Devoir de Philosophie

Dictionnaire en ligne: EFFACER, verbe transitif.

Publié le 23/01/2016

Extrait du document

Dictionnaire en ligne: EFFACER, verbe transitif. I.— Emploi transitif. A.— Faire disparaître. 1. a) Faire disparaître totalement (ce qui est tracé ou marqué sur une surface). Effacer une phrase, un chiffre (sur un tableau). À une époque où le parchemin devint rare, on effaça des dessins pour écrire à leur place (ALBERT LENOIR. L'Architecture monastique, 1852, page 31 ). Il suffirait que j'eusse effacé un mot de ce qui s'y trouve écrit (GEORGES BERNANOS, Monsieur Ouine, 1943, page 1556) : Ø 1.... la vie n'est plus qu'une ardoise où j'efface tout ce qui s'y inscrit, au jour le jour, de l'histoire des hommes. FRANÇOIS MAURIAC, Mémoires intérieurs, 1959, page 39. SYNTAXE : Effacer une tache; effacer le prix (d'un cadeau); effacer avec un chiffon; effacer entièrement, complètement, avec soin; gomme à effacer. — Par analogie. Effacer un pli (de vêtement). Ils n'avaient qu'un seul jour pour effacer leurs rides (JEAN-PAUL SARTRE, La Nausée, 1938, page 66 ). Dans le monde hors de la maison, la neige efface les pas, brouille les chemins, étouffe les bruits (GASTON BACHELARD, La Poétique de l'espace, 1957, page 53 ). — Spécialement. Rendre peu ou moins visible. Effacer les vestiges (de quelque chose), les traces (de quelqu'un, quelque chose); effacer ses pas; effacer une empreinte, un indice, une inscription, une signature. Un cadran solaire dont le soleil et la pluie avaient effacé les chiffres (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Le Livre de mon ami, 1885, page 39 ). — Par extension. Annuler (un signe) sans le faire disparaître (en barrant, biffant, raturant, etc.). Effacer un nom d'une liste; (par ellipse) effacer quelqu'un d'une liste. Synonyme : radier. — Par métaphore. Effacer (quelqu'un ou quelque chose) de sa mémoire. La nature qui efface de notre mémoire tant de souvenirs inutiles ou nuisibles (JULIEN GREEN, Journal, 1936, page 62 ). b) Par extension. Éliminer, faire disparaître (quelque chose). Eustache s'avisa de lui appliquer un soufflet à lui effacer la figure (GÉRARD DE NERVAL, Nouvelles et fantaisies, 1855, page 225 ). Une petite odeur à quoi s'ajoutaient, sans l'effacer, des traces de parfum (LOUIS FARIGOULE, DIT JULES ROMAINS, Les Hommes de bonne volonté, 1939, page 119) : Ø 2. Paisible, Yvonne efface son fard, le remplace par une touche de rose, un nuage de poudre... GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Paysages et portraits, 1954, page 134. c) Argot. — Faire disparaître en absorbant : boire ou manger (quelque chose). Effacer un morceau de fromage (Dictionnaire de la langue française (ALFRED DELVAU) 1867, page 150). Effacer un plat, une bouteille (confer Louis Rigaud, Dictionnaire du jargon parisien, 1878, page 127; France 1907; Dictionnaire historique des argots français (GASTON ESNAULT) 1866). — Recevoir (une balle, un mauvais coup, etc.) (d'après L'Argot chez les vrais de vrais (AUGUSTE LE BRETON) 1975). Synonyme : encaisser. Ils ont effacé quelques bastos entre le faux-filet et la bavette (ALBERT SIMONIN, Le Petit Simonin illustré, 1957, page 48 ). 2. Au figuré. a) Faire disparaître, supprimer (une chose abstraite). Effacer une (bonne, mauvaise) impression; effacer des inégalités, des différences; effacer les conséquences (d'une action, d'un événement). Le temps effacera la douleur (GEORGES BATAILLE, L'Expérience intérieure, 1943, page 89 ). Il faut effacer toute distinction entre ouvriers et intellectuels (ALBERT CAMUS, L'Homme révolté, 1951, page 183 ). — [Complément abstrait ou concret] Effacer de la terre. Éliminer radicalement. Elle [une danseuse] semble d'abord, de ses pas pleins d'esprit, effacer de la terre toute fatigue, et toute sottise (PAUL VALÉRY, Eupalinos ou l'Architecte, 1923, page 25 ). Effacer (un pays) de la surface du globe. L'anéantir. b) Faire oublier. Effacer le souvenir (de quelque chose, quelqu'un); effacer le passé. Ce que je fais, (...) effacerait un crime, et je n'ai commis qu'une faiblesse (ALEXANDRE DUMAS PÈRE, Le Chevalier de Maison-Rouge. 1847, IV, 3, page 136 ). Notre oeil de Parisien regarde mal une ville dont l'habitude nous efface les charmes (JEAN COCTEAU, Le Foyer des artistes, 1957, page 111 ). c) Pardonner. Effacer une faute, un péché, un affront, des torts; effacer par la contrition, par la pénitence, par des larmes. « Agneau de Dieu qui effacez les péchés du monde,... » (ANDRÉ BILLY, Introïbo, 1939, page 6 ). B.— Empêcher de paraître. 1. [Le complément désigne une chose] a) Affaiblir ou supprimer ce qui se manifeste normalement. Laurent regardait le ciel splendide où la lune effaçait la clarté des étoiles (AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Elle et lui, 1859, page 104 ). Chez la femme, la graisse efface plus ou moins les saillies osseuses (DOCTEUR PAUL RICHER, Nouvelle anatomie artistique du corps humain, tome 2, 1920, page 71) : Ø 3.... de longs peupliers effeuillés, tellement blancs que la lumière les effaçait et mettait à leur place des faisceaux de scintillements. JEAN GIONO, Le Hussard sur le toit, 1951, page 291. — Spécialement. Rendre moins apparent (une partie du corps) par un mouvement de retrait (en particulier en escrime). Effacer le corps, une épaule. Les assistants (...) cambraient les reins, effaçaient le ventre (ALEXANDRE ARNOUX, Roi d'un jour, 1956, page 278 ). b) [Abstrait] Mettre en retrait, éclipser. Effacer sa personnalité. On sait qu'il [Vinci] peignit dans un tableau de son professeur une tête d'ange si belle, d'un goût si rare et si neuf, qu'elle effaçait tout le reste de l'oeuvre (THÉOPHILE GAUTIER, Guide de l'amateur au Musée du Louvre, 1872, page 200) : Ø 4. La conclusion de tout ceci est qu'il faut effacer son opinion aussi bien que celle des autres devant les décisions de l'expérience. CLAUDE BERNARD, Introduction à l'étude de la médecine expérimentale, 1865, page 63. 2. [Le complément désigne une personne] a) Surpasser, éclipser, empêcher de briller. Aujourd'hui, leur grand contemporain [Rubens] semble les effacer sous sa gloire (HYPPOLYTE-ADOLPHE TAINE, Philosophie de l'Art, tome 1, 1865, page 4) : Ø 5. Un autre jour, vous me dites que vous avez une autre route que la mienne (...) que je m'y prendrais mal, que j'effaroucherais l'abonné (...) que je vous effacerais. AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Correspondance, tome 2, 1812-76, page 308. b) Argot. Tuer. Il y avait sur moi un mauvais sort (...) pour que toujours ceux que j'aimais bien se fassent effacer (JULES SIMON, Touchez pas au grisbi, 1953, page 221 ). II.— Emploi pronominal. A.— À sens passif. [Le sujet désigne un nom de chose] 1. [Le sujet désigne une chose tracée ou marquée sur une surface (confer supra I A 1)] Disparaître progressivement. S'altérer et s'effacer. Je n'ai certes pas composé mon portrait, mais je l'ai dessiné trop vite, et les traits s'effacent (JULIEN GREEN, Journal, 1940-43, page 158) : Ø 6.... un antique écrin de velours blanc, où le nom du bijoutier s'effaçait en lettres dorées vieilles de 30 ans. ALPHONSE DAUDET, Fromont jeune et Risler aîné, 1874, page 17. · Par analogie. Elle [Soeurette] vit sortir doucement une femme, un ombre légère de femme, qui s'effaça presque aussitôt dans le brouillard rose du matin (ÉMILE ZOLA, Travail, tome 1, 1901, page 314 ). Un vallon (...) où un ancien chemin (...) s'effaçait peu à peu (VALÉRY LARBAUD, Enfantines, 1918, page 168 ). — Par extension. Être enlevé, supprimé. Le phare, reculant, pâlit, blêmit, puis s'effaça. Cette extinction fut morne (VICTOR HUGO, L'Homme qui rit, tome 1, 1869, page 111 ). — Par métaphore. S'effacer du souvenir. Peu à peu le souvenir de mon cousin s'effaçait de ma mémoire (JULIEN GREEN, L'Autre sommeil, 1931, page 56 ). 2. Au figuré (Confer supra I A 2). a) Disparaître, être supprimé. Des divisions qui s'effacent. Soudain, il [l'homme] découvre que le sol n'est pas sûr, que des villes peuvent disparaître, que des civilisations s'effacent (JACQUES CHARDONNE, Attachements, 1943, page 114) : Ø 7. Entre eux deux, il [le beau-père] sentait s'effacer un chemin de compréhension [avec le gendre] , s'évanouir un lien dont la ténuité annonçait la rupture définitive. MARCEL AYMÉ, Travelingue, 1941, page 8. b) S'oublier, disparaître de la mémoire. Déjà le souvenir de la vivante s'efface et la mémoire ne gardera, je le sais, que l'image de la morte (GEORGES BERNANOS, Journal d'un curé de campagne, 1936, page 1168 ). Rien ne s'efface plus vite qu'un visage illustre s'il ne rafraîchit pas (...) la mémoire et les regards de ses adorateurs (ALEXANDRE ARNOUX, Roi d'un jour, 1956, page 320) : Ø 8. Mes souvenirs de Stamboul, (...) sont morts à présent. Avec frayeur, je les ai vus s'effacer peu à peu et disparaître;... JULIEN VIAUD, DIT PIERRE LOTI, Journal intime, tome 1, 1878-81, page 138. B.— Pronominal réfléchi. [Le sujet désigne une partie du corps] Faire en sorte de paraître le moins possible. 1. Domaine concret. a) Offrir le moins de prise possible. S'effacer sous les coups; s'effacer contre un mur. Les épaules s'effaçaient; le buste était tendu comme si Michaud se trouvait encore sous les armes (HONORÉ DE BALZAC, Les Paysans, 1844, page 96 ). Dans les grands salons du rez-de-chaussée où des panneaux s'effaçaient tout le long de la boiserie blanche, il ne restait plus un meuble (ALPHONSE DAUDET, Robert Helmont, 1874, page 108 ). b) Occuper le moins d'espace possible, se mettre de côté, à l'écart. Lorsque Manette était entrée dans la maison, Anatole s'était effacé devant elle (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Manette Salomon, 1867, page 336 ). — [Avec un complément de lieu] Il se leva lestement, et s'effaça derrière le pilier (HONORÉ DE BALZAC, Maître Cornélius, 1831, page 205 ). Il s'effaça dans un coin (JEAN THARAUD, JÉRÔME THARAUD, Dingley, l'illustre écrivain, 1906, page 17 ). — Absolument. S'effacer pour laisser passer, entrer (quelqu'un); s'effacer poliment, discrètement. Elle [Luce] ouvre une autre porte, s'efface, la referme sur nous (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Claudine à Paris, 1901, page 163) : Ø 9. Il [un monsieur] arrive toujours le premier à la porte du restaurant, s'efface, laisse passer sa femme, (...) et entre alors... ALBERT CAMUS, La Peste, 1947, page 1237. — Argot. Mourir Il s'est effacé en trois jours d'une mauvaise angine (L'ARGOT D'HIER ET D'AUJOURD'HUI (JEAN RIVERAIN, FRANÇOIS CARADEC) 1969). 2. Domaine abstrait. a) S'effacer devant quelque chose. Se faire oublier au profit de. Les bâtisseurs qui avaient eu la modestie de s'effacer devant leurs cathédrales (JEAN-PAUL SARTRE, Les Mots, 1964, page 48 ). — S'effacer devant quelqu'un.. Lui laisser la première place, reconnaître sa supériorité. Il faut (...) que le virtuose s'efface devant le compositeur (HECTOR BERLIOZ, À travers chants, 1862, page 65 ). Il m'avait dit tout de suite en arrivant qu'il était prêt à s'effacer devant quelqu'un ayant connu Philippe (PAUL LÉAUTAUD, Journal littéraire, 2, 1907-09, page 215 ). b) Absolument. Éviter de se faire remarquer. S'effacer par modestie. Elle s'efforçait de disparaître, très modeste, s'effaçant, s'éteignant, toujours en noir et sans un bijou (ÉMILE ZOLA, Lourdes, 1894, page 56 ). C'est une personne taciturne et courtoise qui s'efface toujours quand il le faut (JULIEN GREEN, Le Malfaiteur, 1955, page 8) : Ø 10. Le romancier, pensais-je, doit s'effacer, disparaître derrière ses personnages, leur abandonner la place,... ROGER MARTIN DU GARD, Souvenirs autobiographiques, 1955, page LX. Remarque : On rencontre dans la documentation le substantif féminin effaçade. Action d'effacer. Synonyme : effacement. Les intimes de son entourage [du duc de Bordeaux] demandent la liste des personnes engagées et effacent toujours cinq ou six noms... Cette effaçade (...) fait juger fort sévèrement ce pauvre jeune homme (HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, Correspondance, tome 3, 1800-42, page 242). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 3 314. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 5 088, b) 3 969; XXe. siècle : a) 4 530, b) 4 900. DÉRIVÉS : 1. Effaçable, adjectif. Qui peut être effacé. Tache effaçable. Antonymes : ineffaçable, indélébile. Cette écriture est effaçable avec de l'eau-forte (Dictionnaire de l'Académie française. 1932). Au figuré. Impression (difficilement) effaçable. Ma vipère de lettre aux bien effaçables crachats (JULES LAFORGUE, Les Complaintes, 1885, page 119 ). 2. Effaçage, substantif masculin. [Correspond à effacer I A 1 a] Action d'effacer, de faire disparaître ce qui est tracé ou marqué. Synonyme : effacement. Spécialement. TECHNOLOGIE. Travail consistant à effacer. On ne saurait trop recommander à l'ouvrier chargé de l'effaçage des pierres [lithographiques] d'apporter à son travail tout le soin désirable (R. CHELET, Lithographie, 1933, page 18 ). 3. Effaceur, -euse, adjectif. Qui efface. La main effaceuse du temps (JOSÉPHIN PÉLADAN, Le Vice suprême, 1884, page 188 ). Emploi comme substantif. Personne qui efface. Un effaceur, une effaceuse. 4. Effaçure, substantif féminin. [Correspond à effacer I A 1 a] a) Action d'effacer. Une vraie peine, disparue sous l'effaçure du temps (ALPHONSE DAUDET, La Petite paroisse, 1895, page 112 ). b) Ce qui résulte de l'effaçage. Persuadé que (...) mon nom se lirait au milieu de toutes ces effaçures (FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND,Mémoires d'Outre-Tombe, tome 3, 1848, page 10 ).

« L'Argot chez les vrais de vrais (AUGUSTE LE BRETON) 1975). Synonyme : encaisser.

Ils ont effacé quelques bastos entre le faux-filet et la bavette (ALBERT SIMONIN, Le Petit Simonin illustré, 1957, page 48 ). 2.

Au figuré. a) Faire disparaître, supprimer (une chose abstraite).

Effacer une (bonne, mauvaise) impression; effacer des inégalités, des différences; effacer les conséquences (d'une action, d'un événement).

Le temps effacera la douleur (GEORGES BATAILLE, L'Expérience intérieure, 1943, page 89 ).

Il faut effacer toute distinction entre ouvriers et intellectuels (ALBERT CAMUS, L'Homme révolté, 1951, page 183 ). — [Complément abstrait ou concret] Effacer de la terre. Éliminer radicalement.

Elle [une danseuse] semble d'abord, de ses pas pleins d'esprit, effacer de la terre toute fatigue, et toute sottise (PAUL VALÉRY, Eupalinos ou l'Architecte, 1923, page 25 ).

Effacer (un pays) de la surface du globe. L'anéantir. b) Faire oublier.

Effacer le souvenir (de quelque chose, quelqu'un); effacer le passé.

Ce que je fais, (...) effacerait un crime, et je n'ai commis qu'une faiblesse (ALEXANDRE DUMAS PÈRE, Le Chevalier de Maison-Rouge.

1847, IV, 3, page 136 ). Notre oeil de Parisien regarde mal une ville dont l'habitude nous efface les charmes (JEAN COCTEAU, Le Foyer des artistes, 1957, page 111 ). c) Pardonner.

Effacer une faute, un péché, un affront, des torts; effacer par la contrition, par la pénitence, par des larmes.

« Agneau de Dieu qui effacez les péchés du monde,...

» (ANDRÉ BILLY, Introïbo, 1939, page 6 ). B.— Empêcher de paraître. 1.

[Le complément désigne une chose] a) Affaiblir ou supprimer ce qui se manifeste normalement. Laurent regardait le ciel splendide où la lune effaçait la clarté des étoiles (AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Elle et lui, 1859, page 104 ).

Chez la femme, la graisse efface plus ou moins les saillies osseuses (DOCTEUR PAUL RICHER, Nouvelle anatomie artistique du corps humain, tome 2, 1920, page 71) : Ø 3....

de longs peupliers effeuillés, tellement blancs que la lumière les effaçait et mettait à leur place des faisceaux de scintillements. JEAN GIONO, Le Hussard sur le toit, 1951, page 291. — Spécialement.

Rendre moins apparent (une partie du corps) par un mouvement de retrait (en particulier en escrime). Effacer le corps, une épaule.

Les assistants (...) cambraient les reins, effaçaient le ventre (ALEXANDRE ARNOUX, Roi d'un jour, 1956, page 278 ). b) [Abstrait] Mettre en retrait, éclipser.

Effacer sa personnalité.

On sait qu'il [Vinci] peignit dans un tableau de son professeur une tête d'ange si belle, d'un goût si rare et si neuf, qu'elle effaçait tout le reste de l'oeuvre (THÉOPHILE GAUTIER, Guide de l'amateur au Musée du Louvre, 1872, page 200) : Ø 4.

La conclusion de tout ceci est qu'il faut effacer son opinion aussi bien que celle des autres devant les décisions de l'expérience. CLAUDE BERNARD, Introduction à l'étude de la médecine 2. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles