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Dictionnaire en ligne: EH BIEN, HÉ BIEN, mot invariable.

Publié le 23/01/2016

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Dictionnaire en ligne: EH BIEN, HÉ BIEN, mot invariable. I.— [Eh bien est employé pour relier l'accomplissement ou l'expression langagière d'un acte à la situation qui rend possible ou qui motive cet acte] A.— [Eh bien est employé pour relier l'accomplissement d'un acte de parole à une situation de dialogue le rendant possible] 1. [L'acte de parole consiste à apporter une information; eh bien introduit l'élément d'information que veut communiquer le locuteur] « Tenez!... Là-bas!... cette brousse, eh bien, il y a-t-un lièvre qui tous les matins passe par ce pertuis-là... » (ALPHONSE DE CHATEAUBRIANT, Monsieur des Lourdines, 1911, page 45 ). « Voulez-vous, Mademoiselle, que je vous dise une chose? (...) Eh bien, j'ai appris, tout seul, à prononcer le latin à peu de chose près comme les anciens Romains le prononçaient... » (VALÉRY LARBAUD, Fermina Marquez, 1911, page 127 ). Tu as bien connu Camps, disait l'un. (...). — Oui, bien sûr. — Eh bien, il est mort (ALBERT CAMUS, La Peste, 1947, page 1234 ). Remarque : En employant eh bien, le locuteur marque qu'il assume que l'interlocuteur connaît suffisamment l'objet sur lequel portera l'information ou qu'il accepte les termes de la relation de communication. 2. [L'acte de parole consiste à demander une information; eh bien introduit une question] — Salut, mon capitaine, dit-il [Colar] en portant militairement la main à sa casquette. (...) Williams alluma un nouveau cigare, puis il regarda Colar. — Eh bien, dit-il, où en sommes-nous? (PIERRE-ALEXIS, VICOMTE PONSON DU TERRAIL, Rocambole, les drames de Paris, tome 1, 1859, page 143 ). Constant — Salut! Gabrielle. — Enfin, te voilà! Eh bien as-tu peint ou joué au golf? Constant — Ni l'un, ni l'autre (HENRY BERNSTEIN, Le Secret, 1913, II, 7, page 23 ). · [Eh bien, employé seul] (Quasi-)synonyme : alors. — Tu sais? notre pauvre vieux Jules Renard... — Oui. Eh! bien? — Eh! bien, il est mort (JULES RENARD, Journal, 1900, page 597 ). Ma mère devait attendre (...). Elle dit à voix basse : — Eh bien? — On ne connaît personne de ce nom-là, fis-je. La concierge l'a bien répété : personne. — C'est bon, fit ma mère (GEORGES DUHAMEL, Le Jardin des bêtes sauvages, 1934, page 81 ). Remarque : En employant eh bien, le locuteur marque qu'il assume que l'interlocuteur est susceptible de lui apporter un élément d'information ou qu'il est dans une situation où il doit répondre. — En particulier. [Eh bien est employé pour instaurer une situation de dialogue] — Eh bien, mon enfant, vos élèves vous donnent-elles satisfaction? Trop fin, le vieil abbé, pour aborder la conversation autrement que par un terrain de tout repos (HENRI PETIOT, DIT DANIEL-ROPS, Mort, où est ta victoire?, 1934, page 117 ). 3. [L'acte de parole consiste à donner un ordre; eh bien introduit, généralement, un impératif] Il acheta (...) la grande araire de Mathieu de Dombasle, mais le charretier la dénigra. — « Apprends à t'en servir! — Eh bien! Montrez-moi » (GUSTAVE FLAUBERT, Bouvard et Pécuchet, tome 1, , 1880, page 35 ). — Tu sais où il est? L'enfant fit oui. — Eh bien! Cours le chercher (ALPHONSE DE CHATEAUBRIANT, Monsieur des Lourdines, 1911, page 254 ). Remarque : En employant eh bien, le locuteur marque qu'il assume que l'interlocuteur peut ou qu'il doit accomplir l'ordre qu'il va donner. B.— [Eh bien est employé pour relier l'accomplissement d'un acte de parole à la situation de dialogue obligeant à accomplir cet acte] 1. [L'acte de parole consiste à apporter une information; eh bien introduit l'élément d'information demandé par l'interlocuteur] Qu'est devenue la religieuse? dis-je tout à coup. — Ah! Vous êtes terrible avec votre religieuse... Eh bien!... Eh bien! Cela a mal tourné (GÉRARD DE NERVAL, Les Filles du feu, Sylvie, 1854, page 618 ). Je le regarde dans les yeux : — Alors?... — Eh bien voilà, mon lieutenant (ROGER CRÉTIN, DIT ROGER VERCEL, Capitaine Conan, 1934, page 74 ). — « Dire que j'ai eu un vrai béguin pour cet imbécile », continua Anne. « Et peut-être justement à cause de ça... » — « À cause de quoi? » — « Eh bien, de sa bêtise... » (ROGER MARTIN DU GARD, Les Thibault, L'Été 1914, 1936, page 217 ). Remarque : En employant eh bien, le locuteur marque qu'il accepte de répondre à la demande de son interlocuteur. 2. [L'acte de parole consiste à donner un ordre; eh bien introduit, généralement, un impératif] Robert. (...) Apprends que je ne perdrai la liberté qu'avec la vie. Maurice. Eh bien, gardes, obéissez (JEAN-HENRI-FERDINAND LA MARTELIÈRE, Robert, chef de brigands, 1793, III, 7, page 37 ). Nicole. — Je voudrais m'en aller, Jimmy! Jimmy. — Bon, eh bien, pars, puisque tu ne veux rien comprendre! (ÉDOUARD BOURDET, Le Sexe faible, 1931, II, page 346 ). Remarque : En employant eh bien, le locuteur marque qu'il est contraint de donner cet ordre par le comportement ou les propos de son interlocuteur. C.— [Eh bien est employé dans un discours suivi adressé à un interlocuteur pour relier l'accomplissement ou l'expression langagière d'un acte aux circonstances qui sont, pour le locuteur, des motifs pour l'accomplissement de cet acte] 1. [L'acte accompli est un acte de parole effectué par une expression ou un verbe à valeur performative] Son compagnon ayant dit qu'il rentrait se coucher, il ajouta, sans même tendre la main : — Eh bien, adieu (ÉMILE ZOLA, Germinal, 1885, page 1527 ). « Nous savons que cet argent, c'est pour nous que tu voulais le garder. Eh bien! Nous y renonçons... » (GEORGES DUHAMEL, Le Jardin des bêtes sauvages, 1934, page 168) : Ø 1.... tenez, Madame, c'est encore comme le chef du protocole qui est bossu, c'est réglé, il n'est pas depuis cinq minutes chez moi que je vais toucher sa bosse. Mon mari dit que je le ferai révoquer. Eh bien! Zut pour le ministère! Oui, zut pour le ministère! MARCEL PROUST, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918, page 599. 2. [L'acte non linguistique est exprimé par une phrase au futur ou avec une valeur de futur] La noblesse de naissance a passé du côté des conquérants. Eh bien! il faut la faire repasser de l'autre côté (EMMANUEL-JOSEPH SIEYÈS, Qu'est-ce que le Tiers état?, 1789, page 33 ). Ils se chérissent depuis l'enfance, et moi, je suis une étrangère dans cette amitié. Eh bien, je la casserai, leur amitié! (HENRY BERNSTEIN, Le Secret, 1913, III, 3, page 35 ). La médecine de notre époque, c'est dans le domaine psychique qu'elle fera son pas décisif... Eh bien, je veux en être, tu comprends? (ROGER MARTIN DU GARD, Les Thibault, L'Été 1914, 1936, page 122 ). Remarque : La phrase introduite par eh bien exprime, généralement, une prise de résolution. D.— [Eh bien est employé pour relier, dans le cadre d'un discours suivi, et plus rarement d'un dialogue, l'acte d'assertion d'un contenu propositionnel à l'exposé explicite ou à la prise en considération implicite de ce que croit, pense, pourrait penser l'interlocuteur sur le même objet de discours] 1. [L'assertion du locuteur contredit, corrige les croyances de l'interlocuteur et/ou s'y oppose] a) [La croyance de l'interlocuteur est rapportée dans la proposition complétive d'un verbe d'opinion ou sous forme d'une interrogation oratoire] Vous ne me croyez pas la plus timide personne du monde? Eh bien, je n'ai pas osé voir M. Fox (GERMAINE NECKER, BARONNE DE STAËL, Lettres diverses, 1793, page 424 ). Romain Rolland a l'orgueil d'être au-dessus des conflits, eh bien! non, il est au-dessous (MAURICE BARRÈS, Mes cahiers, tome 11, 1914-17, page 206 ). Elle vous dira peut-être qu'elle a 35 ans. Eh bien, mon cher, elle en a 43. Quarante-trois ans (PIERRE-JEAN JOUVE, La Scène capitale, 1935, page 222 ). b) [L'assertion du locuteur s'oppose à ce que l'interlocuteur pourrait conclure de la situation décrite par le locuteur] J'ai fait la guerre, moi, Monsieur; je suis un homme dur; eh bien, j'ai pleuré (VALÉRY LARBAUD, Fermina Marquez, 1911, page 211 ). Maman (...) est instruite, bien sûr, mais pas comme nous. Elle ne sait rien du latin, par exemple. Eh bien! elle est extraordinairement intelligente (GEORGES DUHAMEL, Le Jardin des bêtes sauvages, 1934, page 33 ). Je pousse la porte : tous à la fois mes personnages tournent la tête et me regardent. Eh bien! non, ils ne me feraient pas peur (FRANÇOIS MAURIAC, Journal 2, 1937, page 163 ). c) [L'assertion du locuteur s'oppose à un état antérieur de sa propre croyance] Je me disais, pour me calmer : « dans quinze jours j'aurai quelqu'un à qui parler ». Eh bien, non, il faudra me contenter de R. (JACQUES RIVIÈRE, Correspondance [avec Alain-Fournier] , 1905, page 160 ). Il me semblait que ça devait terriblement se voir, cette année de plus qui vient de sonner à mon cadran. Eh bien! non, ça ne se voit pas trop (CLAUDE FARRÈRE, L'Homme qui assassina, 1907, page 17 ). 2. Eh bien oui. [L'assertion du locuteur reprend le discours de son interlocuteur et/ou l'accepte] Tu vas croire que je suis égoïste, que j'ai peur de toi. Eh bien oui! J'en suis épouvanté de ton amour (GUSTAVE FLAUBERT, Correspondance, 1846, page 237 ). Laissons mon coeur, laissons ton coeur! Soyons nous!... Eh bien, oui, c'est vrai, quand on se voit, On n'est plus très troublé (PAUL GÉRALDY, Toi et Moi, 1913, page 23 ). Remarque : L'emploi de oui, est ici obligatoire; alors que l'emploi de la négation polémique non dans 1 (supra) est optionnel. E.— Emploi dérivé en discours. 1. [Eh bien est employé comme élément organisateur de discours par un locuteur pour marquer qu'il revient à l'objet principal du discours après une digression, une comparaison ou une analogie] Là-haut, dans la pourpre du couchant, se dresse, nourri d'une terre vigoureuse, un beau pommier. (...); mais c'est qu'il est ivre, le pommier, ivre de l'odeur de toutes ses pommes, (...) Eh bien! Le grand corps surmené d'Anthime faisait songer à ce pommier (ALPHONSE DE CHATEAUBRIANT, Monsieur des Lourdines, 1911, page 174) : Ø 2.... un naturaliste, qui n'aurait jamais étudié l'éléphant qu'au microscope, croirait-il connaître suffisamment cet animal? Eh bien! en mathématiques, il y a quelque chose d'analogue. Le logicien décompose pour ainsi dire chaque démonstration en un très grand nombre d'opérations élémentaires;... HENRI POINCARÉ, La Valeur de la science, 1905, page 26. 2. [Eh bien est employé pour introduire un élément d'information que le locuteur veut mettre en valeur après une interrogation oratoire ou une interrogation indirecte] Philosophique! Qu'est-ce que ça veut dire? Ça veut dire qu'il faut exprimer des idées. Mais quelles? Ah! dame, toutes. Mais encore? Eh! bien, que l'éternité n'est pas le temps, qu'il faut vivre dans l'éternité, etc. (JACQUES RIVIÈRE, Correspondance [avec Alain-Fournier] , 1906, page 234 ). Cela lui donnait l'impression que, pour le moment, la famille était servie. Mais, dira-t-on, à l'égard de son neveu, qu'attend-il? Eh bien, il attend qu'il soit trop tard (HENRI DE MONTHERLANT, Les Célibataires, 1934, page 863 ). 3. [Eh bien introduit dans un récit (donné comme objectif) un passage au style indirect libre, ou un passage assumé par l'auteur du discours ou un personnage mis en scène par l'auteur] : Ø 3. Il avait l'habitude, chaque soir avant de s'endormir, de se remémorer ses paroles et ses actions de la journée écoulée, et de les juger. Il les examinait froidement et ne leur cherchait pas d'excuse. Eh bien, ce soir-là, il s'aperçut qu'il avait, au fond, moins de sujets de contentement qu'il n'avait cru d'abord. VALÉRY LARBAUD, Fermina Marquez, 1911, pages 84-85. Ø 4. Les traditions diplomatiques (...) avaient fini par faire vivre son pays et le nôtre dans une atmosphère de renfermé qui n'était plus respirable. Eh bien! une des manières de renouveler l'air, évidemment une de celles qu'on ne peut pas recommander, mais que le roi Théodose pouvait se permettre, c'est de casser les vitres. MARCEL PROUST, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918, page 460. Remarque : Dans cet emploi, eh bien forme système avec alors qui marque le passage inverse (du style indirect au récit objectif). II.— [Eh bien est employé pour relier l'expression d'un trouble psychologique ou d'une réaction d'ordre affectif à la situation qui les cause] Madame de Céran. — Une enfant naturelle! La Duchesse. — Naturelle! Eh bien, quoi? Naturelle! Est-ce que tous les enfants ne sont pas naturels?... (ÉDOUARD PAILLERON, Le Monde où l'on s'ennuie, 1869, I, 7, page 28 ). « Comment? Vous admirez cela? Eh bien! C'est du joli!... » (MARCEL PROUST, Du côté de chez Swann, 1913, page 26 ). Je me tourne vers lui et je lui souris. Eh bien? Qu'est-ce qu'il a? Pourquoi est-ce qu'il se recroqueville sur sa chaise? (JEAN-PAUL SARTRE, La Nausée, 1938, page 157 ). — Spécialement. · Eh bien, eh bien (suivi d'un appellatif). [Le locuteur interpelle son interlocuteur pour lui notifier qu'il est étonné par son comportement] Regardez-les, Monsieur le maire : les charmantes petites figures, les charmants petits dos... Le Maire. — Eh bien, eh bien, mon cher droguiste! (JEAN GIRAUDOUX, Intermezzo, 1933, I, 3, page 20 ). Dans les familles qui méritent ce nom il est de fort bon ton d'avoir au moins deux enfants dévorés par les lions. — Eh bien, eh bien, je vous y prends, petits saltimbanques, à rire de notre sainte religion (JACQUES PRÉVERT, Paroles, 1946, page 36 ). Remarque : La suite eh bien, eh bien + appellatif, s'accompagne, généralement d'un effet de sens de « rappel à l'ordre bon enfant ». · Eh bien (suivi d'un appellatif, généralement dépréciatif ou ironique). [Le locuteur interpelle son interlocuteur pour lui notifier son étonnement ou son indignation] Ils t'ont soigné les agricoles!... Ah c'est le bouquet!... Maintenant tu déconnes! Eh bien mon colon!... (LOUIS-FERDINAND DESTOUCHES, DIT CÉLINE, Mort à crédit, 1936, page 696 ). Remarque : On rencontre, dans la documentation, pour tous les emplois de eh bien, des exemples des déformations de bien en ben ou bé : eh ben, eh bé.

« dénigra.

— « Apprends à t'en servir! — Eh bien! Montrez- moi » (GUSTAVE FLAUBERT, Bouvard et Pécuchet, tome 1, , 1880, page 35 ).

— Tu sais où il est? L'enfant fit oui.

— Eh bien! Cours le chercher (ALPHONSE DE CHATEAUBRIANT, Monsieur des Lourdines, 1911, page 254 ). Remarque : En employant eh bien, le locuteur marque qu'il assume que l'interlocuteur peut ou qu'il doit accomplir l'ordre qu'il va donner. B.— [Eh bien est employé pour relier l'accomplissement d'un acte de parole à la situation de dialogue obligeant à accomplir cet acte] 1.

[L'acte de parole consiste à apporter une information; eh bien introduit l'élément d'information demandé par l'interlocuteur] Qu'est devenue la religieuse? dis-je tout à coup.

— Ah! Vous êtes terrible avec votre religieuse...

Eh bien!...

Eh bien! Cela a mal tourné (GÉRARD DE NERVAL, Les Filles du feu, Sylvie, 1854, page 618 ).

Je le regarde dans les yeux : — Alors?...

— Eh bien voilà, mon lieutenant (ROGER CRÉTIN, DIT ROGER VERCEL, Capitaine Conan, 1934, page 74 ).

— « Dire que j'ai eu un vrai béguin pour cet imbécile », continua Anne.

« Et peut-être justement à cause de ça...

» — « À cause de quoi? » — « Eh bien, de sa bêtise...

» (ROGER MARTIN DU GARD, Les Thibault, L'Été 1914, 1936, page 217 ). Remarque : En employant eh bien, le locuteur marque qu'il accepte de répondre à la demande de son interlocuteur. 2.

[L'acte de parole consiste à donner un ordre; eh bien introduit, généralement, un impératif] Robert.

(...) Apprends que je ne perdrai la liberté qu'avec la vie.

Maurice.

Eh bien, gardes, obéissez (JEAN-HENRI-FERDINAND LA MARTELIÈRE, Robert, chef de brigands, 1793, III, 7, page 37 ).

Nicole.

— Je voudrais m'en aller, Jimmy! Jimmy.

— Bon, eh bien, pars, puisque tu ne veux rien comprendre! (ÉDOUARD BOURDET, Le Sexe faible, 1931, II, page 346 ). Remarque : En employant eh bien, le locuteur marque qu'il est contraint de donner cet ordre par le comportement ou les propos de son interlocuteur. C.— [Eh bien est employé dans un discours suivi adressé à un interlocuteur pour relier l'accomplissement ou l'expression langagière d'un acte aux circonstances qui sont, pour le locuteur, des motifs pour l'accomplissement de cet acte] 1.

[L'acte accompli est un acte de parole effectué par une expression ou un verbe à valeur performative] Son compagnon ayant dit qu'il rentrait se coucher, il ajouta, sans même tendre la main : — Eh bien, adieu (ÉMILE ZOLA, Germinal, 1885, page 1527 ).

« Nous savons que cet argent, c'est pour nous que tu voulais le garder.

Eh bien! Nous y renonçons...

» (GEORGES DUHAMEL, Le Jardin des bêtes sauvages, 1934, page 168) : Ø 1....

tenez, Madame, c'est encore comme le chef du protocole qui est bossu, c'est réglé, il n'est pas depuis cinq minutes chez moi que je vais toucher sa bosse.

Mon mari dit que je le ferai révoquer.

Eh bien! Zut pour le ministère! Oui, zut pour le ministère! MARCEL PROUST, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918, page 599. 2.

[L'acte non linguistique est exprimé par une phrase au 2. »

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