La Chine du « socialisme de marché » après 1978 Devenue une puissance géopolitique sous Mao Zedong, la Chin communiste•...
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La Chine du « socialisme
de marché » après 1978
Devenue une puissance géopolitique sous Mao Zedong, la Chin
communiste• s'engage avec Deng Xiaoping dans une politique d'ouverture économique faisant d'elle le 2' PIB* mondial.
Mais cette puissance chinoise n'est pas totale et conserve une image menaçante.
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L'ascension économi~e chinoise
• En 1978, Deng Xiaoping lance la politique des« Quatre Modernisations » (agricole, industrielle, militaire, scientifique).
Il s'agit d'intégrer la Chine dans l'économie de marché et la mondialisation•, par des
réformes liberale favorisant l'entreprise et la propriété privées, attirant
les investissements étrangers (IDE*), mais en conservant un contrôle
politique sur l'économie chinoise.
C'est le « socialisme de marché* ».
• L'ouverture en 1980 de quatre zones économiques spéciales
(Shenzhen, Shantou, Xiamen, Zhuhai), offrant des avantages fiscaux
et douaniers, est un succès auprès des entreprises étrangères attirées
par les bas coûts salariaux.
L'ouverture se poursuit: dix villes côtières
(1984), six régions littorales (1985), de nouvelles zones fra nches* portuaires (1990) et tout le bassin fluvial du Yangzi (1992).
Jiang Zemin
ouvre ensuite de nombreuses villes frontal ières et capitales provinciales.
La Chine adhère au FMI et à la Banque mondiale (19801981 ), puis à l ' OMC
(2001).
La croissance
Deng Xiaoping (1904-1 997)
supérieure à 10 %
Membre • modéré » du PCC,
il ouvre la Chine à la
depuis 1978 lui permet
mondialisation économique, mais
d'investir partout dans
réprime les revendications démocratiques
le monde et de deveet autonomistes.
nir le premier exportateur mondial.
mUn ré gime qui reste autoritaire
• L'ouverture économique ne s'accompagne eas d'une démocratisation de la société chinoise.
La répression de la manifestation de
Tian -an Men (1989) fait plusieurs centaines de victimes.
Les opposants au régime sont emprisonnés ou en exil.
La peine de mort reste
très employée.
Les revendications autonomistes du Tibet ou du
Xinjiang sont ignorées et réprimées, malgré la pression de la communauté internationale.
• Le Parti commun iste continue de dominer tous les niveaux politiques du pays, engendrant une forte corruption.....
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