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« Hegel: l'acqui&ition de la con.science de �oi Leo chooeo de la nature n'exiotent qu'immédiatement et d'une oeule taçon, tandio que l'homme, parce qu'il eot eoprit, a une double exiotence; il exiote d'une part au même titre que leo chooeo de la nature, maio d'autre part, il exiote auooi pour ooi, il oe contemple, oe repréoente à luis même, oe penoe et n'eot eoprit que par cette activité qui conotitue un être pour ooi.

Cette conocience de ooi, l'homme l'acquiert de deux manièreo : primo, théoriquement, parce qu'il doit oe pencher our lui-même pour prendre conocience de touo leo mouvementa, replia et pènchanto du cœur humain et d'une taçon générale oe contempler, oe repréoenter ce 10 que la penoée peut lui aooigner comme eooence, entin oe reconnaître excluoivement auooi bien dano ce qu'il tire de oon propre tondo que dano ·· leo donnéeo qu'il reçoit de l'extérieur.

Deuxièmement, l'homme oe cono­ titue pour ooi par oan activité pratique, parce qu'il eot pouooé à oe trou­ ver lui-même, à oe reconnaître lui-même dano ce qui lui eot donné 15 immédiatement, dano ce qui o'ottre à lui extérieurement.

Ily parvient en changeant leo chooeo extérieureo, qu'il marque du oceau de oan inté­ riorité et dano leoquelleo il ne retrouve que oeo propreo déterminationo. L'homme agit ainoi, de par oa liberté de oujet, pour ôter au monde extérieur oon caractère tarouchement étranger et pour ne jouir deo 20 chooeo que parce qu'il y retrouve une uorme extérieure de oa propre réa­ lité.

Ce beoain de modiuier leo chooeo extérieureo eot déjà inocrit dano leo premiero penchanto de l'entant; le petit garçon qui jette deo pierreo dano le torrent et admire leo rondo qui oe torment dano l'eau, admire en tait une œuvre où il bénéticie du opectacle de oa propre réalité. HeœL, eothétique. Proposition de plan Introduction Problème : La conscience semble être La principale différence entre L'homme et L'animal, au point d'en faire un être spécifique.

Son existence devrait être marquée par cette conscience qui doublerait ainsi l'homme d'un savoir.

Mais ce savoir est-il donné, auquel cas l'existence humaine ne serait qu'une application ou réalisation de ce savoir, ou bien est-il au contraire acquis, auquel cas l'existence humaine consisterait précisément à l'acquérir? Mais le problème serait alors de comprendre comment se ferait cette acquisition, s'il s'agit en même temps d'une donnée spécifique : comment acquérir ce qui nous est donné? Thèse : Pour Hegel, l'acquisition se ferait de deux manières : de l'intérieur à la manière d'une théorie, et de l'extérieur à la manière d'une pratique.

L'.homme se connaîtrait ainsi au travers de son existence, ce qui ferait le sens de sa vie, et sa conscience serait à comprendre alors comme une donnée, certes, mais à saisir comme faculté. Annon_ce du plan : La thèse est d'abord exposée [l.

1 à 6) : la spécificité de l'homme est la conscience. La première forme d'acquisition de cette conscience est théorique [l.

6 à 121. La seconde forme d'acquisition est pratique [l.12 à 241. Annonce de la réflexion critique : Mais du même coup, on peut se demander à la suite du texte comment s'articuleraient ces deux manières de se connaître : se complètent-elles ou s'opposent-elles? 1) La conscience comme spécificité humaine Il 1 à 6). Comment comprendre tout d'abord la notion de conscience? Pour Hegel, c'est ce qui fait la spécificité humaine, en donnant à l'homme la possibilité de mener une double existence; du même coup il s'agit de présenter la conscience comme un instrument dont il faudra ensuite saisir le fonctionnement. La double existence de l'homme peut être comprise comme faculté d'être à la fois à la manière des êtres naturels et à la manière d'autre chose.

D'une part, en effet, l'homme vit et se contente de vivre, satisfaisant ses besoins pour se maintenir en vie et sans forcément savoir qu'il vit, comme la plante pousse sans savoir qu'elle pousse.

L'.instinct serait ici dominant et suffisant pour mener cette existence «immédiate»: rien ne vient s'interposer entre la vie et la façon dont elle s'organise. Mais l'autre existence serait différente parce que médiatisée justement par l'esprit : seul l'homme aurait la faculté de se voir vivre au point de décider lui-même de son orientation : en se «contemplant», l'homme donnerait un sens à sa vie. c· est l'esprit qui, selon Hegel, rend possible cette activité : il s'agit de se« penser», de savoir que l'on vit et de prendre possession de soi-même en disant «je».

Ce serait là notre « être pour soi». Mais cette représentation que l'homme aurait de lui-même est-elle donnée? Pour Hegel, au contraire, il s'agit de l'acquérir: c'est que cette conscience est un savoir. Il faut donc un apprentissage, comme si l'homme était d'abord ignorant de lui-même.

Cela montrerait que la conscience n'est qu'un outil, une faculté, qu'elle n'est pas le savoir lui-même, et surtout que l'homme ne serait rien au.... »

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