135. Dum abbas apponit fesseras, ludunt monachi Lorsque Tabbé lance les dés, les moines se mettent à jouer Cette sentence,...
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135.
Dum abbas apponit fesseras, ludunt monachi
Lorsque Tabbé lance les dés, les moines se mettent à jouer
Cette sentence, d’origine médiévale, reprise par Mélanchton (Carm., 4,
371), rappelle elle aussi que le laxisme des hommes qui tiennent les
commandes rejaillit inévitablement sur leurs subordonnés, lesquels
prennent rapidement modèle sur leurs supérieurs (cf.
Mitis praelatus
facit ignavos famulatus.
« Le maître accommodant fait les serviteurs
négligents » ; Erasme, Adagia, 2, 7, 26 : ovium nullus uus, si....
»
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