La mise en place, courant 2004, des institutions du « nouvel ensemble comorien », comptant une assemblée et un gouvernement...
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La mise en place, courant 2004, des institutions du « nouvel ensemble comorien », comptant une
assemblée et un gouvernement pour chacune des trois îles autonomes de l’archipel (Anjouan, Ngazidja –
Grande Comore – et Mohéli), plus le Parlement et le gouvernement de l’Union des Comores, a amené les
bailleurs de fonds internationaux à envisager une reprise de leur aide au pays.
Début 2005, un
programme de surveillance d’une année a été signé avec le FMI sur la base de l’engagement des
autorités comoriennes à entreprendre plusieurs réformes structurelles, notamment en matière de
privatisations et de libéralisation du commerce de la vanille.
Ce programme tablait sur un taux de
croissance de 3 % pour 2005, à peine supérieur à celui de la croissance démographique.
Toutefois, la perspective de l'élection à la présidence de l’Union des Comores en 2006 d'un candidat
anjouanais, selon le principe d’une présidence tournante entre les îles, faisait planer le risque d’un
nouveau blocage politique.
À la fin du premier trimestre 2005, en effet, le....
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