Devoir de Philosophie

Suite "Matin Brun"

Publié le 29/09/2015

Extrait du document

…Mais arrêtez de frapper si fort, j’arrive. Deux miliciens se trouvaient devant ma porte :   « Bonjour monsieur, nous vous arrêtons pour avoir commis un délit ! - Excusez-moi messieurs ? -Vous aviez anciennement un chat non brun et selon la loi en vigueur posséder ou avoir possédé un chat ou un chien non brun est une injure à l’état national. « Ces deux miliciens venaient m’arrêter à cause de mon chat  exactement comme Charlie ! J’étais angoissé… « Monsieur, suivez-nous ! « J’entendais des gens murmurer :   « Mais oui ! C’est encore cette loi qui sanctionne les anciens propriétaires de chiens ou de ...

« cherché la clé.

Celle-ci en notre possession, nous sommes repartis bien sûr sans faire de bruit.

Mais on aperçut le garde arriver.   Charlie me dit de vite rentrer, et avec émerveillement nous trouvâmes une porte dans la cuisine pour sortir de cette maudite maison.  Rapidement, nous passâmes la petite issue pour sortir.

Enfin dehors, je fus complétement soulagé !  Nous entendîmes les gardes crier : « Deux personnes se sont échappées de leur cellule ! Trouver-les ! » Heureusement, ils nous cherchaient dans la prison alors que nous étions dehors.

Une fois sortis, il fallait rapidement se cacher ou partir loin de cet endroit.

Pendant toute la nuit, Charlie et moi étions affamés.

On se demandait si nous n'allions pas mourir de faim !    Tout d'abord, je pensais retourner chez moi.

Mais comme nous avions été arrêtés là-bas, il était nécessaire de partir de ce pays.

Habitant dans le sud de l'Allemagne, nous avons pensé à la Suisse. Après les frontières, ce ne serait pas si facile sans nos passeports… Charlie avait de la famille en Suisse, elle pourrait peut-être nous cacher.

Avant d'arriver dans ce nouveau pays, notre estomac nous rappela à l'ordre.  Apres avoir mangé rapidement dans une auberge, un habitant nous dit qu'on pouvait passer par la montagne pour ne pas être contrôlé.

Après une longue marche très fatigante, nous arrivions en Italie !    Charlie et moi nous nous sentirent en sécurité.

Il ne restait plus qu'à rejoindre la famille de mon ami. Quelques semaines plus tard, la vie avait recommencé dans un pays vraiment plus calme et sans obligations !. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles