Méndez Arceo (Sergio)

« americaine.

Gregoire Lemercier et Ivan Illich opteront pour l'etat Ialc apres des demeles avec la Congregation pour Ia Doctrine de la fol (ex-Saint-Office), qui, en 1968, convo- que aussi Mendez Arceo a Rome.

Celui-ci n'accepte de se justifier que devant le pape, mais it ne parvient pas a preserver les experiences de Lemercier et d'Illich. 4 Au Conclle Vatican 11, Mendez Arceo se fait l'avocat des francs-mapons, des juifs, de Ia psychanalyse et du mariage des pretres.

A Cuernavaca, it se signale par une renovation liturgique en depouillant sa cathedrale des ornements baroques et en creant la a masse panameri- caine qui incorpdre la musique populaire.

II travail!e a la transformation des ecoles catholiques en ecoles pubil- ques.

Bien qu'isole parmi ees pairs, itest grandement responsable des energiques prises de positions sociales de l'episcopat mexicain apres 1971. 5 S'inscrivant en faux contra le capitalisme at !Impede- lisme (qui, dit-II,a remplace lecolonialisme), Mendez Arceo n'admet cependant le marxisme que comme sys- terne d'analyse de la reedit& et la violence, que si elle repond vraiment a la violence des oppresseurs.

En 1972, it est le seul eveque a assister a Santiago du Chili au congres du mouvement Chretiens pqur le soclalisme.

II y rencontre Fidel Castro qui I'invite a visiter Cuba.

Au cours de ce voyage, II approuve la revolution cubaine, avec cependant quelques reserves.

Comme Mgr Helder Camara, archeveque de Recife au Brasil, Mgr Mendez Arceo est pratiquement ecarte depuis 1974 du CELAM, le conseil episcopal latino-americain, qui fonde ses espoirs plutot sur un reformisme social de type demo- crate-chretier que surdeschangements deregime radicaux. américaine.

Grégoire Lemercier et Ivan lllich opteront pour l'état laïc après des démêlés avec la Congrégation pour la Doctrine de la foi (ex-Saint-Office), qui, en 1968, convo­ que aussi Mendez Arceo à Rome.

Celui-ci n'accepte de se justifier que devant le pape, mais il ne parvient pas à préserver les expériences de Lemercier et d'Illich.

4 Au Concile Vatican II, Mendez Arceo se fait l'avocat des francs-maçons, des juifs, de la psychanalyse et du mariage des prêtres.

A Cuernavaca, il se signale par une rénovation liturgique en dépouillant sa cathédrale des ornements baroques et en créant la « messe panaméri- caine », qui incorpore la musique populaire.

Il travaille à la transformation des écoles catholiques en écoles publi­ ques. Bien qu'isolé parmi ses pairs, il est grandement responsable des énergiques prises de positions sociales de l'épiscopat mexicain après 1971.

5 S'inscrivant en faux contre le capitalisme et l'impéria­ lisme (qui, dit-il, a remplacé le colonialisme), Mendez Arceo n'admet cependant le marxisme que comme sys­ tème d'analyse de la réalité, et la violence, que si elle répond vraiment à la violence des oppresseurs.

En 1972, il est le seul évêque à assister à Santiago du Chili au congrès du mouvement Chrétiens pour le socialisme.

Il y rencontre Fidel Castro qui l'invite à visiter Cuba.

Au cours de ce voyage, il approuve la révolution cubaine, avec cependant quelques réserves.

Comme Mgr Helder Camara, archevêque de Recife au Brésil, Mgr Mendez Arceo est pratiquement écarté depuis 1974 du CELAM, le conseil épiscopal latino-américain, qui fonde ses espoirs plutôt sur un réformisme social de type démo­ crate-chrétien que sur des changements de régime radicaux.. »