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« ,µ □ Époque de fondation • jusqu'au xn• s. • au XII' S. 0 Les unîvef\îtés au Moyen Age Nicolas de Cues Guillaume d'Ockham • • 0 Heidelberg • Maitre Eckhart Vercelh •, Reggio 1' Grenoble • ' , O Pavie� ·• 0 0,o ng• � ontpelher Avignon [P,se y hors 81 1o!e,....� • O Cracov,e - s• Thomas d'Aquin - s• Bonaventure • 0• Olen Trévise L=:J ____ Raymond Lulle Vienne 0 Vicence rs 0 Fünfkwchen Roger Bacon • gna� >· Jean Duns Scot - bndge / QCologne O Ertu� r P ague C==1 Albert-le-Grand Î s,enne 1 Plaisance - l Maimonide l Averroès 1 C==:J Pierre Abélard 1 s• Augustin Origène 200 300 400 Tableau des universités et philosophes au Moyen Âge 1 800 l c::===:J l Anselme de Canterbury Avicenne c::=:J - Jean Scot Erigène 900 1000 1100 1200 1300 Patristique Première Scolastique Haute Scolestique Scolastique tardive 1400 La philosophie médiévale en Occident est caracté­ risée par la rencontre du christianisme et de la phi­ losophie. La philosophie m6diévale est une philosophie chrétienne, à la fois dans son intention et par ses représentants qui sont presque tous des clercs. Un thème fondamental constant est, à partir de là aussi, le rapport entre foi et savoir.

Mais ceci ne signifie pas que la pens« se manifeste désonnais selon une umté dogmatique.

Le conflit des direc­ tions philosophiques entre elles d'une part, et les condamnations de tMses par les autorités ecclé­ siastiques d'autre part, montrent bien que la pens6e ac déploie sur dea voies� auto­ nomes et divergentes. Malgré sa grande divenité et sa longue p&iode de dévelo�nt, elle manifeste cependant une cet­ taine uruté dans la présentation des questions phi­ losophiques : discussion des auteurs du passé, confrontation avec les Saintes Ecritwcs et les textes des Pères de l'Eglise, afm d'examiner toutes les facettes d'un même problème, dont à la fm l'auteur proposait la résolution. La première �ode coïncide encore avec l'Anti­ quité: La Patristique (environ Il' s-VD' s.) est caractérisée par les efforts dea Ptm del'Eglise (paires) pour édifier la doctrine chritienne à l'aide de la philo­ sophie antique, et de l'assurer ainsi à la fois contre le paganisme et contre la gnose.

Le représentant de la philosophie chrétienne le plus important et ayant eu le plus d'influence dans l'Antiquité est AURÉLIEN AOOUSTIN (saint AOOUSTIN).

Son œuvre, influencœ par le �Iatonisrne, est une de principales sources de la pens« �vale. A près la fm de 1 'Antiquité, (la date symbolique de 529 ap.

J.-C.

marque la fermeture de l'Académie platonicienne ordonnée par !'Empereur Jusn­ N!EN), les textes transmis sont, durant des siècles, conservés et recopiés dans les monastères ; pour­ tant, la pens« philosophique perd son autonomie el sa fora: propre. La période qui s'ouvre à partir du IX' s.

est appe­ lée généralement la Scolastique. L'appellation de Scolastiques (scola = école) désigne ceux qui s'occupent scolairement des sciences ; et particulièrement les professeurs qui travaillent dans les écoles des diocèses ou de la cour fondées par ÜIARŒMAONl! et, plus tard, dans les Univenités. Mais avec le terme de Scolastique, c'est avant tout une méthode qui est évoquée : Les questions sont examinées.... »

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