Devoir de Philosophie

Corrigé disponible I- L’image des contes de fée : A- Le prince • Dans les contes, les princesses épousent des...

Extrait du document

« Corrigé disponible I- L’image des contes de fée : A- Le prince • Dans les contes, les princesses épousent des princes charmants. => Évoquez la rencontre de Belle et du prince dans La Belle au bois dormant et le fameux baiser qui la réveille. • Cf.

Cendrillon. => Image du prince de conte de fée, sans beaucoup de charisme. B- L’époux « merveilleux » • Cf.

Riquet à la houppe => très laid mais intelligent.

Rend intelligent la princesse qui un an après, le rendit beau.

Aspect merveilleux.

Conte : à la fin, ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. C- L’époux faible • Dans les contes de Perrault, les hommes sont aussi marqués par la faiblesse : - Blaise se fait mener par le bout du nez dans Les Souhaits ridicules. - Ils peuvent même être absents.

Cf.

la mère du petit Chaperon rouge n’a pas de mari. Idem dans les Fées ou Riquet à la houppe => père absent : mari absent aussi. • Futur époux parfois peu romantique.

Cf.

passage burlesque : moment « mythique » où le prince réveille la Belle qui dormait : « se garda bien de lui dire qu’elle était habillée comme sa grand-mère » ! (Malice de Perrault). ∆) Rêvés ou absent, dans certains contes, les maris ou futurs maris ne sont pas dotés d’un caractère très actif, sont un peu falots.

Seul Riquet semble vraiment bon et intelligent. II- L’image du mari terrible A- Les maris sadiques • On peut se demander pourquoi le prince dans la Belle au bois dormant laisse tranquillement (perversement ?) dormir sa femme près de sa mère ogresse… Ambivalence de caractère. • Cf.

Le Petit Poucet : L'ogre demande à sa femme d'aller « habiller ces petits drôles » qu'il croit avoir tués => jeux de mots.

il crée une volontaire confusion entre le registre usuel, où s'habiller signifie se vêtir, et le registre culinaire, où le verbe signifie « écorcher et accommoder de certains animaux bons à manger » ; geste quotidien, qui peut être un geste d'amour paternel / de l'autre l'horreur d'un acte de cannibalisme. B- L’époux violent • Dans Griselidis : L'homme est affligé de mélancolie et produit quantité de bile noire, qui lui remonte à la gorge sitôt qu'il serait prêt à reconnaître enfin qu'il partage sa vie avec la plus exquise des femmes => sa pauvre épouse restera fidèle à son époux, malgré tous les maux que celui-ci lui fait subir.

Mari terrorisé par les femmes mais qui donc, devient violent. • Violence conjugale, voire sexuelle. Cf.

Blaise.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓