La première année de la présidence de Martin Torrijos, investi le 1er septembre 2004, a été marquée, au niveau international,...
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La première année de la présidence de Martin Torrijos, investi le 1er septembre
2004, a été marquée, au niveau international, par le rétablissement rapide des
relations diplomatiques avec Cuba et le Vénézuela, qui avaient été suspendues à
la fin de la présidence antérieure.
En novembre, le Panama a intégré le G-3
(accord de libre-échange réunissant le Mexique, la Colombie et le Vénézuela),
espérant en tirer des bénéfices au niveau énergétique et commercial.
Avec les
États-Unis, un plan de coopération sur la lutte antiterroriste et la sécurité du
canal de Panama a été ratifié en novembre, et la négociation d’un accord de
libre-échange s’est poursuivie, bien que plus lentement qu’avec les autres pays
de la région.
Le dynamisme du commerce extérieur et des échanges financiers a constitué le
principal moteur d’une croissance économique soutenue en 2004 (6 %), et a
largement compensé les difficultés du secteur industriel.
Le pays, dont
l'économie repose largement sur les services, a été beaucoup moins affecté que
ses voisins par les prix élevés du pétrole, et le taux d’inflation est demeuré
très faible (0,5 %).
Néanmoins, l’application de normes comptables plus strictes
a révélé que la situation budgétaire était beaucoup plus délicate que prévu,
avec un déficit supérieur à 5 % du PIB (Produit intérieur brut).
En outre, la
croissance économique n’a pas engendré suffisamment d’emplois pour remédier à un
chômage qui se maintenait autour....
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