Après les embrasements de violence qui avaient fait des centaines de morts et des milliers de déplacés, entre novembre 1993...
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Après les embrasements de violence qui avaient fait des centaines de morts et des milliers de déplacés,
entre novembre 1993 et février 1994, le Congo s'est installé dans une situation de tension persistante.
L'ordre public a en partie échappé au contrôle de l'État avec l'émergence de milices partisanes composées
de jeunes et encadrées par des militaires.
Les tentatives de ramassage des armes, tout comme les
projets d'enrôlement des miliciens dans l'armée ou la police se sont révélés des solutions inapplicables.
Dans ce contexte, le gouvernement a dû, avec une marge de manoeuvre extrêmement étroite,
commencer la mise en oeuvre d'un nouveau programme d'ajustement structurel de l'économie afin de
retrouver l'accès au crédit international.
Au début de 1995, l'annonce du renforcement des mesures d'austérité exigées par le FMI (Fonds
monétaire international) et visant essentiellement les fonctionnaires a contribué à la dégradation du
climat social.
La principale centrale syndicale, la Confédération syndicale des travailleurs du Congo (CSTC,....
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