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reporté sa rage sur Corliss.

Publié le 06/01/2014

Extrait du document

reporté sa rage sur Corliss. Du coup, la DEA lui est dégringolée dessus comme une tonne de briques et il est devenu en même temps la cible numéro un des tueurs des cartels... Les pièces du puzzle s'assemblaient mais je sentais en même temps quelque chose agiter ses griffes au ond d'une crevasse de mon esprit et tenter désespérément d'attirer mon attention. -- D'accord, la formule est perdue... mais ils pensent que nous l'avons, dis-je. Quelqu'un le pense. C'est our ça que Navarro a cherché à tuer Corliss à l'époque. C'est pour ça que le type qui est derrière cette histoire a embauché les motards pour qu'ils kidnappent des chercheurs. Et c'est pour ça qu'ils ont voulu enlever ichelle. -- Michelle ne faisait pas partie de notre commando, me rappela Munro. Elle n'avait rien à voir avec le raid ontre le labo de Navarro... -- Elle, non. Moi, si. Cette soudaine prise de conscience me tomba au creux de l'estomac comme une bombe à fragmentation t me déchira les entrailles. Dans mon cerveau, les rouages s'enclenchèrent et se mirent à tourner dans une larté aveuglante. -- Ils ne voulaient rien d'elle, poursuivis-je. C'est moi qu'ils voulaient. Je suis celui qui a supprimé cKinnon, ils doivent penser que je sais quelque chose. Je revis Michelle recevoir la balle, se tourner vers moi pour me regarder tandis que la mort se rapprochait 'elle ; je la revis allongée sur le trottoir, la vie s'écoulant par sa blessure, ses lèvres prononçant quelques ltimes mots dans un râle d'agonie... et j'eus envie de me faire sauter la tête. C'était moi qu'ils voulaient. Depuis le début. Ils voulaient enlever Michelle pour avoir accès à moi. J'étais responsable de sa mort. Mon sang se changea en un torrent d'acide qui déferla dans mon corps, brûlant tout sur son passage. Ils 'en étaient pris à Michelle parce qu'ils ne connaissaient pas l'existence de Tess, probablement. Ou parce que ew York était hors de portée pour eux et qu'ils avaient besoin de m'attirer ici, sur leur terrain, à un saut de la rontière. Et comme si cela ne suffisait pas, je me rendis compte d'autre chose. Alex. -- Ce n'était pas seulement Michelle qu'ils voulaient, fis-je d'une voix sifflante, le souffle court. Ils voulaient aussi Alex. Ils doivent savoir qu'il est mon fils. Ils sont venus l'enlever. Pour avoir un moyen de pression sur moi. Ça devait être la raison pour laquelle ils continuaient à me suivre. Non parce qu'ils ignoraient que Michelle était morte. Parce qu'ils me voulaient moi. Ils voulaient quelque chose de moi et ils avaient l'intention de se servir d'Alex pour obtenir ce qu'ils désiraient tant. Ce qui signifiait qu'Alex était toujours une cible. Qu'il était en danger. Et Tess aussi. Ma vision devint trouble tandis que le plan tout entier défilait dans ma tête à vitesse rapide. Je saisis mon portable et pressai la touche du numéro préenregistré de Julia. 43 -- Ouah, regardez celui-ci ! hurla Alex, surexcité, en montrant les avions exposés devant le musée de l'Air et de l'Espace. Ils se tenaient sous le Blackbird de Lockheed, qui les dominait du haut de ses trois supports métalliques, à l'entrée du musée. -- C'est le plus rapide de tous, une vraie fusée ! poursuivit Alex, s'extasiant devant l'avion espion noir et ffilé qui avait volé pour la première fois au-dessus des lacs de la Zone 51, dans le Nevada. Bourré d'énergie, il passa du Blackbird au Convair Sea Dart, plus petit, qui flanquait également l'entrée du usée. Julia vit le plaisir s'afficher sur le visage de Tess. Suivant du regard le gosse qui courait en tous sens, elle e put s'empêcher de sourire à son tour. Elle savait ce que Tess ressentait. Voir Alex exprimer un tel bonheur, ême pendant un instant fugitif, après tout ce qu'il avait traversé, était aussi enivrant qu'un verre de pur malt. Tess se tourna vers elle. -- Et si on allait faire un tour à l'intérieur ? Alex s'y trouvait déjà. Le musée circulaire était constitué d'une rotonde extérieure pleine d'avions de toutes formes et de toutes ailles disposés autour d'un pavillon central. Un énorme hydravion de la Seconde Guerre mondiale dominait 'ensemble. Alex avait expliqué à Tess qu'il était déjà venu au musée, mais qu'il n'avait jamais vu les films en elief qu'on projetait au Zable Theatre. Ces films étaient agrémentés d'effets spéciaux mécaniques qu'un uelconque sorcier du marketing avait décidé de baptiser « 4D » - même si, à proprement parler, tous les films n 3D étaient déjà projetés à l'intérieur d'un machin einsteinien à quatre dimensions. Ils se promenèrent dans l'exposition, Alex menant la marche et gesticulant avec excitation d'un avion à 'autre. L'endroit bourdonnait d'activité, aussi animé à l'intérieur que la promenade à l'extérieur. Julia se surprit à xaminer les alentours. Toutes sortes de gens se trouvaient là - familles, couples, citadins, étrangers, vieux et eunes. Cet échantillon varié d'humanité avait convergé autour d'un remarquable aperçu du génie de l'homme ancé dans sa quête pour satisfaire son désir primitif de voler. Ils étaient là depuis une demi-heure et s'apprêtaient à entrer dans la salle de projection, quand un homme ttira le regard de Julia. Un Latino à la peau olivâtre vêtu d'un jean, d'un coupe-vent et de bottes de cow-boy. e cordon d'un téléphone mains-libres lui pendait à l'oreille, et il parlait dans son micro. Julia ne savait pas bien ourquoi son regard s'était attardé sur lui à cette seconde précise. Quelque chose dans son attitude lui sembla izarre, sans qu'elle puisse y mettre un nom. L'homme semblait déplacé. Il ne ressemblait pas à un touriste. Il vait l'air mal à l'aise dans ce contexte, comme s'il n'était pas vraiment là pour regarder les avions. Après l'avoir bservé pendant quelques secondes, Julia décida qu'elle devenait parano. Pas une seule fois il n'avait regardé ans leur direction. Sans doute répondait-il à un coup de fil lié à son travail. Ou bien avait-il été obligé de faire ne balade avec sa nouvelle petite amie et le gosse de cette dernière, et il n'avait pas envie d'être là. Quelle ue soit son histoire, Julia se dit qu'il ne méritait pas son attention et décida de l'ignorer. Elle se réprimanda mentalement à propos de cet incident. Une preuve supplémentaire qu'elle était ncapable de se détendre tout à fait. Elle faisait ce boulot depuis trop longtemps pour baisser sa garde. Elle maginait les réflexions de ses amis, mais le fait est qu'elle aimait son travail au Bureau. Sa meilleure amie, qui vait été sa colocataire à l'université, prenait plaisir à la taquiner à propos du mariage et des enfants, mais Julia epoussait en riant les piques et les encouragements. Elle lui promettait d'essayer de se détendre et de profiter e ce que la vie avait à lui offrir, mais elles savaient toutes deux que ce n'étaient que des voeux pieux. La file d'attente pour la projection avançait. En entrant dans la salle, Julia prit soin de repérer les issues - utre l'accès principal, il y avait au fond de la petite salle de trente-six places deux portes donnant sur le centre ducatif - et se rendit compte qu'elle l'avait fait machinalement. Même lorsqu'elle était de sortie, pour une journée de plaisir avec un gosse de quatre ans, elle n'était pas ichue d'oublier son travail. Elle vit que Tess et Alex mettaient leurs lunettes spéciales pour le relief et s'asseyaient, prêts à se laisser bsorber par les délices de Jet Pack Adventure. Elle décida de les attendre à l'extérieur de la salle, où elle pourrait télécharger les dernières infos sur son portable. Un instant, elle envisagea même de faire un essai au simulateur de vol - elle avait souvent volé à bord d'hélicoptères et de petits avions, mais elle n'était jamais montée dans un avion de chasse F-18 -, mais elle n'eut pas le temps d'y penser sérieusement. Son téléphone ibra. Elle vérifia l'identité de son interlocuteur. Reilly. Il appelait sans doute pour prendre des nouvelles de son fils. -- Où êtes-vous ? Il semblait nerveux. Elle se crispa, balayant machinalement les lieux d'un regard panoramique. Reilly fit l'économie des formules de politesse. -- Je veux que vous fassiez sortir Alex et Tess de là, sans les alarmer. David est en train de leur préparer ne planque. Un doigt glacé descendit le long de la colonne vertébrale de Julia. -- Pourquoi, qu'est-ce qui s'est passé ? -- Ils sont à mes trousses. C'est pour ça qu'ils ont attaqué Michelle et Alex. Ils voulaient se servir d'eux pour m'avoir. Ce qui signifie qu'Alex est toujours en danger. Et Tess, aussi. Julia l'écouta avec attention résumer la situation. Le Mexique, cinq ans plus tôt. Raoul Navarro. Quand il prononça ce nom, elle décela un mélange de frustration et de malaise mal dissimulé. Elle connaissait Reilly depuis très peu de temps, mais elle avait été impressionnée par sa lucidité et son énergie, au point d'éprouver déjà un léger béguin (qu'elle savait parfaitement vain) pour lui. L'entendre s'inquiéter de la sorte était assez déstabilisant. Il lui expliqua également que les hommes de main qui avaient enlevé les Aigles étaient sans doute d'anciens militaires - ce qui correspondait au modus operandi de Navarro. -- Je dois demander du renfort ? fit-elle dès qu'il s'interrompit pour reprendre son souffle. -- Non, pas pour le moment. Je ne veux pas qu'Alex soit plus terrifié qu'il ne l'est déjà. Ramenez-les à 'hôtel et préparez les bagages. Je suis sur le chemin du retour à San Diego. -- Comme si c'était fait. Elle coupa la communication, se glissa à couvert sous un avion surbaissé, balaya rapidement le musée 'un regard circulaire. Tout d'abord, elle ne vit rien de suspect. Puis elle aperçut le Latino de tout à l'heure. uste à l'intérieur du pavillon central. Sauf que, cette fois, un deuxième type se tenait à côté de lui. Le fil d'un éléphone mains-libres lui sortait également de l'oreille. Le nouveau venu tenait une sorte de portable, dont les eux hommes regardaient l'écran avec attention. L'un d'eux jeta un coup d'oeil vers Julia et fit à l'intention de on comparse un signe de tête discret en direction de la salle de projection... c'est alors que Julia le vit. Un éger renflement sous son coupe-vent. Elle savait qu'il s'agissait d'un revolver, dans un étui sous l'aisselle. Sa nuque la chatouilla, et elle eut la certitude que des événements désagréables se préparaient. Julia ne quittait pas les deux hommes des yeux. Ils ne bougeaient pas. Ils regardaient derrière elle et emblaient ne pas l'avoir remarquée. Mentalement, elle fit un bond, comme elle était entraînée à le faire, et assa immédiatement différentes hypothèses en revue. Dans le meilleur des cas, ces types jouaient aux Angry irds sur leurs portables, ou ils consultaient des résultats sportifs. Dans le pire des cas, ils étaient hostiles. 'était précisément ce qu'elle avait lu dans leur regard et dans leur langage corporel. Ce qui signifiait qu'ils étaient là parce qu'ils filaient Alex et Tess. Ce qui signifiait aussi qu'ils avaient un traqueur GPS - très probablement dissimulé dans le téléphone de ess. Si c'était le cas, ils ne semblaient pas prêts à avancer leurs pions. Ils avaient l'air d'attendre que Tess et Alex sortent de la salle, peut-être qu'ils s'avancent dans l'entrée - ou qu'ils soient en route, dans la voiture - vant de passer à l'action. Nom de Dieu. Julia ignorait le nombre de types déployés dans le musée, mais elle savait que la dernière chose dont on vait besoin était une fusillade dans un lieu bondé, par un bel après-midi d'été. Et s'il fallait tenir compte du assé récent, il était évident que ce Raoul Navarro n'éprouverait aucun scrupule à sacrifier des innocents, et u'il était prêt à atteindre Reilly de n'importe quelle façon, y compris à travers des femmes et des enfants. Différentes options se bousculèrent dans son esprit, puis une idée la frappa. Si ces types étaient vraiment es hommes de main au service des cartels, elle pouvait se servir contre eux du traqueur GPS. Elle pouvait ettre Tess et Alex en sûreté sans qu'il y ait de blessés. La seule question était de savoir si elle devait rappeler eilly. La veille, Villaverde l'avait prise à part. Il lui avait dit que même si Reilly se trouvait au coeur des événements ils devaient veiller à ce que son implication personnelle dans l'affaire ne crée pas de problèmes, as même à lui-même. La priorité, pour Julia, était de protéger Alex. Descendre les méchants pouvait attendre que le garçon soit en sécurité. Elle devait quand même l'appeler. Julia composa son numéro et lui décrivit ce qu'elle voyait. -- Que veux-tu que je fasse ? -- N'engagez pas le combat, d'accord ? fit-il après un silence. Sous aucun prétexte. Comme vous l'avez dit, on ignore combien ils sont. Il doit y avoir des flics sur la plaza, ou non loin de là. Je vous envoie du renfort... -- Sean, il faut absolument éviter qu'il y ait une fusillade. Pas ici, pas avec tous ces gens. Pas avec Alex et Tess au milieu. Elle lui fit part de son idée. Il soupira. -- Vous allez devoir les laisser sans surveillance... -- Oui, mais avec un peu de chance, ils n'auront personne aux trousses. Un silence, de nouveau. Visiblement, il soupesait deux options, aussi peu exaltantes l'une que l'autre. -- Je peux le faire, Sean. Ça va marcher. -- OK. Mais ne prenez aucun risque superflu. Pas d'héroïsme. J'insiste. Elle eut un sourire nerveux. Elle réalisa soudain que son coeur battait très vite. -- Je vous tiens au courant.

« 43 — Ouah, regardez celui-ci!hurla Alex,surexcité, enmontrant lesavions exposés devantlemusée del’Air et de l’Espace. Ils se tenaient sousleBlackbird deLockheed, quilesdominait duhaut deses trois supports métalliques, à l’entrée dumusée. — C’est leplus rapide detous, unevraie fusée !poursuivit Alex,s’extasiant devantl’avionespion noiret effilé quiavait volépour lapremière foisau-dessus deslacs delaZone 51,dans leNevada. Bourré d’énergie, ilpassa duBlackbird auConvair SeaDart, pluspetit, quiflanquait également l’entréedu musée.

Julia vitleplaisir s’afficher surlevisage deTess.

Suivant duregard legosse quicourait entous sens, elle ne put s’empêcher desourire àson tour.

Ellesavait ceque Tess ressentait.

VoirAlex exprimer untelbonheur, même pendant uninstant fugitif,aprèstoutcequ’il avait traversé, étaitaussi enivrant qu’unverredepur malt. Tess setourna verselle. — Etsion allait faireuntour àl’intérieur ? Alex s’ytrouvait déjà. Le musée circulaire étaitconstitué d’unerotonde extérieure pleined’avions detoutes formes etde toutes tailles disposés autourd’unpavillon central.Unénorme hydravion delaSeconde Guerremondiale dominait l’ensemble.

Alexavait expliqué àTess qu’ilétait déjà venu aumusée, maisqu’iln’avait jamaisvules films en relief qu’on projetait auZable Theatre.

Cesfilms étaient agrémentés d’effetsspéciaux mécaniques qu’un quelconque sorcierdumarketing avaitdécidé debaptiser «4D »–même si,àproprement parler,touslesfilms en 3D étaient déjàprojetés àl’intérieur d’unmachin einsteinien àquatre dimensions. Ils se promenèrent dansl’exposition, Alexmenant lamarche etgesticulant avecexcitation d’unavion à l’autre.

L’endroit bourdonnait d’activité,aussianimé àl’intérieur quelapromenade àl’extérieur.

Juliasesurprit à examiner lesalentours.

Toutessortesdegens setrouvaient là–familles, couples, citadins,étrangers, vieuxet jeunes.

Cetéchantillon variéd’humanité avaitconvergé autourd’unremarquable aperçudugénie del’homme lancé danssaquête poursatisfaire sondésir primitif devoler. Ils étaient làdepuis unedemi-heure ets’apprêtaient àentrer danslasalle deprojection, quandunhomme attira leregard deJulia.

UnLatino àla peau olivâtre vêtud’un jean, d’uncoupe-vent etde bottes decow-boy. Le cordon d’untéléphone mains-libres luipendait àl’oreille, etilparlait danssonmicro.

Julianesavait pasbien pourquoi sonregard s’étaitattardé surluiàcette seconde précise.Quelque chosedanssonattitude luisembla bizarre, sansqu’elle puisseymettre unnom.

L’homme semblaitdéplacé.

Ilne ressemblait pasàun touriste.

Il avait l’airmal àl’aise danscecontexte, commes’iln’était pasvraiment làpour regarder lesavions.

Aprèsl’avoir observé pendant quelques secondes, Juliadécida qu’elledevenait parano.Pasuneseule foisiln’avait regardé dans leurdirection.

Sansdoute répondait-il àun coup defillié àson travail.

Oubien avait-il étéobligé defaire une balade avecsanouvelle petiteamieetlegosse decette dernière, etiln’avait pasenvie d’être là.Quelle que soitson histoire, Juliaseditqu’il neméritait passonattention etdécida del’ignorer. Elle seréprimanda mentalement àpropos decet incident.

Unepreuve supplémentaire qu’elleétait incapable desedétendre toutàfait.

Elle faisait ceboulot depuis troplongtemps pourbaisser sagarde.

Elle imaginait lesréflexions deses amis, maislefait estqu’elle aimaitsontravail auBureau.

Sameilleure amie,qui avait étésacolocataire àl’université, prenaitplaisiràla taquiner àpropos dumariage etdes enfants, maisJulia repoussait enriant lespiques etles encouragements.

Elleluipromettait d’essayerdesedétendre etde profiter de ceque lavie avait àlui offrir, maisellessavaient toutesdeuxquecen’étaient quedesvœux pieux. La file d’attente pourlaprojection avançait.Enentrant danslasalle, Juliapritsoin derepérer lesissues – outre l’accès principal, ily avait aufond delapetite salledetrente-six placesdeuxportes donnant surlecentre éducatif –et se rendit compte qu’ellel’avaitfaitmachinalement. Même lorsqu’elle étaitdesortie, pourunejournée deplaisir avecungosse dequatre ans,ellen’était pas fichue d’oublier sontravail. Elle vitque Tess etAlex mettaient leurslunettes spéciales pourlerelief ets’asseyaient, prêtsàse laisser absorber parlesdélices de Jet Pack Adventure . Elle décida deles attendre àl’extérieur delasalle, oùelle pourrait télécharger lesdernières infossurson portable.

Uninstant, elleenvisagea mêmedefaire unessai au simulateur devol –elle avait souvent voléàbord d’hélicoptères etde petits avions, maisellen’était jamais montée dansunavion dechasse F-18–,mais ellen’eut pasletemps d’ypenser sérieusement.

Sontéléphone vibra.

Elle vérifia l’identité deson interlocuteur.

Reilly.Ilappelait sansdoute pourprendre desnouvelles deson fils.

—Où êtes-vous ? Il semblait nerveux. Elle secrispa, balayant machinalement leslieux d’unregard panoramique. Reilly fitl’économie desformules depolitesse. — Je veux quevous fassiez sortirAlexetTess delà,sans lesalarmer.

Davidestentrain deleur préparer une planque.. »

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