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La Terre va-t-elle manquer de place pour l'agriculture?

Publié le 15/08/2012

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agriculture

Les limites internes du monde agricole qui diminuent la qualité des sols sont repoussées par les progrès technologiques futurs mais aussi par la modification des comportements vis-à-vis des sols cultivées et cultivables. Les différentes politiques d'aménagement agraire comme le remembrement permettent d'améliorer la place réservée à l'agriculture. Les différentes révolutions vertes lancées dans certains pays traduisent cette volonté ambiante d'un plus grand respect environnemental nécessaire à l'agriculture. L'exemple de l'utilisation de la terre brune ou « picòn « issue des volcans et qui permet la rétention de l'eau est à l'image d'une démarche respectueuse envers les sols. Les pouvoirs publics adoptent des choix en matière de type d'agriculture et de modes de financements des coûts environnementaux liés à l'agriculture. Les sols seraient très étudiés sous l’aspect de leur aptitude à laisser passer vers la chaîne alimentaire tel ou tel produit potentiellement dangereux pour le consommateur. Le génie écologique a démontré sa capacité à permettre de spectaculaires reconstruction de sols. Certaines techniques agronomiques, beaucoup utilisé en agriculture bio, améliorent en quelques années la structure du sol, et les rendements.

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« progrès dans le domaine de l'hybridation végétale et les organismes génétiquement modifiés permettront un jour de planter dans des zones où les climats sont les plusaustère au développement agricole.

Les déficits hydriques que connaissent certaines zones de la Terre sont généralement compensés par la mise en place des grandssystèmes d'irrigation tel que le barrage sommaire sur cours d'eau, le système de bassin, en réseaux...

Les progrès techniques permettent de gérer ces déficits.

Onenregistre des changements encourageants concernant les besoins d'irrigation.

Le développement de l'irrigation par aspersion, par exemple, pourraient réduire lemanque de sols des pays qui besoin d'une forte production végétale.

Les techniques modernes d'irrigation, notamment le goutte-à-goutte, permettent de préleverbeaucoup moins d'eau sur les rivières et utilisent donc l'eau de manière plus efficace.

Des efforts considérables sont faits dans de nombreux pays confrontés auxproblèmes d'approvisionnement en eau pour réduire les pertes dans les réseaux d'irrigation.

Ce sont des ajustements de ce genre qui devraient permettre à la planèted'affronter au mieux la pénurie d'eau qui sannonce pour le XXIe siècle.Les limites internes du monde agricole qui diminuent la qualité des sols sont repoussées par les progrès technologiques futurs mais aussi par la modification descomportements vis-à-vis des sols cultivées et cultivables.

Les différentes politiques d'aménagement agraire comme le remembrement permettent d'améliorer la placeréservée à l'agriculture.

Les différentes révolutions vertes lancées dans certains pays traduisent cette volonté ambiante d'un plus grand respect environnementalnécessaire à l'agriculture.

L'exemple de l'utilisation de la terre brune ou « picòn » issue des volcans et qui permet la rétention de l'eau est à l'image d'une démarcherespectueuse envers les sols.

Les pouvoirs publics adoptent des choix en matière de type d'agriculture et de modes de financements des coûts environnementaux liés àl'agriculture.

Les sols seraient très étudiés sous l'aspect de leur aptitude à laisser passer vers la chaîne alimentaire tel ou tel produit potentiellement dangereux pour leconsommateur.

Le génie écologique a démontré sa capacité à permettre de spectaculaires reconstruction de sols.

Certaines techniques agronomiques, beaucoup utiliséen agriculture bio, améliorent en quelques années la structure du sol, et les rendements.

Des techniques telles que l'apport de bois raméal fragmenté semblentporteuses d'espoir.

L'apport régulier de matière organique, le non labour et la limitation de l'érosion et du ruissellement qui consiste à réinjecter une couverturevégétale afin de protéger les capacités d'infiltration et rétention de l'eau vont permettre d'étendre la place des terres cultivées.

De plus, L'érosion et la dégradation dessols peut être combattues par des mesures et outils juridiques.

De nombreux pays ont une législation traitant la protection des sols.

Par exemple en Europe il existe leprojet d'une « Directive sols » (qui doit être appliqué depuis), fixant un cadre européen de protection et restauration des sols, avec des objectifs et un calendrier, maislaissant une grande flexibilité aux États-membres dans le choix des moyens d'atteindre ces objectifs. La Terre ne va pas ou peu manquer de place pour l'agriculture dans l'immédiat mais ce constat est moins positif dans un futur proche.

De nombreux facteurs ont unimpact sur l'agriculture moderne en favorisant ou perturbant son expansion et sa production : l'eau en termes de disponibilité mais aussi en termes de qualité, leclimat et ses variations inattendues, le sol, les espèces végétales, les espèces animales, les prédateurs, la mécanisation agricole, l'agronomie et globalement toutl'environnement socio-économique (prix du pétrole, législation, consommateur, gouvernement, etc.).

C'est pour cet ensemble de raison que l'avenir et la placenécessaire à l'agriculture reste obscure malgré son importance primordiale en terme de quantité et de qualité.

Les limites sont présentes mais fréquemment repoussées,la place de l'agriculture sur la Terre sera peu en péril mais à quel coût environnemental, nutritif, gustatif, technologique, économique, social et humain ?. »

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