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Vocabulaire: CHOUCHOU, CHOUCHOUTE, substantif.

Publié le 12/11/2015

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Vocabulaire: CHOUCHOU, CHOUCHOUTE, substantif. Familier. Préféré, favori. Briand, futur chouchou du Vatican (LÉON DAUDET, Le Bréviaire du journalisme, 1936, page 146 ). Lucile était un peu mon chouchou (GEORGES SIMENON, Les Vacances de Maigret, 1948, page 137) : Ø Sur un papier laissé sans doute intentionnellement dans un des catéchismes (...), une main maladroite avait dessiné une minuscule bonne femme avec cette inscription : « La chouchoute de M. le Curé ». GEORGES BERNANOS, Journal d'un curé de campagne, 1936, page 1053. Fréquence absolue littéraire Chouchou : 7. Chouchoute : 9. DÉRIVÉS : Chouchouter, verbe transitif. familier. Entourer d'attentions délicates ou de soins excessifs. Cet asile-là est réservé aux anciens combattants, les seuls qu'on chouchoute (HERVÉ BAZIN, La Tête contre les murs, 1949, page 179 ). J'ai pensé aux crocus (...). Je les chouchoute avec grand plaisir. Je bêche leur terre avec une vieille fourchette, je les arrose (JEAN GIONO, Les Grands chemins, 1951, page 230 ). Remarque : On rencontre dans la documentation le néologisme chouchoutage, substantif masculin (HENRI DE MONTHERLANT, La Ville dont le prince est un enfant, 1951, page 881; suffixe -age*). Action de chouchouter. Un gars qui déjà ne devait qu'au chouchoutage de n'avoir pas été renvoyé plusieurs fois (HENRI DE MONTHERLANT, La Ville dont le prince est un enfant, 1951, page 881). Forme dérivée du verbe "chouchouter" chouchouter tiré de l'article " CHOUCHOU, CHOUCHOUTE, " CHOUCHOU, CHOUCHOUTE, substantif. Familier. Préféré, favori. Briand, futur chouchou du Vatican (LÉON DAUDET, Le Bréviaire du journalisme, 1936, page 146 ). Lucile était un peu mon chouchou (GEORGES SIMENON, Les Vacances de Maigret, 1948, page 137) : Ø Sur un papier laissé sans doute intentionnellement dans un des catéchismes (...), une main maladroite avait dessiné une minuscule bonne femme avec cette inscription : « La chouchoute de M. le Curé ». GEORGES BERNANOS, Journal d'un curé de campagne, 1936, page 1053. Fréquence absolue littéraire Chouchou : 7. Chouchoute : 9. DÉRIVÉS : Chouchouter, verbe transitif. familier. Entourer d'attentions délicates ou de soins excessifs. Cet asile-là est réservé aux anciens combattants, les seuls qu'on chouchoute (HERVÉ BAZIN, La Tête contre les murs, 1949, page 179 ). J'ai pensé aux crocus (...). Je les chouchoute avec grand plaisir. Je bêche leur terre avec une vieille fourchette, je les arrose (JEAN GIONO, Les Grands chemins, 1951, page 230 ). Remarque : On rencontre dans la documentation le néologisme chouchoutage, substantif masculin (HENRI DE MONTHERLANT, La Ville dont le prince est un enfant, 1951, page 881; suffixe -age*). Action de chouchouter. Un gars qui déjà ne devait qu'au chouchoutage de n'avoir pas été renvoyé plusieurs fois (HENRI DE MONTHERLANT, La Ville dont le prince est un enfant, 1951, page 881).

« CHOUCHOU, CHOUCHOUTE, substantif.

Familier.

Pr?f?r?, favori.

Briand, futur chouchou du Vatican (L?ON DAUDET, Le Br?viaire du journalisme, 1936, page 146 ).

Lucile ?tait un peu mon chouchou (GEORGES SIMENON, Les Vacances de Maigret, 1948, page 137) : ? Sur un papier laiss? sans doute intentionnellement dans un des cat?chismes (...), une main maladroite avait dessin? une minuscule bonne femme avec cette inscription?: ? La chouchoute de M.

le Cur? ?. GEORGES BERNANOS, Journal d'un cur? de campagne, 1936, page 1053.

Fr?quence absolue litt?raire Chouchou?: 7.

Chouchoute?: 9.

D?RIV?S?: Chouchouter, verbe transitif.

familier.

Entourer d'attentions d?licates ou de soins excessifs.

Cet asile-l? est r?serv? aux anciens combattants, les seuls qu'on chouchoute (HERV? BAZIN, La T?te contre les murs, 1949, page 179 ).

J'ai pens? aux crocus (...).

Je les chouchoute avec grand plaisir.

Je b?che leur terre avec une vieille fourchette, je les arrose (JEAN GIONO, Les Grands chemins, 1951, page 230 ).

Remarque?: On rencontre dans la documentation le n?ologisme chouchoutage, substantif masculin (HENRI DE MONTHERLANT, La Ville dont le prince est un enfant, 1951, page 881; suffixe -age*).

Action de chouchouter.

Un gars qui d?j? ne devait qu'au chouchoutage de n'avoir pas ?t? renvoy? plusieurs fois (HENRI DE MONTHERLANT, La Ville dont le prince est un enfant, 1951, page 881).. »

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