Est profecto deus qui quae nos gerimus auditque et videt Il y a sûrement un dieu qui entend et qui...
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Est profecto deus qui quae nos gerimus auditque et videt
Il y a sûrement un dieu qui entend et qui voit ce que nous fai-
sons
Il s'agit d'un vers de Plaute (Caprivi, 313) répertorié p1a1111i les sentences médiévales (Walther 7805) et parfois cité de nos jours pour souligner l'immense sagesse et la toute-puissance divine, qui reprenait
déjà une conception primitive de la divinité, caractéristique des peuples
de chasseurs, qui faisait du dieu un être suprême et uranique (cf.
sur ce
sujet.
R.
Pettazzoni, l 'essere supremo ne/le religioni primitive, Turin,
1957).
On trouve des parallèles chez Tibulle (cf.
1, 9, 23 sq.,....
»
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