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Marc Aurèle Marcus Aurelius Antoninus est né à Rome dans une riche et prestigieuse famille d'ascendance espagnole.

Publié le 05/04/2015

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Marc Aurèle Marcus Aurelius Antoninus est né à Rome dans une riche et prestigieuse famille d'ascendance espagnole. Orphelin de père à l'âge de trois ans, il fut élevé par son grand-père. Dans l'Historia Augusta, on raconte qu'il développa très jeune un intérêt pour la philosophie, et fut félicité à six ans par l'empereur Hadrien, qu'i...
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« Marcus Aurelius Antoninus est né à Rome dans une riche et prestigieuse famille d'ascendance espagnole.

Orphelin de père à l'âge de trois ans, il fut élevé par son grand-père.

Dans l' Historia Augusta , on raconte qu'il développa très jeune un intérêt pour la philosophie, et fut félicité à six ans par l'empereur Hadrien , qu'il avait sans doute rencontré par les relations de sa famille.

A douze ans, l'enfant doté d'une solide culture rhétorique et stoïcienne, décida de se vêtir désormais d'une robe de bure grecque.

Le successeur d' Hadrien , l'empereur Antonin, son oncle par alliance, l'adopta ainsi que le fils d' Hadrien , Commodus.

Mais Marc Aurèle se révéla bientôt comme le préféré des deux ; il reçut le titre de césar en 139, devint consul l'année suivante, et épousa Faustine, la fille d'Antonin.

Toutefois, à la mort de l'empereur, Marc Aurèle fit en sorte que lui et son frère adoptif règnent conjointement.

Peut-être pensait-il qu'un trône partagé lui laisserait le loisir d'étudier la philosophie, mais la réalité du pouvoir ne lui permit guère de consacrer de temps à la méditation.

Le règne s'égrena en une série de catastrophes, parmi lesquelles le déluge, la famine, les guerres frontalières, la peste et un coup d'état.

Marc Aurèle débuta ses Pensées lors de la campagne militaire contre les Germains et les acheva à la fin de sa vie.

Elles présentent le dernier grand témoignage de la philosophie stoïcienne antique, dominé par des réflexions sur la mort et la nature transitoire de l'expérience humaine.

Il supporta la maladie et l'agonie de la fin de sa vie (probablement dues à un cancer) avec une attitude toute stoïque.

Au seuil de la mort, il murmura encore : “ pourquoi pleurez-vous sur moi, au lieu de songer à la peste et à la mort, qui sont le lot commun de tous.

”. »

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