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Dans quelle mesure peut-on parler d'une sous culture jeune ?

Publié le 11/08/2012

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culture

Les jeunes ont voulu se démarquer de la culture dominante en formant une sous-culture qui leur ressemble, autour d'une certaine homogénéité culturelle. Cependant, des points communs apparaissent entre ces deux mouvements sociaux, ce qui limite la réelle existence d'une sous-culture.  Lors de la socialisation, les jeunes ont intériorisé les normes et les valeurs propres à la société à laquelle ils appartiennent. Cette transmission sociale s'est effectué par l'intermédiaire de leurs parents membres de la culture dominante mais aussi d'un lien comme l'école. Au cours de l'adolescence, les jeunes s'éloignent et forment une multitude de petites communautés sociales, dîtes sous-cultures, avec des personnes qui partagent une idéologie communes. Cela dit, ils gardent certaines habitudes et pratiques acquises au cours de leur enfance. Des points communs apparaissent avec la culture dominante. Il est donc difficile de parler de sous-culture.  Comme nous pouvons voir dans le document du Nouvel Observateur ; si nous nous intéressons aux pratiques culturelles des Français selon leur âge, en 1992 11% des jeunes âgés de 14 à 20 ans se rendent à la fête foraine au moins 3 fois par an, une attitude similaire avec l'ensemble la population âgée de 15 ans et plus, dont 11% d'entre elle se rend également à la fête foraine. 

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« sont étudiants, nous n'obtiendront pas un résultat conformiste et homogène, des disparités vont apparaitrent : certains auront une aide familiale, un logement à basprix, des subventions, et d'autres pas.

Nous pouvons trouver des différences qui opposent la jeunesse dans tous les domaines, notamment à travers le sexe et l'âge :une fille n'aura pas les mêmes intérêts qu'un garçon.

De plus, l'homogénéité culturelle n'est pas présente, surtout dans les lycées.

Mêmes s'ils acceptent tout le monde,plusieurs styles se rencontrent et s'opposent : les rockeurs aux rappeurs, les riches aux plus démunis… Nous savons que depuis toujours la haute-bourgeoisie s'estconsidérée à part du reste des individus vivant dans sa société.Ainsi, dans notre société postmodernes, la sociabilité chez les adolescents est représentée comme un lien social défait qui est vide sur une échelle collectif.

Denombreuses petites communautés apparaissent, formant ainsi plusieurs sous-cultures jeunes.Comme nous pouvons le voir dans l'article de Michel Fize paru dans le trente troisième numéro de Sciences Humaines, ces communautés adolescentes deviennentparfois des "bandes" et ont une certaines autorité morale sur leurs membres.

Elles veulent se faire remarquer à tout prix, sinon elles seront rejetées aussitôt.

Nousavons parfois affaire à des contre-cultures : la culture de ces groupes est en opposition avec la culture dominante, leurs normes et valeurs sont totalement opposés àcelle de la culture qui domine leur société.Tous les individus sont uniques et spéciaux, de ce fait chaque jeune possède sa propre sous-culture.

Bien que la jeunesse puisse partager des normes et valeurscommunes, les adolescents sont trop différents pour pouvoir les réunir et former une unique sous-culture.

Le statut social et le niveau de vie ont un impact important.Tous ne peuvent pas avoir les mêmes intérêts communs. B.

Malgré le désir des jeunes d'avoir une sous-culture différente de celle du monde adulte, des similitudes les rapprochent. Les jeunes ont voulu se démarquer de la culture dominante en formant une sous-culture qui leur ressemble, autour d'une certaine homogénéité culturelle.

Cependant,des points communs apparaissent entre ces deux mouvements sociaux, ce qui limite la réelle existence d'une sous-culture.Lors de la socialisation, les jeunes ont intériorisé les normes et les valeurs propres à la société à laquelle ils appartiennent.

Cette transmission sociale s'est effectué parl'intermédiaire de leurs parents membres de la culture dominante mais aussi d'un lien comme l'école.

Au cours de l'adolescence, les jeunes s'éloignent et forment unemultitude de petites communautés sociales, dîtes sous-cultures, avec des personnes qui partagent une idéologie communes.

Cela dit, ils gardent certaines habitudes etpratiques acquises au cours de leur enfance.

Des points communs apparaissent avec la culture dominante.

Il est donc difficile de parler de sous-culture.Comme nous pouvons voir dans le document du Nouvel Observateur ; si nous nous intéressons aux pratiques culturelles des Français selon leur âge, en 1992 11%des jeunes âgés de 14 à 20 ans se rendent à la fête foraine au moins 3 fois par an, une attitude similaire avec l'ensemble la population âgée de 15 ans et plus, dont11% d'entre elle se rend également à la fête foraine.

Aussi, si nous comparons les valeurs des 15 -20 ans avec celles de l'ensemble de la population, nous remarquonsdes points communs.

En effet, sur 100 jeunes, 72 pensent que le mariage est important.

De même pour l'ensemble de la population qui juge à 72% l'importance decelui-ci.

De plus, 44% des jeunes et 41% de l'ensemble de la population trouve que l'honnêteté est une valeur importante.Parler de sous-culture jeune est difficile en raison des rapports culturels et sociaux similaires avec la culture dominante. Ainsi, nous pouvons conclure qu'au XXIeme siècle, la jeunesse forme une sous-culture, où des normes et valeurs sont instaurées.

Ce moyen lui permet de se retrouveravec des personnes de mêmes âges autour de pensées et d'activités communes.

De plus en plus, les jeunes échangent des rapports sociaux à travers la culture, qu'ellesoit musicale ou sportive.

Une solidarité les unis.Cependant, nous pouvons distinguer des limites à cette notion de "seule et même sous-culture jeune".

Chaque individu de ce monde est différent, avec des normes,valeurs, comportements ou encore loisirs qui lui sont propres.

L'ensemble de la jeunesse ne peut former une seule sous-culture en raison d'une absence d'homogénéitésociale.

Trop de disparités opposent les jeunes, du niveau social à l'état d'esprit.

Aussi, la sous-culture adolescente comporte d'importantes similitudes avec la culturedominante, ce qui remet en question la possible présence d'une sous-culture jeune.Récemment en France, la plupart des adolescents utilisent en nouveau moyen de communication via internet, qui est le plus grand réseau social au monde :Facebook.

A travers ce site internet, les jeunes communiquent beaucoup et se confient entre eux des rassemblements sont mêmes organisés.

Ce phénomène va t-ilmarquer une évolution dans les sous-culture jeune.. »

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