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Résumé de "Vilaine" de Constance Briscoe

Publié le 05/05/2015

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TRAVAIL DE FIN D'ETUDES : Lecture d'un livre de témoignage. Constance BRISCOE, Vilaine: L'histoire vraie d'une enfant haïe par sa mère, Hachette Livre UK company, Londres, 2006. Le témoin : Constance Briscoe raconte le calvaire qu'elle a vécu durant son enfance en Angleterre dans les années 1960. Sa mère, Carmen, qui la haïssait lui faisait subir les pires traitements. Mais Constance, qui était abandonnée de tous, fît preuve de courage pour réaliser son rêve de devenir avocate. Constance est devenue plus tard une des premières femmes juge noir d'Angleterre. Chapitre 1 : Ma famille Constance nous explique qu'elle n'a encore jamais raconté son histoire mais qu'elle se doit de l'écrire. Dans le livre on la connait sous le prénom de Clare car elle n'a appris qu'à ses 18 ans qu'elle s'appelle Constance. Sa mère l'a toujours appelé Clare, elle disait qu'elle l'appelait ainsi car elle était transparente et qu'elle voyait très clair en elle. Dans ce premier chapitre elle nous présente chaque membre de sa famille et de sa famille recomposée. Elle nous explique également qu'elle a souffert pendant longtemps d'incontinence nocturne à cause de la maltraitance qu'elle subissait et que sa mère n'arrangeait rien en lui infligeant des corrections pour celles-ci. Chapitre 2 : La famille s'agrandit 1962 Les disputes étaient de plus en plus fréquentes entre les parents de Constance. Et c'est dans une des réconciliations entre ses disputes de plus en plus violentes que la mère de Constance est tombée enceinte de sa dernière vraie soeur. Après l'accouchement, le père, partit car il ne supportait plus sa femme, c'est donc sur Constance que sa mère avait décidé de se défouler « J'avais six ans et les corrections étaient plus fréquentes que jamais. ». Chapitre 3 : Un nouveau « père » 1964 Eastman était un nouveau venu dans la famille, c'est le nouveau beau-père de Constance. Elle ne l'aimait pas. A cause de lui, les corrections qui avaient diminué, reprirent plus fréquemment. Il se mit à prendre l'habitude d'espionner constance (et ses soeurs) et d'appeler leur mère dès qu'elle mouillait son lit ou lui répondait, ce qui entrainait de nouvelles corrections. C'est à cette époque que Constance fut obligée de se coucher à jeun, car selon sa mère cela l'empêcherait de mouiller son lit. Chapitre 4 : Noël 1965 C'était le jour de Noël, toutes les soeurs de Constance avaient reçu de beaux cadeaux. Constance, elle, a reçu le même cadeau que chaque année, Dollie sa poupée que sa mère lui avait prise quelque jour plutôt. Constance était heureuse de la revoir. Le lendemain, c'est sa mère qui la réveilla avec une nouvelle correction pour avoir mouillé son lit pendant la nuit, elle sortit ensuite de sa chambre avec les draps et sa robe de chambre mouillés. Le soir même elle l'a forcé à remettre sa robe et à se coucher dans les draps humides, c'était la nouvelle punition que sa mère avait trouvé pour avoir mouillé son lit. Chapitre 5 : Laide 1966 Le jour ou Constance a reçu sa photo de classe elle l'a montrée à sa mère par obligation. Celle-ci commença à se moquer de Constance, lui répétant qu'elle était laide, elle se moqua de chaque défaut de sa fille avec son petit ami. Et la força à répéter qu'elle était laide. Plus tard lorsque Consta...

« · Chapitre 5 : Laide 1966 Le jour ou Constance a reçu sa photo de classe elle l’a montrée à sa mère par obligation.

Celle-ci commença à se moquer de Constance, lui répétant qu’elle était laide, elle se moqua de chaque défaut de sa fille avec son petit ami.

Et la força à répéter qu’elle était laide.

Plus tard lorsque Constance cuisinait, sa mère lui a coupé le bras avec le couteau qui lui a servi plus tôt à déplumer le poulet et cela parce qu’elle avait oublié une plume. · Chapitre 6 : Des chaussures neuves 1967-1968 Une fille de la classe à Constance est passée et a demandé à sa mère si Constance pouvait sortir jouer, même si Constance ne l’aimait pas.

Celle-ci refusait mais sa mère a insisté pour que la camarade de classe visite la chambre de constance.

Se doutant bien que Constance ne l’aimait pas et pour humilier sa fille, elle lui a dit que Constance mouillait encore son lit pour qu’elle aille le répéter à toutes ses camarades de classe.

Dans ce même chapitre, Constance Briscoe nous raconte son entrée au Collège l’année suivante.

Cette année-là elle a acheté les plus beaux uniformes et n’a donné qu’à Constance leurs vieux et leurs chaussures usées, beaucoup trop petites.

Elle les a cirées pour qu’elles paraissent neuves.

Elle n’avait encore jamais acheté d’habits à Constance, depuis qu’elle est née, sa mère ne l’a habillée que des vieux vêtements de ses grandes sœurs. · Chapitre 7 : Sorcellerie 1968 C’est cette année-là que Carmen, la mère du témoin, a commencé à l’enfermer dans la cave.

Prétextant qu’elle avait besoin de pomme de terre et qu’elle l’envoyait en chercher dans la cave, elle fermait le verrou et la laissait la pendant plusieurs heures.

Après plusieurs fois, Constance n’y allait plus seule, elle avait compris que leur mère n’enfermait jamais ses sœurs, elle ne leur ferait jamais de mal. · Chapitre 8 : Une bonne petite catholique 1968 C’est à cette époque qu’elle a fait sa communion.

Comme celle-ci approchait et qu’elle le faisait avec toutes les filles de sa classe, elle demandait à sa mère, non de lui acheter une nouvelle robe blanche comme toutes ses amies, mais de lui prêter la robe que ces deux sœurs ont porté à leur communion pour l’essayer.

Sa mère la fit sortir sans même lui répondre.

Les jours passèrent et elle ne savait pas les vêtements qu’elle allait porter.

La veille du jour fatidique elle demanda à sa mère pour l’essayer, celle- ci refusa.

Le jour de la communion elle vint dans sa chambre, lui donnait une robe d’occasion (blanche à l’origine) jaunie par le temps qu’elle avait trouvé dans une friperie, qu’elle la força à porter et dont elle se débarrassa directement après. · Chapitre 9 : J’en appelle à la loi 1969. »

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