In bono hospite atque amico quaestus est quod sumitur Ce que l'on dépense pour un hôte ou un ami est...
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In bono hospite atque amico quaestus est quod sumitur
Ce que l'on dépense pour un hôte ou un ami est un gain
Cette expression empruntée à un passage où Plaute (Miles, 674) comparait les dépenses effectuées pour un ami aux dépenses occasionnées
par une mauvaise épouse ou par un ennemi.
Horace (Ep., 1, 12, 24)
affi1111ait quant à lui qu'il suffisait de peu de choses pour s'acheter des
amis, lorsque les gens avaient besoin de quelque chose, et Martial
(5, 42, 7 sq.) que seules les richesses que nous aurons distribuées à nos
amis seront nôtres pour toujours.
Il paraît difficile d'affi1111er avec certitude que ce topos était déjà proverbial dans l' Antiquité (même si on
retrouve un motif similaire dans les Distiques de Caton [ 1, 35 : pour ses
reprises, cf.
Boas-Botschuyver 77 sq., et > 2, 1991,
229 sq.]).
Citons en latin médiéval non seulement....
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