En dépit de sondages favorables, les travaillistes n'ont remporté qu'une modeste victoire, avec 52 sièges sur 120, aux élections générales...
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En dépit de sondages favorables, les travaillistes n'ont remporté qu'une modeste
victoire, avec 52 sièges sur 120, aux élections générales organisées le 27
juillet 2002.
Le scandale dit «du paintgate» – révélant en avril 2002 que le
Premier ministre Helen Clark avait signé en 1999 un tableau qu'elle n'avait pas
peint elle-même pour une vente de charité – expliquait sans doute ce succès
mitigé.
Son acien allié, le Parti de l'alliance (progressiste), a perdu les 10
sièges qu'il détenait.
Mais les vrais perdants de ce scrutin furent les
conservateurs du Parti nationaliste, qui n'ont sauvé que 27 sièges sur 39.
Sans
l'appui des Verts (9 sièges), les travaillistes s'alliaient avec la Coalition
progressiste (2 sièges).
En 2002, avec une croissance de 4,2 %, une inflation de 4,9 % et un taux de
chômage de 5,1 %, la Nouvelle-Zélande a bénéficié d'une bonne conjoncture grâce
à la vigueur de sa demande intérieure.
La guerre menée en Irak par la coalition
américano-britannique en mars 2003 et la récession mondiale ont cependant
dégradé sa balance commerciale dès le premier trimestre 2003.
À l'occasion du conflit....
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