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COMÉDIE L 1 École des femmes MOLIÈRE (1622-1673) L'auteur Né à Paris en 1622, Jean-Baptiste Poquelin est le fils d'un...

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« COMÉDIE L 1 École des femmes MOLIÈRE (1622-1673) L'auteur Né à Paris en 1622, Jean-Baptiste Poquelin est le fils d'un riche tapissier parisien.

Poussé par son goOt pour le théâtre, il fonde avec une famille de comédiens, les Béjart, «l'illustre Théâtre» et prend le nom de Molière.

Arpentant la France pendant treize ans, il apprend son métier de comédièn.

De retour à Paris, il connaît un vif succès et reçoit la protection du roi.

En 1662, il épouse Armande Béjart, de vingt ans plus jeune que lui et fait jouer L 'École des femmes.

Il écrit en­ suite ses plus grands chefs-d'œuvre (Tartuffe, 1664-1669; Dom Juan, 1665 ; Le Misanthrope, 1666 ; Le Bourgeois gentilhomme, 1670 ; Les Fourberies de Scapin, 1671 ; Les Femmes savantes, 1672).

Il meurt sur scène lors d'une représentation du Malade imaginaire, le 10 février 1673. Résumé L'action se déroule sur une place de ville. - Acte 1 : Arnolphe, un bourgeois vaniteux qui se fait appe­ ler par prétention M.

de la Souche, rencontre, au retour d'un séjour à la campagne, son ami Chrysalde et lui apprend qu'il va se marier. Pourtant ce célibataire endurci se méfie de toutes les femmes et se moque des maris trompés de la ville.

Et pour ne pas subir le sort de ses semblables, il a choisi une jeune fille pure et innocente, Agnès, dont il s'est constitué le tuteur alors qu'elle n'était qu'une enfant.

li l'a fait élever dans un couvent, loin du commerce des hommes et la cache dans une maison qui lui appartient.

sous la garde de deux domestiques, simples d'esprit, Alain et Georgette.

Peu après, Arnolphe ren­ contre Horace, fils d'un de ses amis, nouvellement arrivé dans la ville.

Celui-ci lui apprend avec bonne humeur qu'il s'est épris d'une charmante personne nommée Agnès, gardée jalousement par un barbon ridicule, un certain Monsieur de la Souche, et qu'il a réussi à s'introduire chez elle.

Arnolphe suf­ foque mais cache son dépit. -Acte Il: Arnolphe interroge Agnès.

N'y voyant aucun mal, elle lui avoue avoir été émue par les charmes d'un jeune homme.

Arnolphe décide d'épouser Agnès le soir même. En attendant, il lui interdit de revoir son séducteur. - Acte Ill : Arnolphe fait lire à Agnès les «maximes du ma­ riage» qui dressent un tableau terrifiant de la vie conjugale, faisant de l'épouse un être aveuglément soumis aux volon­ tés de son mari.

Il se félicite d'avoir repris en main la situa­ tion quand il rencontre Horace qui lui ôte ses illusions : Ho­ race lui apprend qu'Agnès l'a bien chassé en lui jetant une pierre, mais qu'à cette pierre était attaché un billet doux. - Acte IV : Arnolphe demande à ses valets de redoubler de vigilance, mais Horace survient à nouveau et lui raconte qu'Agnès a réussi à le faire rentrer chez elle et l'a caché dans une armoire.

Horace, confiant, lui dévoile son plan : il enlèvera Agnès la nuit même.

Arnolphe prévenu ordonne à ses domestiques de l'accueillir.... »

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