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THÉODORE DE BANVILLE

Publié le 05/05/2011

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Disciple de Théophile Gautier, admirateur fanatique de Victor Hugo, Théodore de Banville est une des figures les plus attrayantes du Parnasse. Toute sa vie, sans grands orages, est consacrée à la Littérature. Rédacteur littéraire au Figaro et au National, auteur dramatique, romancier, il est aussi et avant tout poète. Passionné d'art, épris de beauté grecque, dépourvu de tout pédantisme, spirituel, ironique, il associe une sensibilité exquise à une incomparable virtuosité.
• Théâtre : Comédies antiques : Diane au bois (1864); Déidamia (1876); Socrate et sa femme (1885). Comédies italiennes: Le beau Léandre (1856); Les fourberies de Nérine (1864); Le baiser (1888). Comédie médiévale : Gringoire (1866). • Contes : Esquisses parisiennes (1859); Contes féeriques (1882); Contes héroïques (1884); Contes bourgeois (1885). • Histoire littéraire : Petit traité de Versification française (1872); Histoire du romantisme (1874). • Poésies : Les Cariatides (1842); Les Stalactites (1846); Odes funambulesques (1857); Améthystes (1862); Trente-six ballades joyeuses à la manière de Fr. Villon (1873); Occidentales (1875); Rondels à la manière de Charles d'Orléans (1875); Roses de Noël (1878); Sonnailles et Clochettes (1890).
VARIÉTÉ. Les titres de ces oeuvres en soulignent la variété; cependant, il est aisé de remarquer des courants principaux d'inspiration : Banville continue d'abord le romantisme pittoresque et extérieur, puis recherche l'harmonie grecque et rénove les anciens rythmes français, tour à tour peintre, orfèvre, sculpteur et jongleur.

 

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« Théodore de BANVILLE 1823 - Moulins 1891 - Paris Dans la lignée de Victor Hugo, Alfred de Musset et Théophile Gautier, Banville excella à la fois dans la prose et dans les vers.

Partisan de "l'An pour l'Art", il fut remarqué pour les Cariatides en 1842.

Pourtant, jusqu'en 1857 il est encore très peu lu.

C'est avec les Odes funambulesques qu'il fait un véritable triomphe et qu'il est reconnu comme l'un des plus grands poètes de son temps.

Amoureux de la rime, qu'il a fort riche.

il est l'un des précurseurs de la doctrine poétique parnassienne.

Il est entre autres l'auteur de : La Pomme (1865), Florise (1870), Petit Traité de poésie française (1872), Les Princesses (1874).

Riquet à la houppe une comédie féérique (1804), etc.

1.

Était-il poète ou militaire ? 2.

Est-il Fun des précurseurs de la doctrine parnas- sienne ou du cubisme? 3.

Il a écrit Les Odes burlesques, vrai ou faux? 4.

Il ne sera reconnu comme un grand poète que longtemps après sa mort, vrai ou faux ?. »

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