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PERRAULT

Publié le 08/04/2013

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perrault

A propos de la pantoufle de «_verre « de Cendrillon: Balzac et Littré sont à l'origine d'un contresens amusant puisqu'ils en font une pantoufle de « vair«, ce tenne désignant la fourrure de petit-gris. Or, dans l'édition originale de 1697, le mot « verre « est employé plusieurs fois par Perrault, qui joue pleinement Je jeu de l'irrationalité puisque, dans un conte de fées, le verre peut être de nature incassable.

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« grande verve narrative.

Des trois œuvres, seule « Peau d 'Ane » semble refléter la volonté de l'auteur de constituer d'abord, dans une langue châtiée et litté­ raire, une sorte de recueil à l'usage des enfants.

Par la suite, le vers, jugé peu adéquat pour traduire avec sensibilité un récit fantas­ tique, sera abandonné au profit de la prose.

LE Sl'ECLE D E LOUIS LE GRANO.

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Les contes en prose, problèmes d'attribution A PAR.

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E n 1697, les contes sont réédités, mais cette fois-ci en prose, avec des moralités en vers et augmentés de trois nouveaux récits : « Cendrillon », « Riquet à la houppe » et « Le Petit Poucet ».

Ils avaient pour titre : Histoires ou Contes du temps passé, avec en frontispice Contes de ma mère /'Oye.

Accueillis avec un grand succès, ils furent réimprimés trois fois avant la mort de leur« auteur».

Parus d'abord anonyme­ ment puis sous le nom de Pierre Darmancour, le fils de Charles, ils firent en effet couler beaucoup d'encre MDCLXXXVJI.

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