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Le Lobbyng

Publié le 20/06/2016

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-534035-708660UNIVERSITE CATHOLIQUE DE L’AFRIQUE DE L’OUEST UNITE UNIVERSITAIRE DE BAMAKO (MALI) 00UNIVERSITE CATHOLIQUE DE L’AFRIQUE DE L’OUEST UNITE UNIVERSITAIRE DE BAMAKO (MALI) -502285554990THEME DU COURS 00THEME DU COURS -494030308610APPROCHE STRATEGIQUE DE L’ETHIQUE ET DU LOBBING DANS LA COMMUNICATION 00APPROCHE STRATEGIQUE DE L’ETHIQUE ET DU LOBBING DANS LA COMMUNICATION -502285102870CONTENU DU COURS 00CONTENU DU COURS -459740132080Contrairement aux idées reçues qui laissent entendre qu’il n’y a pas que des intérêts privés qui font du lobbying : associations, ONG, collectivités ou institutions, bref tous les acteurs dont l’activité, la vocation ou l’image peuvent être affectées par des débats publics peuvent faire recours au lobbying. Dans le monde de la communication confronté aux nouveaux enjeux de l’information, chaque communicant est concerné tantôt comme acteur ou émetteur, tantôt comme cible ou relais, souvent sans s’en rendre compte. En abordant ce cours avec les étudiants, l’objectif est de répondre à l’interrogation suivante : dans quelle mesure le lobbying en communication adopte-t-il des pratiques éthiques ? En d’autres termes, il s’agira d’apprendre, comment le lobbyiste de la communication peut être non seulement en conformité avec la loi, mais aussi contribuer à instaurer des r�gles de bonne pratique et s’interroger sur les conséquences de ses prises de position par rapport aux autres parties prenantes qui ont aussi d’autres intérêts à défendre. 00Contrairement aux idées reçues qui laissent entendre qu’il n’y a pas que des intérêts privés qui font du lobbying : associations, ONG, collectivités ou institutions, bref tous les acteurs dont l’activité, la vocation ou l’image peuvent être affectées par des débats publics peuvent faire recours au lobbying. Dans le monde de la communication confronté aux nouveaux enjeux de l’information, chaque communicant est concerné tantôt comme acteur ou émetteur, tantôt comme cible ou relais, souvent sans s’en rendre compte. En abordant ce cours avec les étudiants, l’objectif est de répondre à l’interrogation suivante : dans quelle mesure le lobbying en communication adopte-t-il des pratiques éthiques ? En d’autres termes, il s’agira d’apprendre, comment le lobbyiste de la communication peut être non seulement en conformité avec la loi, mais aussi contribuer à instaurer des r�gles de bonne pratique et s’interroger sur les conséquences de ses prises de position par rapport aux autres parties prenantes qui ont aussi d’autres intérêts à défendre. -454660354330ARTICULATIONS DU COURS ARTICULATION DU COURS 00ARTICULATIONS DU COURS ARTICULATION DU COURS Définitions des concepts : L’Approche stratégique Stratégie: mot construit à partir de deux expressions grecques : Stratos: armée Agos: conduite La stratégie est donc l’art de conduite Ensemble des choix à moyen et long terme que fait l'entreprise au vu de l'appréciation de son environnement et du potentiel qu'il présente. Ces choix ou décisions stratégiques portent sur la nature et l'ampleur des moyens qu'elle envisage d'utiliser pour mener une action coordonnée sur le marché. «Une stratégie se présente d'abord comme le choix des moyens les plus appropriés pour atteindre un objectif fixé". Le terme de stratégie est apparu d’abord dans le milieu militaire (année 50) puis dans le monde de la communication…L’objectif d’une stratégie est de déterminer les plans d’action que l’entreprise doit mettre en œuvre pour s’assurer un avantage concurrentiel défendable sur une longue période. Plan d’action : positionnement, audit (analyse de la situation), utilisation des grands médias (6 grands médias : TV, presse écrite, affichage, cinéma, Internet ; bientôt 7 : téléphonie mobile).Avantage concurrentiel : sur les concurrents directs et indirects.Longue période : minimum 2-3 ans, jusqu’à 10 ans maximum Ethique, Ethique des Affaires Ethique : Ethique : Latin : ethica ; bas Grec : êthicon ; morale Morale :ysophie : science de la séparation du bien et du mal. Ensemble de doctrines, de r�gles de conduite, de relations sociales qu’une société se donne selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société. Dans ses différents aspects, l’Ethique est une réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions. C’est un ensemble de principes moraux qui sont à la base notre conduite. Au niveau le plus général, la réflexion éthique porte sur les conceptions du bien, du juste, et de l’accomplissement humain. Elle répond alors à des questions comme: Qu’est ce qui est le plus important dans la vie? Que voulons-nous accomplir ? Quels types de rapports voulons-nous entretenir avec les autres ? Les valeurs deviennent ainsi des objectifs à atteindre, des idées à réaliser. A l’échelle individuelle, nos actions sont autant de moyens d’actualiser nos valeurs. A l’échelle collective, l’imposition des r�gles est aussi un moyen de réaliser l’idéal partagé; les actions qui vont dans le sens de l’idéal deviennent des devoirs, des obligations. Les r�gles cependant, sont générales et ne peuvent couvrir toutes les situations où des choix d’action sont nécessaires. C’est pourquoi, la réflexion éthique porte aussi, au niveau particulier, sur les cas embarrassants et les dilemmes. Elle répond alors à des questions telles que : -Quelle est la valeur la plus importante dans cette situation ? -Quelle est la meilleure décision éthique dans ces circonstances ? Ethique des affaires : Au cours des quatre derni�res décennies, les nouveaux produits et services proposés étaient essentiellement guidés par les préférences des consommateurs et leur pouvoir d’achat. Un bouleversement qui permet d’observer notamment qu’apr�s la seconde guerre mondiale, la nécessité de prendre en compte les aspects sociaux a conduit à une généralisation de l’économie sociale de marché elle-même déclinée de façons différentes selon les pays. Il y a une exigence croissante d’informations sur l’impact social et environnemental de la politique des entreprises, et les consommateurs sont en attentes d’évaluations. Plus loin, les processus grâce auxquels les entreprises s’enrichissent sont de plus en plus remis en question par certains de ses propres bénéficiaires (besoin de transparence). Pouvons-nous continuer dans cette direction? Le syst�me économique est-il viable ou voué à l’échec ? Ces questions sont posées non seulement par les groupes de pressions, ma...

«  Ethique, Ethique des Affaires Ethique : Dans ses différents aspects, l’Ethique est une réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions.

C’est un ensemble de principes moraux qui sont à la base notre conduite. Au niveau le plus général, la réflexion éthique porte sur les conceptions du bien, du juste, et de l’accomplissement humain. Elle répond alors à des questions comme: Qu’est ce qui est le plus important dans la vie? Que voulons-nous accomplir ? Quels types de rapports voulons-nous entretenir avec les autres ? Les valeurs deviennent ainsi des objectifs à atteindre, des idées à réaliser. A l’échelle individuelle, nos actions sont autant de moyens d’actualiser nos valeurs. A l’échelle collective, l’imposition des règles est aussi un moyen de réaliser l’idéal partagé; les actions qui vont dans le sens de l’idéal deviennent des devoirs, des obligations.

Les règles cependant, sont générales et ne peuvent couvrir toutes les situations où des choix d’action sont nécessaires.

C’est pourquoi, la réflexion éthique porte aussi, au niveau particulier, sur les cas embarrassants et les dilemmes.

Elle répond alors à des questions telles que : -Quelle est la valeur la plus importante dans cette situation ? -Quelle est la meilleure décision éthique dans ces circonstances ? Ethique des affaires : Au cours des quatre dernières décennies, les nouveaux produits et services proposés étaient essentiellement guidés par les préférences des consommateurs et leur pouvoir d’achat.

Un bouleversement qui permet d’observer notamment qu’après la seconde guerre mondiale, la nécessité de prendre en compte les aspects sociaux a conduit à une généralisation de l’économie sociale de marché elle-même déclinée de façons différentes selon les pays. Il y a une exigence croissante d’informations sur l’impact social et environnemental de la politique des entreprises, et les consommateurs sont en attentes d’évaluations. Plus loin, les processus grâce auxquels les entreprises s’enrichissent sont de plus en plus remis en question par certains de ses propres bénéficiaires (besoin de transparence). Pouvons-nous continuer dans cette direction? Le système économique est-il viable ou voué à l’échec ? Ces questions sont posées non seulement par les groupes de pressions, mais aussi par des particuliers, des entreprises, par des gouvernements et des institutions mondiales. L’Ethique n’est pas nouvelle dans le milieu des affaires .

Le monde de l’entreprise a toujours eu des règles, des normes et un encadrement normatif pour réguler le business.

Ces règles diffèrent généralement entre les pays, groupes, ensembles selon des considérations sociales et culturelles, même si nous attendons des règles universelles. Lorsque l’entreprise applique ces normes ou respecte cet encadrement normatif elle est alors dans un processus d’éthique des affaires .

Ce comportement des entreprises doit être éthique et responsable, c’est pourquoi les promesses des entreprises pour leurs actionnaires et les parties prenantes doivent à la fois comporter des messages équitables, éthiques et justes.

On voit apparaître ainsi la notion de RSE, Responsabilité Sociale des Entreprises.Ethique : Latin : ethica ; bas Grec : êthicon ; morale Morale : ysophie : science de la séparation du bien et du mal. Ensemble de doctrines, de règles de conduite, de relations sociales qu’une société se donne selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société.. »

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