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CINQUIÈME PARTIE: PAROXV$ME DE LA REVOLTE Chapitre '1. Chez Deneulin, puis à la fosse Jean­ Bart, le lendemain vendredi de...

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« CINQUIÈME PARTIE: PAROXV$ME DE LA REVOLTE Chapitre '1.

Chez Deneulin, puis à la fosse Jean­ Bart, le lendemain vendredi de 4 heures à 10 heures. Le lendemain matin, personne ne descend à la mine Jean-Bart.

Un porion* avertit Deneulin qui se rend sur place : le travail a effectivement cessé à l'instigation de Chaval.

Deneulin discute avec les mineurs : une grève le ruinerait.

Il n'est qu'un petit capitaliste et il serait obligé de vendre son entreprise pour passer sous le joug de la Compagnie des mines de Montsou.

Il tente un tête-àtête avec Chaval et lui promet de l'avancement.

Celui-ci finit par céder et décide la reprise du travail.

Ce même jour, Mme Hennebeau, Cécile Grégoire et les filles Deneulin, vont déjeuner à Marchiennes.

Négrel les accompagne. Chapitre 2.

À la fosse Jean-Bart, au fond, à 11 h. 8h Au fond de la fosse Jean-Bart, à plus de 700 mètres de profondeur, la température atteint 45 degrés.

Catherine, épuisée par la chaleur et la fatigue, s'évanouit.

Chaval s'inquiète et lui manifeste pour une fois un peu de tendresse.

Mais vers 10 heures, un vent de panique souffle dans la mine : le bruit court que les ascenseurs ne remontent plus.

On apprend que ceux de Montsou viennent de couper les câbles.

Il faut pour regagner l'air libre emprunter cent deux échelles de sept mètres.

Catherine rassemble tout son courage pour gravir les échelons.

Elle perd connaissance à cinq échelles de l'arrivée.

Elle reprend conscience, à la sortie du puits, au milieu d'une foule hurlante qui s'en prend aux non-grévistes. Chapitre 3.

Retour en arrière: même jour, 8 h à 11 h, de Jean-Bart à Montsou. À Montsou, les mineurs partent pour Jean-Bart.

Étienne veut mener l'action révolutionnaire sans attenter à la vie des hommes, mais il est vite débordé par la foule en délire : arrivés à Jean-Bart, les grévistes coupent les câbles des ascenseurs, alors que des mineurs sont encore au fond.

Ils huent les traîtres non grévistes qui remontent par les échelles.

Chaval est poursuivi, Catherine qui vient de reprendre connaissance le suit.

Deneulin constate sa ruine, mais il ne peut se résoudre à haïr ces morts de faim. Chapitre 4. l'autre, 11 h - 17 h. Dans la campagne, d'une fosse à La foule se rue vers les autres puits en hurlant : « Du pain ! Du pain ! » Et la troupe grossit : ils sont maintenant deux mille, puis deux mille cinq cents hommes et femmes déchaînés, poussés par la faim.

Tels des forcenés, ils s'attaquent aux installations, frappent des non-grévistes, détruisent tout sur leur passage.

Étienne s'en prend à Chaval qui cherche à fuir, et veut se battre au couteau avec lui.

Catherine, pour l'arrêter, le gifle avec violence; elle empêche la rixe.

La foule prévenue de l'arrivée des gendarmes, revient vers Montsou pour réclamer du pain. Chapitre 5.

Chez les Hennebeau, 8 h 30 -18 h. Le même jour, dans sa grande maison, M.

Hennebeau resté seul apprend les agissements des grévistes.

Par hasard, en cherchant un document, il monte dans la chambre de son neveu Négrel et aperçoit dans le lit encore défait un petit flacon d'or qui appartient à sa femme.

Paralysé par, l'émotion, il tente de se calmer et de faire face aux événements.

Une.... »

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