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Dictionnaire en ligne: ENVOLÉE, substantif féminin.

Publié le 29/01/2016

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Dictionnaire en ligne: ENVOLÉE, substantif féminin. A.— [En parlant d'un animal] Action de prendre son vol; par métonymie le vol lui-même. Synonyme : envol. Pigeonnier de campagne tout bruyant d'envolées, et d'où sort à tout moment le froufrou d'un pigeon blanc (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Charles Demailly, 1860, page 385 ). B.— Par extension. Fait d'être soulevé ou emporté par l'air; fait de flotter au vent. Une envolée d'étoiles jaillissant de la bûche (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Charles Demailly, 1860 page 223 ). Les maisons s'écroulaient dans les envolées d'étincelles (ANDRÉ MALRAUX, L'Espoir, 1937, page 757 ). 1. Domaine vestimentaire. Dans un dernier tourbillon, une envolée de jupes, la valse s'achevait (MAXENCE VAN DER MEERSCH, Invasion 14, 1935, page 177 ). — Par métaphore. Pont-Aven, envolée blanche et rose de l'aile d'une coiffe légère qui se reflète en tremblant dans une eau verdie de canal (MARCEL PROUST, Du côté de chez Swann, 1913, page 389 ). 2. Domaine musical. Fait, pour un chant, une mélodie, de s'élever en l'air. L'invocation aux saints et aux saintes, l'envolée des « kyrie eleison » (ÉMILE ZOLA, Le Rêve, 1888, page 189 ). L'orgue préluda, puis s'effaça, soutint seulement l'envolée des voix (GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, En route, tome 1, 1895, page 5 ). C.— Par métaphore et au figuré. 1. [Avec une idée de légèreté, d'élévation] a) Domaine des réalités concret Fait de s'élancer, de s'élever avec élégance ou majesté. Un arbre de l'envergure et de l'envolée de ce hêtre (JEAN GIONO, Un Roi sans divertissement, 1947, page 32 ). b) Domaine des réalités abstrait. — Domaine de la pensée et du style. Élan, élévation dans l'inspiration et l'expression. Deux oeuvres de la jeunesse de Goethe, deux imaginations de la plus haute envolée (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1875, page 1056) : Ø 1. M. Vildoux planait dans les hauteurs de la sainte Trinité et du Verbe incarné. Nous devions nous contenter d'attendre patiemment que son envolée eût pris fin. Pour être juste, je dois reconnaître que de ses considérations éthérées un mot me restait parfois qui pouvait par la suite m'éclairer l'âme. ANDRÉ BILLY, Introïbo, 1939, page 82. — Domaine de la vie morale et religion Élévation de l'âme, de l'esprit. L'envolée qui fait les mystiques ou les amoureuses, selon le milieu (ÉMILE ZOLA, Le Docteur Pascal, 1893, page 119 ). 2. [Avec l'idée d'une disparition, d'un départ] Action de disparaître, de partir. Prendre son envolée. Disparaître. Synonyme : prendre le large : Ø 2. Elle [Céline] déguerpissait du logis, les mâchoires encore émues, et le père la laissait libre; mais jamais, au grand jamais, il ne consentirait à ce que son autre fille prît son envolée après la soupe. GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, Les Soeurs Vatard, 1879, page 148. 3. [Avec l'idée d'une fuite irréversible] Fait, pour une réalité temporelle, de passer rapidement, de s'écouler (voir clapotis citation de Péladan). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 322. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 194, b) 714; XXe. siècle : a) 989, b) 225. Forme dérivée du verbe "envoler" envoler ENVOLER (S'), verbe pronominal. A.— [Le sujet désigne un animal, notamment un oiseau, un insecte] Prendre son vol. Les moineaux, le papillon s'envole (nt); s'envoler d'une branche, à l'approche de, lourdement. Le martin-pêcheur, en s'envolant, fait glisser son reflet bleu (FRANÇOIS COPPÉE, La Bonne souffrance, 1898, page 52 ). Voir alouette exemple 4. · En particulier. S'échapper en volant S'envoler d'une cage. J'ai un oiseau qui s'est envolé, le bleu, celui dont tu m'avais fait cadeau (ÉMILE ZOLA, La Conquête de Plassans, 1874, page 900 ). Au figuré, familier. Disparaître brusquement, prendre la fuite sans être vu. Il n'y a plus que le nid, les oiseaux s'en sont envolés, sont envolés (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932) : Ø 1. Elle allait monter à son tour lorsque le médecin reparut. — L'oiseau s'est envolé, dit-il. Sacrée nouvelle! — Envolé? Mais ses habits sont sous clef, ses chaussures, tout. Il est en pyjama, pieds nus. GEORGES BERNANOS, Monsieur Ouine, 1943, page 1512. · Emploi factitif. Les corbeaux que je faisais envoler d'un arbre pour se poser sur un autre (FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND,Mémoires d'Outre-Tombe, tome 1, 1848, page 132 ). Les gamins jettent des pierres pour faire envoler les mouettes (JULES RENARD, Journal, 1904, page 906 ). · Emploi impersonnel. De dessous des cloches d'or, il s'envole des oiseaux (GUSTAVE FLAUBERT, La Tentation de Saint Antoine, 1849, page 383 ). — Par analogie. 1. [Le sujet désigne un aéronef, notamment un avion] Quitter sa piste de décollage, sa base de lancement. Synonyme : décoller. Je regarde le soleil se lever et la « Constellation » s'envoler. C'est un avion géant, très haut sur pattes, plus insecte qu'oiseau (ÉMILE HERZOG, DIT ANDRÉ MAUROIS, Journal, États-Unis, 1946, page 137 ). 2. [Par métonymie du sujet; le sujet désigne une personne] Partir à bord d'un aéronef. Je m'envolai d'Alger sur mon avion habituel (CHARLES DE GAULLE, Mémoires de guerre, 1956, page 294 ). Car elle a su avant qu'il s'envole que son mari, Youri Gagarine, allait être le premier homme de l'espace (France-Dimanche, 20, 26 avril 1961, page 7, colonne 1 dans LOUIS GUILBERT Le vocabulaire de l'astronautique 1967 ). B.— Par extension. [Le sujet désigne un inanimé concret] 1. Être emporté en l'air, par le vent. S'envoler en fumée, en poussière. Des feuilles jaunes tournoient et s'envolent (LÉON GOZLAN, Le Notaire de Chantilly, 1836, page 105 ). Tout sera évanoui comme la poussière qui s'envole, comme la fumée qui se dissipe dans l'air (RODOLPHE TOEPFFER, Nouvelles genevoises, 1839, page 95 ). — Rare, emploi factitif. Mon chapeau de paille qu'un coup de vent envola dans le Rhône (STÉPHANE MALLARMÉ, Correspondance, 1866, page 228 ). — Emploi impersonnel. Il s'envolait de la paille battue une fine poussière (MARCEL AYMÉ, La Jument verte, 1933, page 174 ). 2. Flotter dans le vent. Je vois s'envoler ses fins cheveux d'or Au zéphyr qui les adore (THÉODORE DE BANVILLE, Les Stalactites, 1846, page 331 ). — Emploi factitif. Bouffées de grand air qui faisaient envoler les rideaux de l'alcôve (ÉMILE ZOLA, La Faute de l'Abbé Mouret, 1875, page 1325 ). Des mèches grises que le vent avait envolées (ÉMILE ZOLA, L'Assommoir, 1877, page 776 ). 3. En particulier. [Le sujet désigne une odeur ou un son] Être porté par l'air. Synonymes : s'élever, monter. a) [Le sujet désigne une odeur] Le loup grillé d'où s'envolait une savoureuse odeur de beurre fondu (GUY DE MAUPASSANT, Contes et nouvelles, tome 2, Le Champ d'oliviers, 1890, page 88 ). L'odeur des daturas, qui rampait, s'envole, enlacée à celle d'un citronnier (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Sept Dialogues de bêtes, 1905, page 130 ). b) [Le sujet désigne un son] Par la porte restée grande ouverte, le chant des psaumes s'envolait (ÉMILE MOSELLY, Terres lorraines, 1907, page 86 ). Les notes [d'une chanson] en s'envolant avaient l'air de dessiner la ronde (ÉDOUARD ESTAUNIÉ, Les Choses voient, 1913, page 49 ). C.— Au figuré et par métaphore. 1. [Avec l'idée d'élan, de légèreté, d'élévation] a) [Le mouvement est réel] — [Le sujet désigne une personne] S'élever en l'air, s'élancer à partir du sol : Ø 2.... on croirait qu'elle [une danseuse] va s'envoler; cependant sa danse est modérée, et ses pas sans prétention; elle se contente de circuler avec légèreté, en développant ses formes aimables et gracieuses; mais à quelques échappées on devine ses pouvoirs (...). Même quand l'oiseau marche on voit qu'il a des ailes. JEAN-ANTELME BRILLAT-SAVARIN, Physiologie du goût ou Méditations de gastronomie transcendante, 1825, page 301. — [Le sujet désigne un moyen de transport ou un animal] Aller à vive allure. Rapide, le caïque file déjà, s'envole sur l'eau sombre (CLAUDE FARRÈRE, HOMME QUI ASSASSINA, 1907, page 300 ). Il [le cheval] passa d'un élan le peloton... Il s'envolait littéralement! (PAUL VIALAR, L'Éperon d'argent, 1952, page 41 ). · Par métonymie. Avec la vigueur des deux chevaux, on s'envolait (JEAN-BALTHASAR MALLARD, COMTE DE LA VARENDE, La Dernière fête, 1953, page 240 ). b) Par métaphore. [Le mouvement est fictif] — [Le sujet désigne une personne] Mourir, d'une mort douce ou pieuse. La joie d'un saint qui s'envole vers Dieu (ALFRED DE MUSSET, La Quenouille Barberine, 1840, II, 3, page 310) : Ø 3. En prononçant ces mots elle [Élisabeth] baissa la tête comme dans un doux sommeil, et rendit en triomphe le dernier soupir. Son âme s'envola au ciel au milieu des anges et des saints qui étaient venus au devant d'elle. CHARLES, COMTE DE MONTALEMBERT, Histoire de Sainte Elisabeth de Hongrie, duchesse de Thuringe (1207-1231), 1836, page 273. — [Le sujet désigne un inanimé concret] S'élancer avec légèreté vers le haut, s'élever. La cage d'escalier, sonore et nue, s'envole là-haut vers les étages (MAURICE GENEVOIX, Rroû, 1931, page 47 ). — [Le sujet désigne la pensée ou un élément du style, de l'expression, écrite ou orale, d'une personne] La phrase prête à s'envoler ne déploya pas ses ailes sonores (THÉOPHILE GAUTIER, Le Roman de la momie, 1858, page 203 ). Quand ma pensée à Dieu s'envole librement! (MARCELINE DESBORDES-VALMORE, Fragments, 1859, page 247) : Ø 4. Je ne puis m'imaginer Chateaubriand autrement que debout; il devait écrire debout, ce noble artisan du style, dont les phrases s'envolaient avec un bruit d'ailes si large. ÉMILE ZOLA, Documents littéraires, Alphonse de Chateaubriand, 1881, page 11. 2. [Avec l'idée d'une disparition soudaine, d'un départ rapide ou brusqué] a) [Le mouvement est réel] — [Le sujet désigne une personne] Partir précipitamment, s'enfuir. Synonyme : s'éclipser. Ces deux femmes s'envolèrent sans châle ni chapeau (HONORÉ DE BALZAC, Le Père Goriot, 1835, page 215 ). La fille de Pétamounoph s'était envolée par là (THÉOPHILE GAUTIER, Le Roman de la momie, 1858 page 255 ). — [Le sujet désigne un inanimé concret] Disparaître brusquement, rapidement. Synonyme : se volatiliser : Ø 5. Maman avait trouvé son coffre ouvert et disparus bijoux, argenterie. Dans le salon où soudain elle courut, d'assez beaux vases chinois s'étaient envolés. PIERRE DRIEU LA ROCHELLE, Rêveuse bourgeoisie, 1939, page 272. Remarque : On constate, notamment dans le registre oral, l'absence d'auxiliaire aux temps composés. Le Sphinx. — Œdipe! Où est-il? Où est-il? Anubis. — Parti, envolé. Il court à perdre haleine proclamer sa victoire (JEAN COCTEAU, La Machine infernale, 1934, II, page 85). Voir supra exemple 1. b) [Le mouvement est fictif] Disparaître brusquement, se dissiper. Enfin, va, conclus : les terrains ne s'envoleront pas, ils seront à nous pour moitié (HONORÉ DE BALZAC, Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau, 1837, page 131 ). Des épouses guettant la paie, pour l'empêcher de s'envoler chez le marchand de vin (ÉMILE ZOLA, L'Assommoir, 1877, page 761 ). — En particulier, par métaphore. Les cloches envolées pour Rome durant la semaine sainte (MAURICE BARRÈS,La Colline inspirée, 1913, page 338 ). 3. [Avec l'idée d'une disparition, d'un effacement généralement irréversibles] Passer rapidement, disparaître. a) [Le sujet désigne une réalité temporelle ou qui s'inscrit dans le temps] La jeunesse s'envole. Synonymes : s'écouler s'enfuir, s'évanouir. Ce laisser passer du temps qui s'envole (AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Histoire de ma vie, tome 3, 1855, page 282 ). L'espoir s'envole, la résignation, toute noire, s'abat lourdement sur l'âme (ROLAND LECALELÉ, DIT ROLAND DORGELÈS, Les Croix de bois, 1919, page 231 ). Voir chauve citation de Louis Reybaud : Ø 6. Sous le sombre aquilon, dont les mille voix pleurent, Poussière et genre humain, tout s'envole à la fois. Hélas! Le même vent souffle, en l'ombre où nous sommes, Sur toutes les têtes des hommes, Sur toutes les feuilles des bois. VICTOR HUGO, Les Contemplations, tome 2, 1856, page 148. b) [Le sujet désigne un aspect physique ou moral d'une personne] Toute fatigue parut s'envoler de mes muscles (PIERRE BENOÎT, L'Atlantide, 1919, page 174 ). — Par métaphore. Le doute ressemble à ces mouches importunes qu'on chasse et qui reviennent toujours. Il s'envole sans doute au premier geste de la raison (JOSEPH, COMTE DE MAISTRE, Les Soirées de Saint-Pétersbourg, tome 1, 1821, page 222 ). — Proverbe. Les paroles s'envolent, les écrits* restent. STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 1 573. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 1 773, b) 3 762; XXe. siècle : a) 2 600, b) 1 595.

« GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, Les Soeurs Vatard, 1879, page 148. 3.

[Avec l'idée d'une fuite irréversible] Fait, pour une réalité temporelle, de passer rapidement, de s'écouler (voir clapotis citation de Péladan). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 322.

Fréquence relative littéraire : XIXe.

siècle : a) 194, b) 714; XXe. siècle : a) 989, b) 225. Forme dérivée du verbe "envoler" envoler ENVOLER (S'), verbe pronominal. A.— [Le sujet désigne un animal, notamment un oiseau, un insecte] Prendre son vol.

Les moineaux, le papillon s'envole (nt); s'envoler d'une branche, à l'approche de, lourdement.

Le martin-pêcheur, en s'envolant, fait glisser son reflet bleu (FRANÇOIS COPPÉE, La Bonne souffrance, 1898, page 52 ).

Voir alouette exemple 4. · En particulier.

S'échapper en volant S'envoler d'une cage.

J'ai un oiseau qui s'est envolé, le bleu, celui dont tu m'avais fait cadeau (ÉMILE ZOLA, La Conquête de Plassans, 1874, page 900 ). Au figuré, familier.

Disparaître brusquement, prendre la fuite sans être vu.

Il n'y a plus que le nid, les oiseaux s'en sont envolés, sont envolés (Dictionnaire de l'Académie française.

1798-1932) : Ø 1.

Elle allait monter à son tour lorsque le médecin reparut.

— L'oiseau s'est envolé, dit-il.

Sacrée nouvelle! — Envolé? Mais ses habits sont sous clef, ses chaussures, tout. Il est en pyjama, pieds nus. GEORGES BERNANOS, Monsieur Ouine, 1943, page 1512. · Emploi factitif.

Les corbeaux que je faisais envoler d'un arbre pour se poser sur un autre (FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND,Mémoires d'Outre-Tombe, tome 1, 1848, page 132 ).

Les gamins jettent des pierres pour faire envoler les mouettes (JULES RENARD, Journal, 1904, page 906 ). · Emploi impersonnel.

De dessous des cloches d'or, il s'envole des oiseaux (GUSTAVE FLAUBERT, La Tentation de Saint Antoine, 1849, page 383 ). — Par analogie. 1.

[Le sujet désigne un aéronef, notamment un avion] Quitter sa piste de décollage, sa base de lancement.

Synonyme : décoller.

Je regarde le soleil se lever et la « Constellation » s'envoler.

C'est un avion géant, très haut sur pattes, plus insecte qu'oiseau (ÉMILE HERZOG, DIT ANDRÉ MAUROIS, Journal, États-Unis, 1946, page 137 ). 2.

[Par métonymie du sujet; le sujet désigne une personne] Partir à bord d'un aéronef.

Je m'envolai d'Alger sur mon avion habituel (CHARLES DE GAULLE, Mémoires de guerre, 1956, page 294 ).

Car elle a su avant qu'il s'envole que son mari, Youri Gagarine, allait être le premier homme de l'espace (France- Dimanche, 20, 26 avril 1961, page 7, colonne 1 dans LOUIS GUILBERT Le vocabulaire de l'astronautique 1967 ). B.— Par extension.

[Le sujet désigne un inanimé concret] 1.

Être emporté en l'air, par le vent.

S'envoler en fumée, en poussière.

Des feuilles jaunes tournoient et s'envolent (LÉON GOZLAN, Le Notaire de Chantilly, 1836, page 105 ).

Tout sera 2. »

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