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173. Contra potentes nemo est munitus satis Contre les puissants, personne n’est assez bien protégé Cette célèbre sentence est le...

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« 173.

Contra potentes nemo est munitus satis Contre les puissants, personne n’est assez bien protégé Cette célèbre sentence est le premier vers d’une fable de Phèdre (2, 6), celle de l'aigle qui avait enlevé une tortue, apparemment à l’abri de tout danger dans sa carapace jusqu’au moment où la corneille conseilla à l’aigle de laisser tomber la tortue sur une pierre pour briser sa carapace ; ainsi fut fait et les deux oiseaux purent se délecter de la chair du succulent animal.

L’adage, répertorié également parmi les sentences médiévales (Walther 3339), insiste sur la vulnérabilité du plus faible, toujours sans défense et désarmé face à plus puissant que lui ; cette sentence ayant le même sens que celles.... »

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