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VILLE-D'AVRAY ou L'ÉTANG VU À TRAVERS LA FEUILLÉE (Jean-Baptiste Corot)

Publié le 22/02/2012

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corot
"Souvent, raconte Henri Dumesnil dans Corot, souvenirs intimes, alors que tous dormaient, il restait dans sa chambre pendant une partie de la nuit, la fenêtre ouverte, absorbé dans la contemplation du ciel, de l'eau et des arbres. La solitude était complète ; nul bruit ne venait troubler le rêveur sur ce coteau solitaire ; il passait ainsi de longues heures, l'oeil emporté, et sans doute la pensée, dans cette atmosphère chargée d'humidité, imprégnée d'une sorte de moiteur visible, faite des vapeurs transparentes et légères qui s'élevaient au-dessus de l'eau."

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