La misère

« La misère Trouver une accroche, peut-être les Misérables ? Intro : pauvreté, grand dénuement, mauvaises conditions Terme très péjoratif  êtres miséreux, personnes dans la rue, misère sociale Idée d’avoir peu de chance, de ne pas être bien né Etat qu’on se refuse à avoir « oh, misère » = ça ne va pas ; « un salaire de misère » = ne rien gagner MAIS peut nous permettre de voir le monde sous un autre angle, nous détacher du matériel, du superflu, nous pousser à nous révéler et à nous ressourcer  La misère est-elle entièrement mauvaise ? I/ La misère comme état très négatif, éprouvant A) La misère sociale, être ruiné Ne rien avoir, trimer, avoir froid, faim, peiner à subvenir à ses besoins Les Misérables, de Victor Hugo, pauvreté très dure à voir, Causette, Fantine qui doit abandonner sa fille, vendre ses cheveux Germinal, Zola, horreur, mineurs, conditions très éprouvantes, misérables B) Une misère plus humaine Celle qui touche les enfants, des âmes pures et innocentes « Melancholia », Victor Hugo  « mais où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? » « Les Effarés », Rimbaud  Misère humaine Ou encore le meurtre, le viol, l’injustice, la violence, grande misère très pessimiste Remarques du prof : parler de la misère psychologique, la souffrance, la détresse, on se sent appauvri, peu d’estime = se sentir misérable + misère métaphysique, on n’est rien, que poussière et on retournera à la poussière (Bible)  Pascal, Grandeur et misère de l’Homme, ou Misère de l’Homme sans Dieu = seul le jugement dernier compte, le salut de notre âme.

Homme grand car pouvant avoir la foi, sinon misère  Intéressant de découper le 1 sur ces différentes misères II/ Le positif, la lumière A) Une réalisation se détacher du matériel, du superflu, tout perdre mais pour le mieux ! « Le laboureur et ses enfants »  « Le travail est un trésor », autre que l’argent, le matériel, ce qui.... »