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Antiquité Substance: Aristote C.têgorin Qualité : philosophe Organon } de la logique De rintMprétation !""Analytiques Z-Analytlques Topiques Quantité : 171...

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« Antiquité Substance: Aristote C.têgorin Qualité : philosophe Organon } de la logique De rintMprétation !""Analytiques Z-Analytlques Topiques Quantité : 171 cm Lieu : Athènes 1Jrifu111londts Phys.qut ::: Del'lme Parties d11 1nimiu1t j Astronomie ::;. Écrits scientifiques } !sélection) } Métaphysique Temps: matin } Poétique A Le Corpus Aristotelicum Sujet .. 1., C: C: ,!! u .!! êii C: C: 0 ...:e. ::, � "' .5!' .9 ·;: g: "' .5!' .9 [g]] p [gJ p [gJ s §]] p Les figures du syllogisme Action : enseigner Passion : bannie Les catégories d'Aristote 1: ..

Ç@ .1:!!'E! première figure ·- l!l -� O,i! � a. 1i 15.8 M s C Possession : laissée B Prédicat Pôsition: debout les deux figures déduites -�.. ,i,;§ il 1i! a. ·-1! 0 f la figure élargie plus tard D Chemin Q. CD ... i» Q. Q. n "'· c:: 0 ::, 1 Princ C: ·.a0 ... � 'ê u 1 ceux quo ont l'expérience LI Induction et déduction ion Aristote (384-324 av.1.-C.), né à Stagire (Maœ­ doine), fut durant vingt ans l'élève de Pl.ATON à l'Académie.

Vers 342 av.

J.-C., il se vit confier par Philippe II l'éducation d'ALExANllRE LE GRAND.

En 335, il fonda à Athènes sa propre Ecole, dite péripatéticienne. Les écrits d'Aristote que nous avons conserv�. sont, pour la plupart, des notes de COUlli qui étaient utilisées au Lycie, son Ecole (il les nomme lui­ même les écrits lsotériques).

C'est à partir d'eux qu • a été composé le Corpus Aristotelicum : - livres de Logique, appel� plus tard Organon (= outil), - écrits scientifiques, - la Métaphysique, - écrits éthiques, - livres d'&thétique (schéma A). Aristote : Logique A côté de cette première fonne de syllogisme, ARlsTOTE en présente encore deux qui sont déduites, et qui se différencient par la place du moyen tenne qui devient soit sujet, soit attribut (schéma C). Un enchaînement de propositions est une danoas­ tratioo.

Cette méthode est déductive, c'est-à-dire qu'elle va de l'universel au particulier. Toujours d'après AlusTOIB, le but de la science doit êlre de déduire nécessairement ce qui est à partir d'une cause (en grec, aitia). La preuve, dans le sens aristotilicien, est déduc­ tion (apodexis). Son contraire est l 'inductioa (épagogè).

ARisrore la décrit ainsi dans les « Topiques ,. « Quant à 1 'induction, elle procMc à partir des La logique: cas individuels pour accéder aux énoncés uni­ ARlsTOTE est le premier philosophe à avoir versels, par exemple, s'il est vrai que le meilleur pilote est celui qui s'y connat"t, et qu'il étudié l'ordre de la pensée indépendamment de son contenu, et selon sa fonne (logique for­ en va de mème du meilleur cocher, alors, d'une melle). façon générale, le meilleur en tout domaine est C'est surtout par l'intcnnédiaire de Bokl! (fin celui qui s'y connat"t.

,. du XIV'-début du XV' s.) et de PIERRE o'EsPAONE Contrairement à Pu.TON, pour ARlsTOTE le déve­ que la logique aristotélicienne devient le pilier loppement de la connaissance peut passer par de la logique traditionnelle dans son ensemble.

1' induction, et ce du fait de la relation enlre le Comme pour.... »

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