Devoir de Philosophie

BEAU FIXE SUR NEW YORK GENE KELLY ET STANLEY DONEN

Publié le 16/07/2011

Extrait du document

new york

Titre original: « It 'salwaysfair weaîher«. Production :Arthur

Freedpour la M. G.M. Mise en scène: Gène Kelly et Stanley

Donen. Scénario:Betty Comden etAdolph Green. Directeur

de la photographie: Robert Bronner. Décors: Edwin B. Willis

et Hugh Hunt. Costumes: Helen Rose. Musique et direc

tion musicale: André Prévin. Montage: Adrienne Fazan.

Interprètes principaux: Gène Kelly (Ted Riley), Dan Dailey

(DougHallerton), CydCharisse (Jackie Leighton). Tourné en:

Cinémascope et Eastmancolor. Distribution: M.G.M. Durée:

102 mn.

new york

« BEAU FIXE SUR NEW YORK GENE KELLY ET STANLEY DONEN/ETATS-UNIS/1955 Titre original: « It 'salwaysfair weaîher ».

Production : A rthur Freedpour la M.

G.M.

Mise en scène: Gène Kelly et Stanley Donen.

Scénario:Betty Comden etAdolph Green.

Directeur de la photographie: Robert Bronner.

Décors: Edwin B.

Willis et Hugh Hunt.

Costumes: Helen Rose.

Musique et direc tion musicale: André Prévin.

Montage: Adrienne Fazan. Interprètes principaux: Gène Kelly (Ted Riley), Dan Dailey (DougHallerton), CydCharisse (Jackie Leighton).

Tourné en: Cinémascope et Eastmancolor.

Distribution: M.G.M.

Durée: 102 mn. LA SUITE D'«UN JOUR A NEW YORK» Le thème : Le film débute par une séquence de montage où Ton voit évoluer trois soldats, Ted, Doug et Angie, pendant la Seconde Guerre mondiale.

Après l'armistice, ils se réunissent dans un bar à New York et font serment d'une amitié éternelle.

Ils se séparent en se donnant rendez-vous dix ans plus tard au même endroit.

Mais les choses auront bien changé. UN SPLIT SCREEN BIEN UTILISÉ « Beau fixe sur New York » est le dernier volet de la fameuse tri logie de musicals réalisés conjointement par Kelly et Stanley Donen.

Le film est avant tout une énorme satire de la télévision et de la publicité.

Il ne connut pas le même succès qu'«Un jour à New York » et « Chantons sous la pluie », certainement par man que d'identification du spectateur avec la musique d'André Prévin, beaucoup moins facile d'accès.

De plus, le ton du film était trop pessimiste pour l'époque mais, en prenant de l'âge, a gagné en saveur. Kelly et Donen ont été les premiers à savoir se servir du format cinémascope, à le rendre plus souple, presque intimiste.

La scène de la « boîte aux lettres géante », par exemple, posait un problème que Kelly et Donen contournèrent par l'utilisation du splitscreen, procédé qu'ils reprirent en fractionnant l'écran en trois pour pré senter trois variations dansées du même thème musical.

Dans la scène du studio de télévision, la bagarre est ainsi montrée de tous les points de vue, y compris de la régiedu studio.

Ces innovations techniques sont restéestrès discrètesau cinéma du fait de leur coût et de l'abandon progressif du cinémascope.

Seuls quelques réali sateurs isolés continuent d'utiliser le splitscreen avec parcimonie. 38 La télévision elle, ne s'en prive pas !. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles