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LES PARTIES DU CHATEAU-FORT

Publié le 17/01/2022

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LES PARTIES DU CHATEAU-FORT
1. Le donjon : Mot venant du latin «dominus», tour du seigneur. Tour maîtresse d’un château fort médiéval, demeure du seigneur. Elle dominait le château et formait le dernier retranchement de la garnison en cas d’attaque interne.
2. L’échauguette : Guérite en pierre, placée en encorbellement aux angles d’une muraille fortifiée ou d’une tour d’un château fort, d’un bastion, pour en surveiller les abords. Voir aussi : bretèche et poivrière.
3. La girouette : Plaque de métal qui, en tournant autour d’un axe vertical placé au sommet d’un édifice, indique par son orientation, la direction du vent. Les points cardinaux étant fixe par rapport à l’axe de rotation.
4. Le signaleur : Point lumineux ( lanterne, fanal) placé au-dessus du donjon afin de prévenir les pèlerins de l’emplacement du château fort durant la nuit ou en période de temps sombre.
5. La bannière ou l’oriflamme : Drapeau, enseigne du seigneur représentant son blason. L’oriflamme est un petit étendard ou une ancienne bannière. Elle était utilisée durant les batailles ou placée au haut des tours du château fort.
6. Les mâchicoulis : Mot provenant de mâcher (écraser) et coulis (action de couler). Construction en surplomb des remparts permettant de jeter verticalement des projectiles et des matières incendiaires.
7. Les remparts ou courtine ou mur continu de fortification : Forte muraille, levée de terre, qui forme l’enceinte d’une forteresse, d’une ville fortifiée. La courtine est un mur rectiligne des remparts qui est compris entre deux bastions ou deux tours.
8. La bretèche : Logette rectangulaire à mâchicoulis faisant saillie sur une façade pour en renforcer les défenses. Mot provenant du latin médiéval : brittisca voulant dire fortification bretonne.
9. Le pont-levis : Pont mobile au-dessus d’un fossé, dont le tablier se relève pour fermer l’accès au château.
10. La poterne : Mot provenant du latin «posterala» voulant dire «porte de derrière». Petite porte dérobée qui servait à fuir ou à faire entrer des renforts à l’insu des assiégeants.
11. La rampe crénelée à chicanes : Chemin de ronde entrecoupé de murailles perpendiculaires au mur d’enceinte percés de meurtrières afin de repousser les attaques des envahisseurs pénétrant dans l’enceinte du château.
12. La barbacane : Ouvrage fortifié avancé percé de meurtrières, servant à défendre la porte d’une ville ou d’un château.
13. La tour de guet : Tour élevée permettant d’avoir une vision complète des alentours du château et permettant ainsi d’apercevoir au plus vite les assiégeants.

« LES PARTIES DU CHATEAU-FORT 1. Le donjon : Mot venant du latin «dominus», tour du seigneur.

Tour maîtresse d’un château fort médiéval, demeure du seigneur. Elle dominait le château et formait le dernier retranchement de la garnison en cas d’attaque interne. 2. L’échauguette : Guérite en pierre, placée en encorbellement aux angles d’une muraille fortifiée ou d’une tour d’un château fort, d’un bastion, pour en surveiller les abords.

Voir aussi : bretèche et poivrière. 3. La girouette : Plaque de métal qui, en tournant autour d’un axe vertical placé au sommet d’un édifice, indique par son orientation, la direction du vent.

Les points cardinaux étant fixe par rapport à l’axe de rotation. 4. Le signaleur : Point lumineux ( lanterne, fanal) placé au-dessus du donjon afin de prévenir les pèlerins de l’emplacement du château fort durant la nuit ou en période de temps sombre. 5. La bannière ou l’oriflamme : Drapeau, enseigne du seigneur représentant son blason.

L’oriflamme est un petit étendard ou une ancienne bannière.

Elle était utilisée durant les batailles ou placée au haut des tours du château fort. 6. Les mâchicoulis : Mot provenant de mâcher (écraser) et coulis (action de couler).

Construction en surplomb des remparts permettant de jeter verticalement des projectiles et des matières incendiaires. 7. Les remparts ou courtine ou mur continu de fortification : Forte muraille, levée de terre, qui forme l’enceinte d’une forteresse, d’une ville fortifiée.

La courtine est un mur rectiligne des remparts qui est compris entre deux bastions ou deux tours. 8. La bretèche : Logette rectangulaire à mâchicoulis faisant saillie sur une façade pour en renforcer les défenses.

Mot provenant du latin médiéval : brittisca voulant dire fortification bretonne. 9. Le pont-levis : Pont mobile au-dessus d’un fossé, dont le tablier se relève pour fermer l’accès au château. 10. La poterne : Mot provenant du latin «posterala» voulant dire «porte de derrière».

Petite porte dérobée qui servait à fuir ou à faire entrer des renforts à l’insu des assiégeants. 11. La rampe crénelée à chicanes : Chemin de ronde entrecoupé de murailles perpendiculaires au mur d’enceinte percés de meurtrières afin de repousser les attaques des envahisseurs pénétrant dans l’enceinte du château. 12. La barbacane : Ouvrage fortifié avancé percé de meurtrières, servant à défendre la porte d’une ville ou d’un château. 13. La tour de guet : Tour élevée permettant d’avoir une vision complète des alentours du château et permettant ainsi d’apercevoir au plus vite les assiégeants. 14. La tour d’angle : Tour se trouvant à la jonction de deux remparts ou de deux courtines et se trouvant à l’une des extrémités du château fort. 15. La tour hourdée : Tour d’un château fort surmontée de hourds en bois surplombant les murs.

Les hourds étant une galerie de bois établie en surplomb autour du sommet des murs ou d’une tour du château fort. 16. Les latrines extérieures souvent confondues avec les bretèches : Lieu d’aisance de l’époque.

Les toilettes du moyen âge à ne pas confondre avec les hourds ou les bretèches puisque les latrines se trouvaient en surplomb des remparts du château fort.

Elle était construite en bois ou en pierre. 17. Les arcs de décharge : Arcs de maçonnerie qui servaient à consolider les murs du château fort en cas d’attaques venant d’armes tels que les trébuchets. 18. Les hourds : («hurdel», du Francisque «hurd», voulant dire «palissade»).

Galerie de bois établie en surplomb autour du sommet des murs ou de tours d’un château fort. 19. La poivrière : Guérite de maçonnerie à toit conique placée en encorbellement (en surplomb) à l’angle d’un bastion ou à l’angle de deux remparts.. »

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