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Analyse American Beauty de Sam Mendez

Publié le 28/03/2016

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American Beauty On ne choisi pas de naître. On debarque de ce monde sans qu'on ai notre mot à dire et nous devons alors commencer notre vie avec les armes que le destin nous à donné. On nous force à vivre une vie qui un jour au l'autre, sans que l'on puissent protester, va nous être arrachée. Alors notre vie ne nous appartient en rien, on ne choisi pas le début et on ne choisi pas la fin ; nous somme des êtres-pour-mourir. Ainsi, par quelle manière pouvons-nous nous approprier notre propre vie? On parle alors de "nouvelle naissance" , on renait à la vie. Nous savons qu'il est impossible de renter à nouveau dans le sein de sa mère, afin qu'elle nous accouche de nouveau pour que l'on puissent recommencer notre vie. Alors exercé une nouvelle naissance ne serait qu'une idée symbolique pour atteindre un stade supérieur de notre "je". Pour vivre une nouvelle naissance, il faut vouloir prendre sa vie en main. Le cinéma est un médium qui s'est énomément intéroger sur ce thème de la nouvelle naissance, explorer l'évolution d'un personnage. Si je devais illuster cette idée avec un film je choisirais American Beauty de Sam Mendez qui fait vivre à differentes échelles une renaissance à chacun de ses personages et en particulier au protagoniste principal Lester Brunhma interprété par Kevin Spacey. En effet, American Beauty est un film de réveil. Le réveil de Lester Burham. C'est l'histoire d'un homme qui craint de veillir et qui à l'impression de ne pas avoir profité de son existence. Il est l'anti-héros par excellence : quadragénaire et apathique, un "raté" que ce soit dans sa vie de famille ou dans sa vie professionelle. Lester est un type tout ce qu'il y a de plus ordinaire. Il semble avoir délaisser sa propre vie par paresse, manque d'envie. Il se sent piégé dans sa propre vie qu'il juge vide de sens. Il s'est complétement détaché de sa vie familliale : sa femme Carolyn (Annette Bening) et sa fille Jane (Thora Birch) le déteste. Toute les deux ne cesse dans la première partie du film de le regarder avec condescendance, tel que lorsqu'il fait tomber son attacher-case dans l'allée de la maison. De plus il est toujours relégué à l'arrière plan, caché derrière une fenêtre à barreau du salon qui donne sur l'extérieur, ou encore sur le siège arrière de la voiture là où on aurait tendence à l'imaginer qu'il serait le conducteur ou du moins assis sur le siège passager. Les hiérargies ont évolués en même temps que l'abandon de Lester. Carolyn est donc devenue la chef de famille et Jane est coincée, perdue entre ses figures parentales qui se délitent. Lester est épuisé de raté sa vie. Il en a pleinement conscience et dit en voix-off dès l'ouverture du film qu'il est de toute façon "déjà mort". Il sait qu'il à perdu, raté quelque chose mais il n'arrive même pas à savoir quoi. Il à perdu le feu sacré et sa vie n'a alors plus aucune saveur. La vie de Lester est un sorte de petite mort, il ne lui reste plus qu'a resortir la tête l'eau et se remettre à vivre. Revivre certes, mais pour moins d'une année, car dans cette même ouverture, la voix-off annonce cette menace de véritable mort qui plane au dessus de la tête de Lester. Aisni, c'est le Lester du présent, mort et depuis l'au delà qui nous présente son "je" du passé avec recul et un regard critique. Ainsi il est "déjà mort". On dit qu'avant de renaître il faut mourir symboliquement. Le passage de personnage passif à personnage actif de Lester va s'amorçer après le choc d'un déclancheur émotionel incarné par Angela Haze (Mena Suvari), une jeune et jolie amie de sa fille pour qui il va développer une passion dévorante, et pour qui il voudra changer afin de la séduire. Mais même si Angela est le détonateur de la nouvelle naissance de Lester, celui-ci ira bien plus loin que la simple volonté de mettre dans son lit la jeune fille : il va se desaliéner de lui-même au travers d'une quête de la jeunesse et de la beauté dans son sens le plus générale. Lester c'était englué dans son quotidien car il avait arrêter de rêver, d'espérer. Angela va alors le ramener à la vie, le reveiller pour qu'il amorce sa nouvelle naissance paradoxale. Paradoxale. C'est le terme le plus adéquat plus définir la nouvelle naissance de Lester Burham. Effectivement, le retour à la vie de Lester est tout le contraire de ce à quoi on peut s'atendre. Car, comme évoqué plus tôt, ce retour à la vie va le conduire directement à sa mort. Ceci étant car sont évolution personel va affecter les autres personnages gravitant autour d...

« avec recul et un regard critique.

Ainsi il est "déjà mort".

On dit qu'avant de renaître il faut mourir symboliquement.

Le passage de personnage passif à personnage actif de Lester va s'amorçer après le choc d'un déclancheur émotionel incarné par Angela Haze (Mena Suvari), une jeune et jolie amie de sa fille pour qui il va développer une passion dévorante, et pour qui il voudra changer afin de la séduire.

Mais même si Angela est le détonateur de la nouvelle naissance de Lester, celui-ci ira bien plus loin que la simple volonté de mettre dans son lit la jeune fille : il va se desaliéner de lui-même au travers d'une quête de la jeunesse et de la beauté dans son sens le plus générale.

Lester c'était englué dans son quotidien car il avait arrêter de rêver, d'espérer. Angela va alors le ramener à la vie, le reveiller pour qu'il amorce sa nouvelle naissance paradoxale.

Paradoxale.

C'est le terme le plus adéquat plus définir la nouvelle naissance de Lester Burham. Effectivement, le retour à la vie de Lester est tout le contraire de ce à quoi on peut s'atendre. Car, comme évoqué plus tôt, ce retour à la vie va le conduire directement à sa mort.

Ceci étant car sont évolution personel va affecter les autres personnages gravitant autour de lui : et dès le début nous le savons, l'un d'entre eux finira par assasiner Lester.

Paradoxale, car elle n'a pas la visée attendue.

On aurait tendence à imaginer que notre nouvelle naissance nous emmenera vers une nouvelle vie, une sorte de renouveau une fois notre vie bien commencé.

C'est tout le contraire pour Lester : sa nouvelle naissance ne le mène non pas à une nouvelle existence mais lui apporte la maturité suffisante pour acepter sa vie tel qu'elle est et telle qu'il l'a mené et non pas pour la transformée.

Il renait différent afin de voir la beauté présente dans sa vie, même si elle semble insignifiante.

Un parcours à contre-courant difficil pour lui mais aussi pour les autres qui eux, n'on pas suivi le mouvement. Lester amorçe sa nouvelle vision de sa propre vie, là où les autres sont rester à leurs états de base.

Les personnages sont enfermés dans leurs routine, traduite par une discipline quasi-millitaire imposée par Carolyn pour la famille Burhman ou par le Colonel, le père de Ricky le petit-ami de Jane, pour la famille Fitts.

En effet à l'instar de Lester, chacun des personnage de l'histoire sont prisoniés d'une cage qu'ils se sont eux-même construitent.

American Beauty traite de la façon dont ces personnages vont tenter de se tirés de leurs existences catatoniques.

On y voit la paralysie emotionelle qui vient avec l'âge et la sécurité, des adultes tellement enracinés par leurs routine qu'ils sont effrayés au moindre soupsons de changement.

Une quête du bonheur muée en quête du confort qui affecte leurs enfants, coincée et brutalisé par les névoses de leurs parents.

Les deux familles qui constituent les personnages principaux de ce film sont construitent de la même façon : un chef de famille strict, imposant et castrateur, un parents effacé sans aucune autorité et un adolescent perturbé.

Ces deux familles sont mit en miroir pour qu'on puissent y voir leurs évolution qui sera bien différente dès la remise en question existentielle de Lester. Ainsi American Beauty ce n'est pas l'historie d'une renaissance paradoxale seule, mais également de ses conséquences sur l'évolution des autres.

Alors, attardons nous sur chacun d'entre eux à commencer à le point central de ce big-bang existentiel : Lester Burham.. »

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