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Définition du terme: CRÊTE, substantif féminin.

Publié le 04/12/2015

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Définition du terme: CRÊTE, substantif féminin. I.— [L'accent est mis sur l'idée d'élément saillant] A.— Excroissance sur le corps d'un animal. 1. Excroissance charnue, parfois dentelée, au sommet de la tête du coq, de la poule et d'oiseaux du même genre. Crête écarlate; poulet sans crête; hocher, secouer sa crête. Crête pendante (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). De magnifiques pigeons, aux ailes bronzées, les uns surmontés d'une crête superbe (JULES VERNE, L'Île mystérieuse, 1874, page 108 ). Les poules de son poulailler n'avaient pas (...) la crête nourrie, la plume luisante et le jabot renflé (RENÉ BAZIN, Le Blé qui lève, 1907, page 64) : Ø 1.... la femelle est moins grande, de plumage moins beau, de crête et d'ergots moins développés que le mâle. À lui, au coq, la crête charnue, le bec puissant, la poitrine large, la queue abondante en faucille, les pieds aux ongles acérés. JOSEPH DE PESQUIDOUX, Chez nous, 1921, page 245. · Par métaphore. Flamboie et frissonne l'aurore, Crête rouge du coq matin (VICTOR HUGO, Les Contemplations, tome 2, 1856, page 316 ). [Des] sauges pourprées, aux crêtes éclatantes (ALEXANDRE ARNOUX, Calendrier de Flore. 1946, page 271 ). — GASTRONOMIE. Crête de coq. Cette excroissance charnue du coq, comme mets. Manger deux perdrix et force crêtes de coq en pâté (PROSPER MÉRIMÉE, Chronique du règne de Charles IX, 1829, page 138 ). Douze crêtes de coq blanchies (Les Grandes heures de la cuisine française, Lucien Tendret, 1896, page 199 ). — Locutions. · (Être) rouge comme une crête de coq. (Être) très rouge. Synonyme plus courant : (être) rouge comme un coq. Confer Gaston Leroux, Rouletabille chez le tsar, 1912, page 8. Moi! dit enfin M. Levrault, plus rouge que la crête d'un coq (JULES SANDEAU, Sacs et parchemins, 1851, page 59 ). · Avoir la crête rouge. Être prompt à la colère. Il se connaissait bien pour avoir le sang chaud, la crête rouge, tout de suite enclin aux « promptitudes » (MAURICE GENEVOIX, Raboliot, 1925, page 156 ). Hérisser sa crête. Manifester de l'agressivité, de la colère. Confer Henri-Frédéric Amiel, Journal, 1866, page 380. Une scène avec dents et griffes, une crête hérissée jusqu'au plafond (JEAN GIRAUDOUX, Sodome et Gomorrhe, 1943, I, 1, page 24 ). · Lever, dresser la crête. Montrer de la hardiesse, de l'orgueil, de la forfanterie. Il relevait la crête, le bon papa (ROGER MARTIN DU GARD, Les Thibault, La Sorellina, 1928, page 1209 ). Il paraît que les calotins redressent la crête (MARCEL AYMÉ, La Jument verte, 1933, page 85 ). Baisser la crête. Montrer de l'humilité. Une femme acariâtre et sobre, qui le traitait de pochard, et devant qui il baissait la crête (ROMAIN ROLLAND, Jean-Christophe, Le Buisson ardent, 1911, page 1304 ). Rabaisser, raplatir la crête à quelqu'un. Lui faire rabattre ses prétentions. Synonyme : Rabattre le caquet. Vous faites les fiers; mais le temps approche où l'on va vous rabattre la crête sur le jabot (FERDINAND FABRE, Mon oncle Célestin, 1881, page 444 ). — Par métonymie et par métaphore. Tête de l'homme. Plus on tape sur la crête du bourgeois, plus je suis content (GUSTAVE FLAUBERT, Correspondance, 1878, page 93 ). À peine daigna-t-il répondre d'un hochement de crête à cette interrogation (LÉON CLADEL, Ompdrailles, le tombeau des lutteurs, 1879, page 184 ). Monter à la crête. Synonyme courant : monter à la tête. Ces trucs-là, ça me monte à la crête (MARCEL AYMÉ, Clérambard, 1950, IV, 1, page 191 ). 2. Par extension. Excroissance ou repli membraneux sur la tête ou sur le dos de reptiles, d'amphibiens, etc. Les crêtes du caméléon (GEORGES CUVIER, Leçons d'anatomie comparée, tome 2, 1805, page 31 ). Un triton à crête (JACQUES CHARDONNE, L'Épithalame, 1921, page 141) : Ø 2. [Le serpent] Et je sentais frémir le nombre, Tout le long de mon fouet subtil, De ces replis dont je m'encombre : Ils roulaient depuis le béryl De ma crête, jusqu'au péril! PAUL VALÉRY, Charmes, Ébauche d'un serpent, 1922, page 144. 3. Par analogie. Touffe de plumes sur la tête de certains oiseaux. Synonyme : huppe. La crête d'une alouette (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). Avec les cheveux drets comme des crêtes de huppes (JEAN GIONO, Colline, 1929, page 40 ). · [Transfert au domaine humain] Touffe de cheveux dressée. Synonymes : épi, houppe. Le sculpteur, avec son nez bourbonien, malgré sa lippe et sa crête de cheveux, ressemblait à Washington (ANDRÉ MALRAUX, L'Espoir, 1937, page 468 ). B.— [Par analogie de forme et/ou d'aspect] 1. Ornement, généralement allongé, sur un casque, une coiffure. La crête d'un morion, d'un armet (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). Des rangs de casques faisaient, avec leurs crêtes, comme un bataillon de serpents rouges (GUSTAVE FLAUBERT, Trois contes, Hérodias, 1877, page 164 ). Un casque de cuivre, garni d'une peau de panthère et la crête ornée de chenille ponceau (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Les Dieux ont soif, 1912, page 90 ). 2. Passementerie allongée et dentelée, servant à garnir des tentures, rideaux, bas de fauteuils, etc. Le carrosse était tendu à l'intérieur de satin blanc garni d'entoilage de Binche avec crêtes et glands d'argent (VICTOR HUGO, L'Homme qui rit, tome 3, 1869, page 109 ). 3. AGRICULTURE. Crête de labour. " Léger exhaussement du sol à l'extrémité d'une parcelle, ou d'un groupe de parcelles aux côtés parallèles " (Vocabulaire de géographie agraire (PAUL FÉNELON) 1970). Confer André Meynier, Paysages agraires, 1958, page 125. 4. ANATOMIE, BIOLOGIE, MÉDECINE. " Tout relief allongé soulevant une surface ou la bordant " (Dictionnaire français de médecine et de biologie (ALEXANDRE MANUILA, LUDMILLA MANUILA, M. NICOLE, H. LAMBERT) tome 1 1970). · Crête ampullaire. Confer ampullaire. a) DERMATOLOGIE. [Généralement au pluriel] Saillies à la surface du derme. Crêtes dermiques. Cette étude des crêtes papillaires s'étendit rapidement à la paume de la main et à la plante du pied (Histoire générale des sciences (sous la direction de René Taton) 1957, page 1381 ). — Spécialement. Crêtes vénériennes (vieux) ou crêtes ou crêtes de coq. " Végétations (...) bénignes siégeant dans la région génito-anale " (Les mots de médecine et de psychanalyse (R.J. CHEVALLIER, H. ELMALEH) 1971). b) EMBRYOLOGIE. [Les] crêtes neurales céphaliques (...) forment quatre amas volumineux correspondant à la future émergence des quatre nerfs branchiaux (Dictionnaire de zoologie (UMBERTO PARENTI) tome 3, 1972, pages 571-572 [encyclopédie de la Pléiade] ). c) ODONTOLOGIE. " Bord saillant proximal de la couronne dentaire " (Lexique des termes de pathologie dentaire (JEAN COURTOIS) 1972). Crête gingivo-osseuse ou alvéolaire. Saillant résultant de la cicatrisation alvéolaire, après avulsion dentaire (d'après Grande Dizionario della lingua italiana (SALVATORE BATTAGLIA) 1972). d) OSTÉOLOGIE. Crête osseuse; crête ischiatique, pariéto-temporale; crête de l'os iliaque, du tibia. Cette crête occipitale faible et bien rentrée sous le cerveau qui bombe (PIERRE TEILHARD DE CHARDIN, Le Phénomène humain, 1955, page 222 ). Le rapprochement ou l'écartement des crêtes iliaques (PIERRE RAVAULT, GEORGES VIGNON, Rhumatologie clinique, 1956, page 528 ). 5. MINÉRALOGIE. Crête de coq. Masse de cristaux mince et à bords arrondis. Confer crêté. Macle en crête de coq (ALBERT DE LAPPARENT, Cours de minéralogie, 1899, page 562 ). 6. Crête(-)de(-)coq. Genre de plantes (principalement l'amarante) dans lesquelles la lèvre supérieure de la corolle est en forme de casque. Elle cueille (...) des crêtes de coq, qui sont des crêtes jaunes (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Pierre Nozière, 1899, page 51 ). Lobélies, soucis-de-vieux-garçons, bégonias, crêtes-de-coq, oeillets-de-poète (GERMAINE GUÈVREMONT, Le Survenant, 1945, page 60 ). II.— [L'accent est mis sur l'idée de partie la plus élevée de quelque chose] A.— Domaine des choses concret. 1. Partie la plus élevée d'un élément de relief, faisant saillie, ligne de faîte. Crête aiguë, élevée, calcaire, neigeuse; crêtes vosgiennes; crête d'une colline, d'un plateau, des précipices, des rochers; franchir, gravir la crête. Synonymes : arête, cime. Les crêtes et les gorges des Alpes actuelles (ALBERT DE LAPPARENT, Abrégé de géologie, 1886, page 406 ). Le contour effacé des côtes où verdissait à peine la crête des falaises (JEAN GIONO, Le Bonheur fou, 1957, page 17) : Ø 3. On marche en soi-même vers la vérité mais l'esprit de l'homme est semblable à l'ascension des montagnes. Tu vois la crête, il te semble l'atteindre et tu découvres d'autres crêtes, d'autres ravins et d'autres pentes. ANTOINE DE SAINT-EXUPÉRY, Citadelle, 1944, page 617. · Ligne de crête. Ligne de faîte entre deux versants. Moulezun sur son éperon, aboutissement d'une ligne de crête de quinze kilomètres (JOSEPH DE PESQUIDOUX, Le Livre de raison, 1928, page 214 ). · Chemin de crête. Chemin qui suit la ligne de crête. Des chemins de crête poudroyants de lumière (LOUIS ARAGON, Le Roman inachevé, 1956, page 118 ). — Par métaphore. La crête escarpée de l'art (EUGÈNE DELACROIX, Journal, 1850, page 394 ). Les années qui s'étendent sur les deux versants de la crête 1900 (JUDITH CLADEL, Aristide Maillol, 1937, page 165) : Ø 4. Chateaubriand supporte peu la traduction (...). La beauté chez lui, même la beauté de la pensée, tient trop à la forme; elle est comme enchaînée à la cime des mots (...) à la crête brillante des syllabes. CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Chateaubriand et son groupe littéraire sous l'Empire, tome 1, 1860, page 363. 2. Par analogie. a) [En parlant d'une lame, d'une vague] Crête écumeuse, crête et creux d'une lame. Laissant pendre, enlacés de palpitantes flammes, des lambeaux convulsifs sur la crête des lames (CHARLES-MARIE LECONTE DE LISLE, Poèmes barbares, 1878, page 124) : Ø 5. On entend le bruit des vagues géantes qui passent sous le bateau, qui le soulèvent (...) durant quelques fractions de secondes, on distingue leurs crêtes écumantes qui se dressent pour disparaître dans les ténèbres. BLAISE CENDRARS, Les Confessions de Dan Yack, 1929, page 119. b) [En parlant d'autres éléments] Crête d'un sillon. Le soleil, près de se coucher, dorait d'une lisière de pourpre la crête des tilleuls et le sommet des vieilles ogives du presbytère (RODOLPHE TOEPFFER, Nouvelles genevoises, 1839, page 44 ). 3. Partie la plus élevée d'une construction. La crête d'une muraille, des remparts. Synonyme : faîte. Des enfants, courant et jouant à la crête des arènes (ALPHONSE DAUDET, Numa Roumestan, 1881, page 7 ). Des balles ricochèrent sur la crête de la barricade (JEAN-GEORGES SOULÈS, DIT RAYMOND ABELLIO, Heureux les, 1946, page 256 ). — Spécialement. ARCHITECTURE. Arête supérieure (d'un mur, d'un toit, d'un élément d'édifice). Crête d'un pignon, de la toiture; un toit à crête de zinc; toit pyramidal à huit crêtes. Comme le couvreur, à cheval sur la crête, ne faisait pas mine de bouger, le prince grimpa vivement par l'escalier de la tour jusqu'au toit (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, L'Île des pingouins, 1908, page 216 ). · Par métonymie. Ornement, motif décoratif placé au-dessus des faîtières, du faîte d'un comble : Ø 6. Chacun a pu voir comment, sur les toitures de chaume, les paysans forment un large faîtage de boue, dans lequel ils piquent des plantes grasses pour maintenir la terre (...). L'origine des crêtes de comble se retrouve dans ce procédé naïf. EUGÈNE VIOLLET-LE-DUC. 1875. B.— Domaine abstrait " Seuil culminant d'un phénomène physique " (Dictionnaire de la géographie (PUBLIÉ SOUS LA DIRECTION DE PIERRE GEORGE), 1970). 1. ÉLECTRICITÉ. Le tube ne s'allume que pour la crête de tension (MAURICE DE BROGLIE, Les Rayons X, 1922, page 134 ). 2. MÉTÉOROLOGIE. Crête de haute pression. " Longue bande de pressions élevée en ligne à peu près droite s'allongeant entre deux dépressions stationnaires ou se déformant lentement " (Lexique météorologique (ÉMILE DELCAMBRE) tome 2 1926). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 1 050. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 1 290, b) 1 325; XXe. siècle : a) 1 123, b) 1 978. Forme dérivée du verbe "crêter" crêter CRÊTER2, verbe transitif. [Correspond à crête II] Constituer la crête, le sommet de. Une large ferme crête la pente des prés (JEAN GIONO, Le Grand troupeau, 1931, page 251 ). Flammes qui crêtaient les coteaux (PIERRE HAMP, Vin de Champagne, 1909, page 162) : Ø Tout le monde y admire [à Paris] la comtesse d'Haussonville, le merveilleux essor d'un port incomparable, que surmonte, que couronne, que « crête » pour ainsi dire, une admirable tête hautaine et douce... MARCEL PROUST, Chroniques, 1922, page 52. Remarque : DICTIONNAIRE DE LA LANGUE FRANÇAISE (ÉMILE LITTRÉ), Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse), Dictionnaire général de la langue française (Adolphe Hatzfeld, Arsène Darmesteter), Nouveau Larousse illustré attestent le sens technique « garnir d'une crête de passementerie » (confer crête I B 2). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 1.

« — Par métonymie et par métaphore.

Tête de l'homme.

Plus on tape sur la crête du bourgeois, plus je suis content (GUSTAVE FLAUBERT, Correspondance, 1878, page 93 ).

À peine daigna-t- il répondre d'un hochement de crête à cette interrogation (LÉON CLADEL, Ompdrailles, le tombeau des lutteurs, 1879, page 184 ).

Monter à la crête.

Synonyme courant : monter à la tête.

Ces trucs-là, ça me monte à la crête (MARCEL AYMÉ, Clérambard, 1950, IV, 1, page 191 ). 2.

Par extension.

Excroissance ou repli membraneux sur la tête ou sur le dos de reptiles, d'amphibiens, etc.

Les crêtes du caméléon (GEORGES CUVIER, Leçons d'anatomie comparée, tome 2, 1805, page 31 ).

Un triton à crête (JACQUES CHARDONNE, L'Épithalame, 1921, page 141) : Ø 2.

[Le serpent] Et je sentais frémir le nombre, Tout le long de mon fouet subtil, De ces replis dont je m'encombre : Ils roulaient depuis le béryl De ma crête, jusqu'au péril! PAUL VALÉRY, Charmes, Ébauche d'un serpent, 1922, page 144. 3.

Par analogie.

Touffe de plumes sur la tête de certains oiseaux.

Synonyme : huppe.

La crête d'une alouette (Dictionnaire de l'Académie française.

1798-1932).

Avec les cheveux drets comme des crêtes de huppes (JEAN GIONO, Colline, 1929, page 40 ). · [Transfert au domaine humain] Touffe de cheveux dressée. Synonymes : épi, houppe.

Le sculpteur, avec son nez bourbonien, malgré sa lippe et sa crête de cheveux, ressemblait à Washington (ANDRÉ MALRAUX, L'Espoir, 1937, page 468 ). B.— [Par analogie de forme et/ou d'aspect] 1.

Ornement, généralement allongé, sur un casque, une coiffure.

La crête d'un morion, d'un armet (Dictionnaire de l'Académie française.

1798-1932).

Des rangs de casques faisaient, avec leurs crêtes, comme un bataillon de serpents rouges (GUSTAVE FLAUBERT, Trois contes, Hérodias, 1877, page 164 ).

Un casque de cuivre, garni d'une peau de panthère et la crête ornée de chenille ponceau (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Les Dieux ont soif, 1912, page 90 ). 2.

Passementerie allongée et dentelée, servant à garnir des tentures, rideaux, bas de fauteuils, etc.

Le carrosse était tendu à l'intérieur de satin blanc garni d'entoilage de Binche avec crêtes et glands d'argent (VICTOR HUGO, L'Homme qui rit, tome 3, 1869, page 109 ). 3.

AGRICULTURE.

Crête de labour.

" Léger exhaussement du sol à l'extrémité d'une parcelle, ou d'un groupe de parcelles aux côtés parallèles " (Vocabulaire de géographie agraire (PAUL FÉNELON) 1970).

Confer André Meynier, Paysages agraires, 1958, page 125. 4.

ANATOMIE, BIOLOGIE, MÉDECINE.

" Tout relief allongé soulevant une surface ou la bordant " (Dictionnaire français de médecine et de biologie (ALEXANDRE MANUILA, LUDMILLA MANUILA, M.

NICOLE, H.

LAMBERT) tome 1 1970). · Crête ampullaire.

Confer ampullaire. a) DERMATOLOGIE.

[Généralement au pluriel] Saillies à la surface du derme.

Crêtes dermiques.

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