Le vol (Exposé – SVT – Collège/Lycée)
Publié le 17/01/2022
                             
                        
Extrait du document
Recherche documentaire, Pistes de travail & Axes de recherches pour exposé scolaire (TPE – EPI)
marche au sol, les insectes ont créé une structure totalement nouvelle.
À l\'origine, les ailes sont des expansions non articulées du squelette externe au niveau du thorax. Comme celui-ci compte 3 articles, les premiers insectes ailés avaient 6 ailes. Mais le système était peu efficace et elles se sont vite réduites à 4. Les lames thoraciques non articulées ne permettaient qu\'un vol plané. La portance est assurée par l\'aile, mais la force motrice est fournie par un saut ou par la gravité si l\'animal s\'élance d\'un point haut. Aujourd\'hui, il n’existe plus aucun insecte se contentant d\'un vol plané. Tous ont un vol actif, battant des ailes. Certains papillons de jour, comme le flambé, ou le machaon,
ont un vol caractéristique avec des phases de vol actif où les battements d\'ailes alternent avec des phases de vol plané passif.
Une vaste palette de vertébrés utilise le vol plané à des titres divers. Parmi les poissons, le plus connu est l\'exocet ou poisson volant. Sautant hors de l’eau d\'un vigoureux coup de queue, il déploie en guise d’ailes deux nageoires pectorales de grande surface qui, lors de la nage, sont repliées contre le corps. Il peut ainsi parcourir plusieurs dizaines de mètres dans l\'air pour tenter d’échapper à ses prédateurs. Une grenouille de la jungle Indonésienne de l\'espèce Rhacophorus, utilise pour planer ses pattes arrière aux
Les insectes les plus primitifs ont quatre ailes, en général encombrantes car ne pouvant se replier vers l\'arrière.
Elles sont articulées et les puissants muscles du thorax les font se mouvoir. Les articulations, permettant des mouvements très complexes, autorisent un vol à la fois puissant et aisé.
I Les grosses I libellules poursuivent en vol leurs proies et sont capables d\'accélérations foudroyantes,
dechange-ments de cap I quasiment instantanés et de voler tout en maîtrisant une proie remuante.
Les espèces les plus évoluées replient les ailes vers l\'arrière et ont cherché des solutions pour augmenter la coordination des ailes, gage d\'efficacité. La plupart, comme les orthoptères (criquets et sauterelles), les coléoptères (coccinelles et hannetons), ou les
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                                                                                                                            les insectes 	les plus 	primitifs 	ont 	quatre 	ailes, 	en général 	encombrantes 	car ne 	pouvant 	se replier 	vers 	l'arrière.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Elles 	sont 	articulées 	et les puissants 	muscles 	du thorax 	les font 	se mouvoir.
                                                            
                                                                                
                                                                    	les articulations, 	permettant 	des 	mouvements 	très 	complexes, 	autorisent 	un vol à la fois 	puissant 	et aisé.
                                                            
                                                                                
                                                                    les 	grosses 	lift/Iules poursuivent en vol leurs 	proies 	et 	sont 	capables 	d'accéléra	tions 	foudroyantes	, 	de changements 	de cap 	quasiment 	instantanés 	et de voler 	tout 	en 	maîtri	sant une 	proie 	remuante.
                                                            
                                                                                
                                                                    	les espèces 	les plus 	évoluées 	replient 	les ailes 	vers 	l'arrière 	et ont 	cherché 	des 	solutions 	pour 	augmenter 	la 	coordination 	des 	ailes, 	gage 	d'efficac	ité.
                                                            
                                                                                
                                                                    	la plupart	, comme 	les orthoptères 	(criquets 	et sauterelles	), les coléoptères 	(cocci	nelles 	et han	net o	ns), ou les 	
seule paire.
                                                            
                                                                                
                                                                    	l'autre 	est transformée 	en 	étui 	de protection 	chez 	les deux 	premiers 	groupes, 	et en minuscule 	massette 	servant 	à stabiliser 	le vol chez 	les diptères.
                                                            
                                                                                
                                                                    	le s hyménoptères, 	comme 	les abeilles, 	ont 	préféré 	une 	solution 	plus 	originale 	:le couplage 	des 	ailes 	deux 	à deux 	par 	un système 	de 	crochets.
                                                            
                                                                                
                                                                    	C'est 	une 	solution 	en partie 	adoptée 	par 	les papillons.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Malgré 	leur 	petite 	taille	, certains 	insectes 	ont 	des 	capacités 	étonnantes 	de vol.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Le criquet 	migrateur 	peut 	traverser 	l'Atlantique 	d'est 	en ouest, 	et 	le papillon 	monarque 	d'ouest 	en est.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Régulièrement 	d'autres 	papillons, 	comme 	la belle-dame 	(Vanessa 	cardui) 	ou des 	sphinx, 	partent 	du nord 	
de l'Afr	ique 	pour 	coloniser 	l'Europe	, 	dépassant 	parfois 	le cercle 	polaire.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les sphinx 	sont 	des 	as de la voltige.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Outre 	leur 	capacité 	à parcourir 	de 	longues 	distances, 	ils sont capables 	de 	butiner 	les fleur	s en vol.
                                                            
                                                                                
                                                                    	le vol sur 	place	, et même 	en arrière, 	leur 	est 	possible	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
la 	décomposition 	du vol des 	insectes 	est difficile, 	car leurs 	mouvements 	sont 	très 	complexes	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Vu de côté	, le bout 	de 	l'aile battant 	de bas en haut 	et de haut 	en bas 	ne décrit 	pas 	un segment 	de 	
droite	, comme 	on pourrait 	s'y attendre, 	mais 	un 8.
                                                            
                                                                                
                                                                    Et la fréquence 	des 	battements 	atteint 	des 	sommets	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
la 	plupart 	des 	insectes 	inférieurs, 	des 	papillons 	et des 	coléoptères, 	battent 	des 	ailes 	de 5 à 50 fois 	par 	seconde.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Ces 	battements 	sont 	commandés 	par 	des 	influx 	nerveux 	venant 	du cerveau.
                                                            
                                                                                
                                                                    	les abeilles, 	avec 	200 	battements 	par 	seconde, 	ou certains 	moucherons, 	avec 	plus 	de 1 000, 	doivent 	utiliser 	des 	mouvements 	réflexes 	et non 	plus 	des 	mouvements 	volontaires 	pour 	entretenir 	la cadence 	du vol.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Il est vrai 	que 	dans 	ces groupes, 	les muscles 	ne 	sont 	pas 	directement 	attachés 	aux 	ailes, 	mais 	au thorax	.
                                                            
                                                                                
                                                                    C'est 	la déformation 	du 	thorax 	qui fait battre 	les ailes.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les oiseaux, 	aux 	morphologies 	très 	variées	, possèdent 	des 	caractéristiques 	communes 	permettant 	le vol : squelette 	creux 	et très 	léger	; sternum 	(os plat 	situé 	en avant 	de la cage 	thoracique	) 	renforcé 	par 	une 	crête	, le bréchet	, qui 	constitue 	un point 	d'appui 	solide 	aux 	muscles 	des 	ailes 	; corps 	couvert 	de 	plumes	, à la fois 	très 	légères 	et 	résistantes, 	qui conservent 	la chaleur 	du corps, 	protègent 	de la pluie et 	d'autres 	agressions 	extérieures 	tout 	en fournissant 	aux 	ailes 	une 	surface 	portante 	considérable 	et à la queue 	un gouvernail 	très précis 	pour 	guider 	la trajectoire	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
la 	forme 	et la longueur 	des ailes 	sont 	également 	très 	diverses.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Il n'y a rien 	de 	comparable 	entre 	l'aile courte 	et large 	du macareux 	moine 	(Fratercula 	arctica	) et celle 	longue 	et effilée 	de 	
l 'albatros.
                                                            
                                                                                
                                                                    	C'est 	pourquoi 	chez 	les 	différentes 	espèces, 	les performances	, 	en termes 	de vitesse, 	de maniabilité	, de 	souplesse, 	en vol plané 	comme 	en vol 	porté 	ou ramé	, sont 	si diverses.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Mais 	ces ailes 	partagent 	le même  mode 	de 	fonctionnement 	: elles 	battent 	de façon 	synchrone, 	d'une 	manière 	régulière	, 	prenant 	appui 	sur l'air 	pour 	soulever 	l'oisea	u et fonctionn	ant comme 	une 	rame 	pour 	le propul	ser en avant	, d'où 	le terme 	de vol ramé 	ou battu	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Au cours 	du vol de déplacement	, chez 	les moineaux 	par 	exemple, 	les ailes 	
battent 	avec 	une 	amplitude 	relativement 	faible.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Quand 	elles 	sont 	au plus 	haut	, elles 	ne se rejoignent 	pas 	mais 	forment 	un V.
                                                            
                                                                                
                                                                    Puis 	elles 	descendent 	à  l'horizontale	, avant 	de se 	plier 	sous 	le corps.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Durant 	cette 	phase, 	le corps 	de l'oiseau 	s'élève 	légèrement, 	et il est propulsé 	en avant.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Puis 	l'oiseau 	garde 	ses ailes 	plus 	ou moins 	pliées 	dans 	son 	mouvement 	pour 	les 	remonter	, avant 	de les étendre 	à leur 	extension 	maximale.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Dans 	cette 	phase	, 	elles 	ne servent 	pas 	à la propulsion 	et 	l'oiseau 	avance 	sur la vitesse 	acquise, 	
son 	corps 	redescendant 	parfois 	nettement.
                                                            
                                                                                
                                                                    	C'est 	pourquoi 	le vol de 	certaines 	espèces, 	notamment 	les petits 	passereaux	, peut 	apparaître 	ondulé	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Au cours 	du décollage, 	l'effo	rt au 	niveau 	musculaire 	est plus 	intense, 	les 	déformations 	de l'aile 	plus 	importantes 	et l'amplitude 	des 	mouvements 	plus 	grande.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les ailes 	peuvent 	remonter 	presque 	à la verticale, 	et se toucher 	sous 	le corps, 	ce qui est le cas chez 	les 	pigeons	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Mais 	alors 	les battements 	vers 	
le bas 	comme 	ceux 	vers 	le haut 	propulsent 	l'oiseau 	et lui permettent 	de 	s'arracher 	du sol et de prendre 	une 	altitude 	suffisante 	pour 	passer 	au vol de 	déplacement	, bien 	moins 	fatigant.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Si les 	pigeons 	sont 	capables 	d'effectuer 	des 	vols 	de plus  d'un millier 	de kilomètres 	d'une 	seule 	traite, 	ils refusent 	de 	décoller 	plus 	de 7 ou 8 fois 	à la suite 	lors 	d'expérience	s sur le vol.
                                                            
                                                                                
                                                                    	lis ont 	besoin d'une 	période 	de repos 	pour 	reconstituer 	leurs forces	.
                                                            
                                                                        
                                                                    	Le groupe 	des 	oiseaux-mou	ches, 	
spécialisé 	dans le butinage 	des 	fleurs, 	représente 	une 	exception 	remarquable 	à ce schéma.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Leur 	aile 	est rigide, 	l'articulation 	entre 	le bras 	et l'avant	bras 	n'étant 	plus 	fonctionnelle.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Par 	contre, 	la musculature 	est beaucoup 	plus 	importante 	et l'aile développe 	autant 	de puissance 	en montant 	qu'en 	s'abaissant.
                                                            
                                                                                
                                                                    	En fait, 	elle 	fonctionne 	un 	peu 	comme 	celle 	d'un 	insecte, 	d'où 	le 	nom 	de vol vibré 	donné 	par 	les 	ornithologues.
                                                            
                                                                                
                                                                    Les 	oiseaux-mouches, 	comme 	certains 	insectes, 	sont 	en effet 	capables 	d'accé	lérations 	foudroyantes, 	de 	changements 	de direction 	quasiment 	instantanés	, de voler 	sur place 	ou à 	reculons	, capacités 	très 	utiles 	à ces 	butineurs 	de fleurs	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Les sphinx	, 	papillons 	aux 	mœurs 	semblables, 	ont 	un type 	de vol quasiment 	identique 	: la 	fréquence 	des 	battements 	d'ailes 	est 	chez 	eux 	de 50 à 70 par 	seconde, 	pour 	22 à 80 battements 	par 	seconde 	chez 	les oiseaux-mouches.
                                                            
                                                                                
                                                                    
différent 	de celui 	des 	oiseaux, 	l'architecture 	de leur	s ailes 	n'étant 	pas 	identique 	mais 	comparable.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La surface 	de l'aile, 	n'est 	pas 	constituée 	par 	les plumes, 	mati	ère morte 	et donc 	insensible 	aux 	pertes 	de chaleur, 	comme 	chez 	les oiseaux, 	mais 	au 	
contraire 	par 	de la peau, 	tissu 	vivant 	et 	irrigué.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Leurs 	ailes 	sont 	donc 	plus 	fragiles 	que 	celles 	des 	oiseaux, 	qui sont 	régulièrement 	remise	s  à neuf 	par 	la 	mue, 	remplacement 	des 	vieilles 	plumes 	par 	des 	nouvelles	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
D '	autre 	part	, engendrant 	une 	grande 	perte 	de chaleur 	quand 	le temps 	est 	froid, 	elles 	obligent 	les chauves	-souris 	à hiverner 	dans 	les régions 	tempérées 	
ou froides	.
                                                            
                                                                                
                                                                    En fait, 	elles 	supportent 	mal 	la compétition 	avec 	les oiseaux.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Leur 	réussite 	certaine, 	puisqu	'elles 	représentent 	un quart 	des 	mammifères	, 	s'explique 	par 	la spécialisation 	dans 	le 	vol de nuit 	grâce 	à leur 	système 	de 	sonar.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Très 	peu 	d'oiseaux 	se sont 	spécialisés 	dans 	cette 	niche 	écologique.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
L'ART 	DE DECOLLER 	ET D'ATTERRIR 	
• Le moment 	le plus 	délicat 	du vol est 	certainement 	le décollage	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Si le vol est 	aisé, 	une 	fois 	une 	certaine 	vitesse 	et 	une 	certaine 	altitude 	acquises, 	il faut 	arriver 	à s'arracher 	du sol dans 	les 	meilleures 	conditions.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Cela 	demande 	souvent 	beaucoup 	d'énergie	, comme 	nous 	l'avons 	vu avec 	l'exemple 	du 	pigeon.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les solutions 	utilisées 	sont 	diverses	.
                                                            
                                                                                
                                                                    La plus fréquente, 	employée 	par 	la majorité 	des 	oiseaux, 	est un 	battement 	d'ailes 	particulier, 	produisant 	la force 	nécessa	ire au décollage 	et à 	l'acquisition 	de la vitesse 	de croisière 	en un temps 	relativement 	bref	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les insectes 	au vol puissant, 	comme 	les abeilles, 	les mouches	, les libellule	s, 	les papillons	, sont 	capables 	de 	s'arracher 	de leur 	support 	ou du sol 	de quelques 	battements 	d'ailes.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Des 	techniques 	plus 	marginales 	sont 	parfois 	néce	ssaires.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La plus 	simple 	est l'utilisation 	de la 	pesanteur.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Beaucoup	, comme 	la 	punaise 	verte 	ou la coccinell	e , se 	
placent 	sur un point 	haut 	avant 	d'ouvrir 	les ailes 	et de sauter 	dans 	le vide.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Leur 	corps  chute 	légèrement 	avant 	que 	le 	battement 	des 	ailes 	à plein 	régime 	ne leur 	permette 	de prendre 	de 	l'altitude 	ou de garder 	une 	trajectoire 	horizontale	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
criquets	, sautent 	avec 	leurs 	puissan	tes 	pattes 	arrière 	avant 	de déployer 	leurs 	
ailes 	et de continuer 	leur vol.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Certains 	oiseaux 	utilisent 	aussi 	la 	pesanteur 	en se laissant tomber 	d 'un 	point 	haut.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Ce sont 	en général 	de bons 	planeurs	, encombrés 	par 	de longue	s 	ailes 	quand 	ils sont 	à terre.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Ainsi 	les frégates 	et les albatros 	se 	
lancent 	du haut 	des 	falaises 	côtières	, et 	les martinets 	des 	parois 	rocheuses 	ou 	des 	façades 	des 	bâtiments	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
D	'autres 	sont 	obligés 	d'acquérir 	une 	certaine 	vitesse 	grâce 	à leurs 	pattes	, en 	courant, 	avant 	de décoller 	: certains 	vautours, 	les cygnes	, les gros 	canards 	
sont coutumiers 	du fait.
                                                            
                                                                                
                                                                    La plupart 	des 	autres 	espèces 	s'envolent 	sur place, 	comme 	nous 	l'avo	ns v u , mais 	en 	s'aidant 	souvent 	au départ 	d 'un saut 	des 	pattes 	qui fléchis	sent puis 	se 	détendent 	en même 	temps 	que 	les ailes 	se mettent 	à battre	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	• l'atterr	issage 	est également 	un 	moment 	qui 	peut 	s'avérer 	délicat.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Parmi 	les insectes, 	ceux 	qui ont 	du mal 	à décoller 	rencontrent 	souvent 	les 	même	s problèmes 	quand 	ils se posent.
                                                            
                                                                                
                                                                    	grosses 	punaises 	et coléoptères 	en 	particulier.
                                                            
                                                                                
                                                                    	D'autres	, com	me les 	papillons	, les mouch	es ou les abeilles, 	peuvent 	se poser 	dans 	n'importe 	quelle 	position, 	même 	tête 	en bas.
                                                            
                                                                                
                                                                    Leur 	contrôle 	du vol est si précis 	qu'ils ont 	une 	vitesse 	quasiment 	nulle 	quand 	leurs 	pattes 	touchent 	le support	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les 	oiseaux 	utilisent 	leurs pattes 	exactement  comme 	un train 	d'atterrissage	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Alors 	que durant 	le vol 	elles 	sont 	généralement 	rabattues 	en 	arrière 	du corps 	pour 	ne pas gêner 	la 	pénétration 	dans 	l'air, l'oisea	u bascule 	son 	corps 	vers 	l'arrière 	et tend 	les 	patte	s vers 	l'avan	t au moment 	de 	toucher 	le sol.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Puis 	il les laisse 	progressivement 	fléchir 	pour 	absorber 	la brusque 	décélérati	on : elles 	fonctionnent 	comme 	des 	amortisseurs.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les oiseaux 	qui se perchent 	utilisent 	aussi 	une 	autre 	méthode	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ils freinent 	leur 	vol jusqu'à 	faire 	presque 	du sur	place, 	pour 	se laisser 	descendre 	de 	quelque	s coups 	d'ail	es sur leur 	perchoir	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Cana	rd s, 	plongeons 	et autres 	nageurs 	de surface 	utilisent 	la technique 	de 	
l'hydravion	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ils se posent sur l'eau.
                                                            
                                                                                
                                                                    
le 	choc 	de la décélération 	est absorbé 	par 	la poitrine 	qui glisse 	sur l'élément 	liquide 	dans 	un jaillissement 	d'eau ..
                                                                                                                    »
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- ÉPICES, AROMATES ET CONDIMENTS (Exposé – SVT – Collège/Lycée)
 
    
     
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                             
                