dialogues © rue des écoles, 2012 Enfin, un objet ou un vêtement peuvent être davantage que des « attributs » du personnage : ils sont parfois comme des symboles, ou des images, donnant un éclairage essentiel sur le héros. Flaubert par exemple, lorsqu'il fait le portrait de Charles Bovary, l'affuble d'une invraisemblable casquette - et la description détaillée du couvre-chef ridicule signe dès les premières pages de l'oeuvre la condamnation de ce personnage. le personnage de roman insérés dans le récit sont également porteurs d'indications sur le personnage. En effet, les mots prononcés, mais aussi le ton (donné grâce aux incises) sont révélateurs de sa personnalité. Caractérisation dynamique Le personnage de roman n'est pas fixé une fois pour toutes : il évolue constamment, au fur et à mesure de l'oeuvre. D'une part, le lecteur découvre le héros au fil des épisodes, chaque réaction nouvelle permettant d'enrichir la vision qu'il a déjà de lui. D'autre part, le héros, confronté à des situations diverses, peut se transformer, voire radicalement changer. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal montre un Julien Sorel d'abord totalement absorbé par ses ambitions sociales, prêt à tout pour « réussir » et sortir de sa condition. Puis, à la fin du roman, un homme se rapprochant au contraire de ses pairs, rejetant l'hypocrisie et l'ambition au profit de l'amour et de la solidarité. Les techniques à l'oeuvre Ces différentes caractérisations se font par l'intermédiaire de plusieurs « techniques ». La description est bien sûr l'outil privilégié du romancier qui veut « donner à voir » son personnage. Les images (comparaisons et métaphores) sont également essentielles pour concrétiser un trait de caractère, par exemple. Quant à la focalisation, elle permet des variations dans la présentation et la découverte du héros, engageant parfois le sens de l'oeuvre tout entière : © rue des écoles, 2012 13 personnage : héros et anti-héros - la focalisation zéro (point de vue omniscient) est celle par laquelle le romancier se fait « tout-puissant » : il sait tout de son héros, livre ses pensées les plus intimes. La psyché du personnage est dans ce cas presque transparente aux yeux du lecteur. - la focalisation interne permet aussi de connaître les émotions ou jugements du héros - mais pas ceux d'autres personnages. De fait, le lecteur ne surplombe plus la « population » du roman, il est avec l'un d'entre eux, et découvre en même temps que lui, de l'extérieur comme lui, les réactions des autres personnages. Ce mode de focalisation facilite l'identification au héros. - la focalisation externe fait du romancier une « caméra » enregistrant l'extérieur des choses. Cette technique laisse le lecteur construire lui-même ses interprétations - et affirme que le monde est opaque, impénétrable. 3. Du héros à l'anti-héros Comme on l'a vu, contrairement au sens étymologique, le héros de roman n'est pas un demi-dieu de légende, il est plus proche de la réalité. Il a donc d'une part la capacité d'exprimer les nuances des individus, et d'autre part celle d'incarner différentes conceptions de l'homme, selon les époques. o Les personnages de romans portent encore parfois les valeurs des héros chevaleresques, ils sont parfois des « modèles » dans le domaine social, moral, spirituel, etc. 14 o Mais ils peuvent cependant être tout aussi bien des héros « médiocres »Enfermés dans leur condition sociale ou familiale, ils ne sont pas armés pour lutter ou manquent de grandeur. Claude Lantier, dans L'OEuvre, de Zola, se suicide après avoir compris qu'il n'atteindrait jamais son idéal. Jeanne, dans Une Vie, de Maupassant, est littéralement écrasée par la société. Ces personnages © rue des écoles, 2012 o Au XXe siècle, l'anti-héros est toujours présent, mais on assiste également à ce que l'on pourrait appeler la « mort du héros » : - Du fait des deux guerres mondiales, le dou...

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