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« 3()3.

AVXVOU cip8ÉVTO� yv"'I ,râoa Tl aÙT'I loutes les femmes se ressemblent quand on éteint la lumière Apostolius ( 10, 90) utilise ce proverbe à propos des hommes adultères et libidineux : mais il est également attesté par les Praecepta coniuga­ lia de Plutarque (144e), qui place cette réplique dans la bouche d'une f\!mme oui essaie ainsi de se déba11asser d'un courtisan imoortun.

La littérature latine oftre plusieurs reprises du même thème : cf.

I 'Ars amatoria d'Ovide ( 1, 249 sq.), qui atlinne que > Nocte latent mendae et que toutes les femmes devien­ nent belles.

On lit toujours chez Plutarque une autre expression équiva­ lente: xaî pE, et,{ Xov d,w�.

> (Quaestiones convivales,.

1, 705c) que répertorient divers parémiographes (Zenob. vulg.

6, 42; Diogen.

8,.

7; Apost.

18, 14; Souda x 157) et qui l'appli­ quent.... »

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