Devoir de Philosophie

DomotiQue

Publié le 04/11/2013

Extrait du document

La domotique utilise des TIC qui peuvent être très consommatrices d'énergie et de matières rares ou précieuses. Elle peut chercher à diminuer son empreinte écologique (« éco-domotique «) et celle de ses utilisateurs par un écodesign, en facilitant une meilleure maîtrise de la consommation énergétique de l'habitat, en améliorant l'efficience énergétique des installations, ou le pilotage automatique d'installations de production d'énergie (ex : association de panneaux solaires suivant le soleil, de « petit éolien « uniquement activé (pour limiter l'usure des pièces) quand les conditions de vent sont idéales et/ou pompe à chaleur activée quand le différentiel de température est idéal, etc.). Les nouvelles normes de construction imposent une meilleure gestion de l'énergie. Ainsi, en France, depuis 2005, il est obligatoire de couper le chauffage lorsque l’on ouvre une fenêtre[3]. Depuis le 1er janvier 2013 la RT 2012 (issue du Grenelle de l'environnement) commence à imposer aux nouveaux permis de construire l'affichage et la mesure des consommations d'énergie pour au minimum les 5 postes suivants : ventilation, climatisation, chauffage, éclairage, et production d'eau chaude sanitaire, ceci afin d'aider à ce que la norme de "50kW/m2/an" ne soit pas dé...

« Ainsi, en France, dès les années 1990, des bailleurs sociaux (organismes HLM) utilisaient des outils de veille et de gestion techniques, administrative et financière à distance, pour leurs immeubles, via des « programmes d'interface de Domotique Collective ». Le principal frein était[5] le manque d'interopérabilité entre des équipements produits par des fournisseurs différents (Dans ce cas, les interfaces de programmation, les interfaces d'immeubles (IDI) doivent pouvoir communiquer avec les interfaces de logements (IDL) et bientôt avec les smartgrid et autres réseaux communicants (par exemple dans la perspective de l'« internet de l'énergie » qui fonde la Troisième révolution industrielle telle que proposée par Jeremy Rifkin.

En France, France Télécom a ouvert différents réseaux (RTC, TRANSFIX, TRANSPAC, TRANSVEIL, NUMERIS éventuellement câblés) permettant cette mise en réseau « intelligente ».

La ligne téléphonique, puis l'internet tendent à devenir des support privilégié d'une « méta-domotique » interconnectée.

Dans ce contexte, des questions éthiques et techniques se posent quant à la protection de la vie privée et des données personnelles.La domotique utilise des TIC qui peuvent être très consommatrices d'énergie et de matières rares ou précieuses.

Elle peut chercher à diminuer son empreinte écologique (« éco-domotique ») et celle de ses utilisateurs par un écodesign, en facilitant une meilleure maîtrise de la consommation énergétique de l'habitat, en améliorant l'efficience énergétique des installations, ou le pilotage automatique d'installations de production d'énergie (ex : association de panneaux solaires suivant le soleil, de « petit éolien » uniquement activé (pour limiter l'usure des pièces) quand les conditions de vent sont idéales et/ou pompe à chaleur activée quand le différentiel de température est idéal, etc.). Les nouvelles normes de construction imposent une meilleure gestion de l'énergie.

Ainsi, en France, depuis 2005, il est obligatoire de couper le chauffage lorsque l'on ouvre une fenêtre[3].

Depuis le 1er janvier 2013 la RT 2012 (issue du Grenelle de l'environnement) commence à imposer aux nouveaux permis de construire l'affichage et la mesure des consommations d'énergie pour au minimum les 5 postes suivants : ventilation, climatisation, chauffage, éclairage, et production d'eau chaude sanitaire, ceci afin d'aider à ce que la norme de "50kW/m2/an" ne soit pas dépassée. La domotique peut - par défaut, ou sur commande - conditionner l'éclairage et le chauffage d'une pièce, ou la. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles