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Howard Carter

Publié le 16/09/2014

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En Égypte, de nouveaux bou­leversements politiques pro­voquent la chute du gouver­nement, ce qui permet, en novembre 1924, le retour de Carter, lequel reprend l'in­ventaire de la tombe, au grand soulagement de Pierre Lacau, directeur général du Service des Antiquités. Jus­qu'en 1932, dix ans après la découverte de la tombe, Car­ter travaille sans relâche à la restauration de ses trésors, puis se lance dans la rédac­tion d'un récit préliminaire, The Tomb of Tutankh.Amen, publié en 1933. Pendant six ans, jusqu'à sa mort à Prince's Gate Court dans le quartier londonien de Kensington, il se consacre à l'élaboration d'un ouvrage énorme, une somme dédiée à l'histoire de sa découverte.

Quand il meurt, le 2 mars 1939, cet archéologue prodi­gieux n'a connu aucun hon­neur officiel qui aurait rendu hommage à sa fabuleuse dé­couverte. Par testament il lègue tous ses biens à sa niè­ce Phyllis Walker. Sa très bel­le collection d'antiquités est rachetée par le roi Farouk pour le musée du Caire. La maison où il vécut, « Castle Carter «, sur la rive occiden­tale de Thèbes, devient la propriété du Metropolitan Museum of Art.

« ~ ~-- -- ""'~""'~"""'""'"'~"""'""-~~_.,,,, - ~ ~ 1;-:;;{I Mi~,~-" ',;< ~~ ~ ~ ' • tique et, à l'issue d'un bras de fer avec le gouvernement égyptien qui se solde par une grève, Carter se voit privé du droit de terminer ses fouilles.

Une gloire éphémère et inattendue L a sentence tombe : en abandonnant la sépul­ ture, Howard Carter s'est ex­ posé au verdict du gouverne­ ment nationaliste égyptien, qui annule la concession.

In­ digné, l'archéologue riposte et se lance dans une procé- dure judiciaire.

Rien n'y fait.

Le trésor de Toutânkhamon, sa découverte, lui est retiré.

Mortifié, Carter s'enfuit en Angleterre, puis aux États­ Unis, enfin au Canada où il donne une série de confé­ rences.

Contre toute attente, l'homme bourru, connu pour son caractère difficile, mon­ tre un grand talent de conté- rencier .

Habité par sa pas­ sion, il rapporte avec fougue ses découvertes, son expé­ rience des fouilles et des tra­ vaux de dégagement devant un auditoire de plus en plus nombreux.

Les salles sont pleines, on se presse pour ve­ nir l'entendre.

Le 18 juin 1924, il reçoit le titre de doc­ teur honoris causa de l'uni ­ versité Yale.

En Égypte, de nouveaux bou­ leversements politiques pro­ voquent la chute du gouver ­ nement, ce qui permet, en novembre 1924, le retour de Carter, lequel reprend l'in­ ventaire de la tombe, au grand soulagement de Pierre Lacau, directeur général du Service des Antiquités.

Jus­ qu'en 1932, dix ans après la découverte de la tombe, Car­ ter travaille sans relâche à la restauration de ses trésors, puis se lance dans la rédac­ tion d'un récit préliminaire, The Tomb of Tut.ankh.Amen, publié en 1933.

Pendant six ans, jusqu'à sa mort à Prince's Gate Court dans le quartier londonien de Kensington, il se consacre à l'élaboration d'un ouvrage énorme, une somme dédiée à l'histoire de sa découverte .

Quand il meurt, le 2 mars 1939, cet archéologue prodi­ gieux n'a connu aucun hon­ neur officiel qui aurait rendu hommage à sa fabuleuse dé­ couverte.

Par testament il lègue tous ses biens à sa niè­ ce Phyllis Walker.

Sa très bel­ le collection d'antiquités est rachetée par le roi Farouk pour le musée du Caire.

La maison où il vécut, « Castle Carter », sur la rive occiden­ tale de Thèbes, devient la propriété du Metropolitan Museum of Art.. »

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